Publié par Guy de Laferrière le 12 décembre 2023
Les supporters de l’Olympique Lyonnais arborent un tifo de la Vierge Marie pour l’honorer la semaine de la fête de l’Immaculée Conception.
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy de Laferrière le 12 décembre 2023
Les supporters de l’Olympique Lyonnais arborent un tifo de la Vierge Marie pour l’honorer la semaine de la fête de l’Immaculée Conception.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 08 décembre 2023
Publié par Guy de Laferrière le 15 août 2023
Que célébrons-nous en ce jour ? a) Avant tout la mort de Marie, la fête de la « Dormitio », comme on disait autrefois. Pour l’Église, l’anniversaire de la mort des saints est plus encore celui de leur naissance au ciel (natale). b) C’est ensuite la réception de Marie au Paradis. La liturgie dépeint l’arrivée de la Mère de Dieu comme un cortège nuptial, comme une marche triomphale. c) Poursuivons encore. Nous célébrons le couronnement de Marie comme Reine des Saints. Toutefois, c’est une pensée particulièrement chère à la piété populaire et au mysticisme du moyen âge dont la liturgie fait moins de cas. d) Enfin, l’Église songe à l’Assomption corporelle de Marie dans le ciel, quoique la liturgie n’insiste guère non plus sur ce fait. Sur la mort de la sainte Vierge nous ne possédons aucun document historique certain ; nous en ignorons même le lieu (d’après la tradition : Éphèse ou Jérusalem). L’Assomption est une des fêtes les plus anciennes de la Sainte Vierge. On la célébrait primitivement le 18 janvier ; l’empereur Maurice (582-602) en fixa la date actuelle. En cette fête, qui est donc une des plus anciennes et la plus solennelle du Cycle marial (puisqu’elle remonte au VIe siècle), l’Église convie tous ses enfants, dans le monde catholique tout entier, à unir leur joie et leur reconnaissance à celles des anges qui louent le Fils de Dieu pour la glorieuse Assomption de sa Mère, la Très sainte Vierge Marie. C’est dans la basilique de Sainte-Marte-Majeure que se célébrait à Noël le mystère qui est le point de départ de toutes les gloires de la Vierge et c’est là encore que se célèbre aujourd’hui l’Assomption qui en est l’aboutissement; Marie porta en elle l’humanité de Jésus à son entrée dans ce monde et en cette fête, c’est Jésus qui à son tour reçoit au ciel le corps de Marie. Admise à jouir des délices de la contemplation éternelle, la Mère a choisi aux pieds de son divin Fils la meilleure part qui ne lui sera jamais ôtée; aussi lisait-on autrefois l’Évangile de la Vigile à la suite de celui de la fête, afin de montrer que la Mère de Jésus est heureuse entre toutes parce que, mieux que les autres, « elle écoute la parole de Dieu ». Cette parole, ce Verbe, cette Sagesse divine qui, sous l’Ancienne Loi, établit sa demeure dans le peuple d’Israël, est descendue, sous la Loi Nouvelle, en Marie. Le Verbe s’est incarné dans le sein de la Vierge, et maintenant dans les splendeurs de la céleste Sion, il la remplit des délices de la vision béatifique. Comme Marthe, l’Église se livre sur la terre aux sollicitudes que nécessite la vie présente; mais, comme elle aussi, elle réclame l’aide de Marie. Une procession fut toujours attachée à la fête de l’Assomption. A Jérusalem, c’était un cortège de nombreux pèlerins qui venaient prier près du tombeau de la Vierge et contribuèrent ainsi à l’établissement de cette solennité. Le clergé de Constantinople faisait également une procession en la fête du Repos et le l’Assomption de Marie. A Rome, du VII° au XVI° siècle, le cortège papal, où prenaient place les représentants du Sénat et du peuple, se rendait processionnellement de l’église de Saint-Jean-de-Latran à celle de Sainte-Marte-Majeure; c’est ce qu’on appelait faire la Litanie. En France, la procession qui se fait le 15 août après les Vêpres, a pour but de rappeler la consécration qu’en 1638, à pareil jour, Louis XIII fit à Marie de sa personne, de sa famille et de son royaume; elle nous permet de ratifier ce vœu, qui doit nous attirer la protection toute-puissante de la Vierge. En date du 1er novembre 1950 Pie XII a promulgué la Constitution Apostolique Munificentissimus Deus définissant le dogme de l’Assomption.
L’Assomption de la très sainte Vierge Marie, Mère de Dieu.
A Cracovie, en Pologne, l’anniversaire de saint Hyacinthe de l’Ordre des Frères Prêcheurs, confesseur. Il a été inscrit au nombre des saints par le souverain pontife Clément VIII. Sa fête se célèbre le 16 des calendes de septembre (17 août).
A Albe-Royale, en Hongrie, l’anniversaire de saint Etienne, roi de Hongrie et confesseur. Orné des vertus chrétiennes, le premier il convertit son peuple à la foi du Christ, et fut reçu dans le ciel par la Vierge Mère de Dieu, le jour même de son Assomption. Par décision du pape Innocent XI, sa fête se célèbre le 4 des nones de septembre (2 septembre), jour où, avec l’aide du saint roi, la forteresse de Bude fut bravement reconquise par l’armée chrétienne.
A Rome, sur la voie Appienne, saint Tharsicius acolyte. Rencontré par des païens, tandis qu’il portait le Sacrement du Corps du Christ, ceux-ci lui demandèrent ce qu’il tenait, mais il jugea indigne de livrer des perles à des pourceaux : il fut alors frappé à coups de bâton et de pierres, jusqu’à ce qu’il eût rendu l’esprit. Ces sacrilèges agresseurs l’ayant ensuite fouillé, ne trouvèrent rien du Sacrement du Christ, ni dans ses mains ni dans ses vêtements. Les chrétiens recueillirent le corps du martyr et l’inhumèrent avec honneur dans le cimetière de Callixte.
A Tagaste, en Afrique, saint Alype évêque. D’abord disciple du bienheureux Augustin, puis son compagnon dans sa conversion, il devint son collègue dans l’épiscopat, son aide courageux dans ses combats contre les hérétiques, et enfin son associé dans la gloire céleste.
A Soissons, en France, saint Arnoul, évêque et confesseur.
A Rome, saint Stanislas Kostka, polonais, novice de la Compagnie de Jésus et confesseur. En une courte vie, il a, par son angélique innocence, fourni une longue carrière et fut inscrit au catalogue des saints par le souverain pontife Benoît XIII.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2020
Autre pays, autre attitude… En raison du coronavirus pandémique qui affecte aussi la Pologne et ses compatriotes polonais dispersés dans le monde, le président polonais Andrzej Duda est venu à Jasna Góra. Il a participé à la prière du soir des Polonais, l’Appel Jasna Góra dans la chapelle de la Mère de Dieu, au cours de laquelle le chant Suplikacja a été entonné pour repousser le coronavirus, pour les malades et pour ceux qui risquent leur vie au service des autres.
En tant qu’offrande votive pour la Mère de Dieu de Jasna Góra, le président de la République de Pologne a déposé un chapelet avec une croix d’ambre. La signature comprend les mots : “en mémoire d’une prière commune pour la patrie et les compatriotes du monde entier dans le sanctuaire de Notre-Dame de Częstochowa à Jasna Góra.”
L’archevêque Wacław Depo, métropolite de Częstochowa, a rappelé les paroles de l’évêque Stefan Wyszyński en 1946 : «Notre nation a entendu de la croix du Christ “Voici votre mère” et à partir de là, l’histoire de la nation entre dans un nouveau pouvoir extraordinaire et nous avons épousé la Nation avec Marie, nous sommes devenus la nation de la Mère de Dieu. “
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2019
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Au cours de l’automne 2014, une statue de la Vierge Marie a été érigée sur une parcelle appartenant à la commune de Saint Pierre d’Alvey (Savoie) au lieu dit « Mont Châtel ». Suite au refus du maire de la déplacer, dans une requête de 2016, des plaignants ont demandé :
1°) d’annuler la décision par laquelle le maire de Saint Pierre d’Alvey a rejeté leur demande en date du 30 mars 2016 tendant à ce que la statue de la Vierge Marie soit déplacée en dehors du domaine public communal aux frais de son propriétaire ;
2°) d’ordonner le déplacement de cette statue.
Leur requête a été rejetée le 19 septembre par le tribunal administratif de Grenoble :
Il ressort toutefois des pièces du dossier, notamment des archives départementales de la Savoie en faisant état dans une instance introduite au Sénat de Chambéry en 1787 ainsi que des nombreuses attestations et photographies versées au débat qui couvrent une large période, que l’emplacement du village sur lequel cette statue a été édifiée comportait déjà, depuis au moins le 18ème siècle, une croix vers laquelle des processions cheminent à la Pentecôte depuis l’Eglise du village à travers un sentier dans les bois. Les requérants n’apportent aucun élément précis de nature à mettre en cause ces pièces qui permettent de tenir pour établis les caractères ancien et régulier de ces processions. Dès lors, cette partie de terrain aménagée, d’une superficie d’environ 400 m2, doit être regardée comme affectée à l’exercice public du culte et ainsi comme formant une dépendance de l’Eglise de la commune située environ à deux kilomètres à vol d’oiseau. Ce site est d’ailleurs exclu du bail conclu par la commune avec la société de chasse afin de préserver son affectation au culte. Il s’ensuit que l’érection de cette statue sur ce site déjà affecté au culte à la date de l’entrée en vigueur de la loi du 9 décembre 1905 ne méconnaît pas les dispositions précitées de l’article 28 de cette loi.
Par ailleurs, l’affectataire de cet emplacement, qui est le prêtre desservant l’église, dispose de la libre disposition des biens nécessaires à l’exercice du culte et a accepté, à ce titre, l’implantation de cette statue financée par des personnes privées, notamment lors de réunions organisées par la commune préalablement à son installation. Elle se rattache nécessairement à l’exercice d’un culte. Par suite, les requérants ne sont pas fondés à soutenir, en tout état de cause, que l’Eglise n’aurait pas accepté cette donation qui serait étrangère à l’exercice du culte.
Source : lesalonbeige