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  • Front de la Répression : La machine répressive s’emballe contre Yvan Benedetti

    Publié par Guy de Laferrière l 02 décembre 2024

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    Trois procès en trois mois ! La machine répressive s’est emballée !

    Le 4 novembre, j’ai été condamné en appel à 2.000 € d’amendes et 4.000 € de dommages et intérêts, de manière solidaire avec le traducteur de l’article publié sur Jeune Nation, et poursuivi en justice par l’Observatoire Juif de France et l’Observatoire Juif Européen.

    Le 23 janvier, se tiendra le procès en opposition ou en appel (ça sera à la Cour d’appel de statuer) suite à une plainte pour injures de l’impudent David Metaxas avocat de l’assassin d’Axelle Dorier, jeune femme traînée sur des centaines de mètres sous une voiture conduite par des racailles. J’avais pris en première instance 10.000 € d’amendes et 15.000 euros de dommages et intérêts. Délirant !

    Et ce 4 décembre, je serai jugé en appel pour des propos identitaires prononcés lors du discours de clôture du Congrès des Nationalistes qui s’était tenu à Lyon le 11 novembre 2022 et pour ma prise de parole à Predappio à l’occasion du centenaire de la Marche sur Rome.

    Quoiqu’il en soit ils ne me feront jamais taire !

    En savoir pus : Jeune nation cliquez ici

  • Le "Parti de la France" dans le collimateur de la justice.

    Publié par Guy de Laferrière le 04 octobre 2024

    Communiqué du Parti de la France
    Ce jeudi 3 octobre, Thomas Joly, Pierre-Nicolas Nups, Maxime Morlon, Alexandre Hinger et Thomas Petit étaient convoqués dans plusieurs gendarmeries suite à une enquête, diligentée par le Parquet de Nancy, en rapport avec l'affiche du Parti de la France « Donnons un avenir aux enfants blancs ».
    La garde à vue a duré pas moins de 9 heures alors que les 5 auditionnés ont usé de leur droit à garder le silence et qu'ils ont chacun remis une déclaration libre sur papier réfutant tout caractère illégal de l'affiche incriminée et démontrant l'interprétation malveillante qui en a été faite par des adversaires politiques.
    Ces persécutions politico-judiciaires resteront sans effet sur la volonté des cadres du Parti de la France de dire la vérité et de défendre le peuple français envers et contre tout.