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prêtres

  • Paris : un migrant iranien, fiché S au titre d’activités liées au terrorisme, interpellé après avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de plusieurs prêtres

    Publié par Guy de Laferrière le 08 février 2023

    Les policiers ont interpellé ce mardi un homme soupçonné d’avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de prêtres parisiens. Selon les informations d’Europe 1, c’est le personnel de l’église Saint-Sulpice qui a prévenu les forces de l’ordre de la présence de cet individu qui était déjà recherché pour avoir proféré des menaces de mort et des injures à l’encontre de plusieurs prêtres.

    Un individu a été interpellé par les forces de l’ordre pour des menaces envers des hommes d’Église. Il est soupçonné d’avoir menacé des prêtres des paroisses Saint-Sulpice et Saint-Germain-des-Prés les 26 janvier et 6 février dernier. Les victimes avaient porté plainte. Selon une source policière, cet individu faisait l’objet d’une fiche de recherche pour interdiction temporaire sur le territoire français et une autre fiche S au titre d’activités liées au terrorisme. Il a été placé en garde à vue. La police judiciaire parisienne est en charge de l’enquête.

    (…) Europe 1 via fdesouche

  • C’était un 2 septembre : Massacres de Septembre, …

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2021

    • 1792 : début des massacres de septembre : plusieurs milliers de personnes sont exécutées par les républicains, essentiellement des prisonniers parisiens, dont des centaines de prêtres.
    Ils sont perpétrés sciemment pour terroriser la population parisienne et réduire les modérés au silence.
    Dans les prisons, pendant les sept jours que durèrent les massacres, les tueurs firent preuve d’un zèle, d’une ardeur dont témoigne cette réflexion de Billaud-Varenne : Je crois, ma parole, que le sang grise ces gaillards-là mieux que le bon vin!
    Seul Marat grognait, trouvant qu’on n’allait pas assez vite en besogne et que trop d’ennemis du peuple échappaient aux sabres et aux piques.
    A la Conciergerie et au Grand Châtelet, le tribunal populaire renforça les effectifs des « travailleurs » (tueurs) en offrant la liberté aux détenus de droit commun, à la condition qu’ils « travailleraient » à leur tour.
    Parmi les détenus libérés sous condition à la Conciergerie, on comptait une soixantaine de femmes. Elles « travaillèrent » avec autant d’ardeur que les hommes et formèrent ensuite le noyau de la troupe de révolutionnaires en jupon, connues sous le nom de tricoteuses.
    Le règne de la Terreur s’instaure. A la tribune de l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice, Danton, demande que tous les citoyens refusant de servir la « patrie » soient punis de mort.
    Le souvenir de cet épisode fondateur de la République permet de garder en tête la nature totalitaire et meurtrière de ce régime, qui n’hésitera pas à recommencer quand il se sentira menacé.
    Un opuscule sur ce terrible épisode a été écrit par l’abbé Portail.

     

    Source : contre-info

  • Deux prêtres en garde à vue !

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2021

    Deux prêtres en garde à vue !

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    Selon 20 Minutes, le curé de l’église Saint-Eugène-Sainte-Cécile à Paris (il est également vicaire épiscopal pour les mariages et chanoine de la cathédrale) ainsi qu’un de ses vicaires, l’abbé Gabriel Grodziski, ont été placés en garde à vue, ce jeudi matin. Ils sont soupçonnés d’avoir officié sans masque et sans respecter les gestes barrière en vigueur. Un lecteur peut-il nous dire à quand remonte la mise en garde à vue d’un ecclésiastique ? A une sinistre affaire d’abus sexuels ?…

    D’après nos informations, cette procédure est exceptionnelle : suite à la polémique médiatique, ils avaient été effectivement convoqués en audition libre. C’est le procureur qui a transformé cette procédure en garde à vue ! Le procureur a-t-il agit à la demande du ministre de la justice ?

    L’audition libre est une procédure utilisée lors d’une enquête, permettant d’interroger une personne soupçonnée d’avoir commis une infraction sans la mettre en garde à vue. La personne entendue a le droit de quitter les lieux à tout moment. La garde à vue est une mesure de privation de liberté prise à l’encontre d’un suspect lors d’une enquête judiciaire. Elle permet aux enquêteurs d’avoir le suspect à leur disposition pour pouvoir l’interroger et vérifier si ses déclarations sont exactes.

     

    Source : lesalonbeige

  • Sept prêtres visés par des lettres anonymes “au nom d’Allah”

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2020

    Sept prêtres visés par des lettres anonymes “au nom d’Allah”

    Sept prêtres du diocèse d’Avignon, des paroisses de Gordes, L’Isle-sur-la-Sorgue, Le Thor, Châteauneuf-de-Gadagne, Aubignan, Saint-Cécile-les-Vignes et Notre-Dame de Lourdes, ont reçu la même lettre, avec inscrit “Allah Akbar”.

    Tous ces curés sont Africains.

    Tous ces prêtres ont été convoqués à la gendarmerie d’Avignon pour être entendus. Trois plaintes ont été déposées.

     

    source : lesalonbeige

  • C’était un 2 septembre… Les Massacres de Septembre

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2020

    • 1792 : début des massacres de septembre : plusieurs milliers de personnes sont exécutées par les républicains, essentiellement des prisonniers parisiens, dont des centaines de prêtres.
    Ils sont perpétrés sciemment pour terroriser la population parisienne et réduire les modérés au silence.
    Dans les prisons, pendant les sept jours que durèrent les massacres, les tueurs firent preuve d’un zèle, d’une ardeur dont témoigne cette réflexion de Billaud-Varenne : Je crois, ma parole, que le sang grise ces gaillards-là mieux que le bon vin!
    Seul Marat grognait, trouvant qu’on n’allait pas assez vite en besogne et que trop d’ennemis du peuple échappaient aux sabres et aux piques.
    A la Conciergerie et au Grand Châtelet, le tribunal populaire renforça les effectifs des « travailleurs » (tueurs) en offrant la liberté aux détenus de droit commun, à la condition qu’ils « travailleraient » à leur tour.
    Parmi les détenus libérés sous condition à la Conciergerie, on comptait une soixantaine de femmes. Elles « travaillèrent » avec autant d’ardeur que les hommes et formèrent ensuite le noyau de la troupe de révolutionnaires en jupon, connues sous le nom de tricoteuses.
    Le règne de la Terreur s’instaure. A la tribune de l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice, Danton, demande que tous les citoyens refusant de servir la « patrie » soient punis de mort.
    Cet épisode fondateur de la République ne doit pas faire oublier la nature totalitaire et meurtrière de la République, qui n’hésitera pas à recommencer quand elle se sentira menacée.
    Un opuscule sur ce terrible épisode a été écrit par l’abbé Portail.

     

    Source : contre-info