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Ces derniers jours, des adolescents du quartier du Montcel à la Ricamarie ont tenté de construire une piscine de fortune. La municipalité communiste a accepté de la remplir une première fois, mais par peur que quelqu’un s’y noie, la piscine avait été vidée jeudi soir.
Vendredi, certains jeunes ont tenté une autre parade : vers 15 heures, ils ont appelé les pompiers prétextant un feu de voiture. Arrivés sur place, ils ont vite remarqué le pot aux roses.
Loin de se démonter, les jeunes leur ont demandé de remplir la piscine. Et devant leur refus, certains ont tenté de caillasser le véhicule des pompiers sans parvenir à le toucher : « Non seulement cela a mobilisé un fourgon incendie et six pompiers pour rien, souffle un soldat du feu. Mais en plus, ils auraient pu recevoir des pierres. »
À la Belle époque, on ne parlait pas encore de réchauffement climatique. Mais pendant 70 jours de juillet à septembre 1911, la capitale ploie sous le soleil cuisant. Et perd des milliers de bébés.
En ce jour de “marche des fiertés” du lobby LGBTQIxyz, une photo vaut mieux qu’un long discours. Si certains doutaient encore de l’objectif subversif de ce lobby, qu’ils lisent attentivement le message déployé par ces militants LGBT :
“On n’est pas là pour décorer, on détruira votre société“…
Deux sondages sont déjà parus sur les municipales 2020 à Toulouse. Un tableau encore un peu flou au vue du peu de candidats déclarés mais qui permet de dresser un premier portrait électoral de la ville rose.
Les élections municipales sont dans moins d’un an désormais. Et déjà deux sondages se sont tentés d’établir une projection pour la course au Capitole. Les résultats sont à prendre avec des pincettes, étant donné que seuls deux candidats ont actuellement annoncé officiellement leur candidature : Nadia Pellefigue (UNE) et Quentin Lamotte (Rassemblement national).
Municipales à Toulouse : vers une quadrangulaire ?
Le premier sondage réalisé par l’IFOP pour CNews en avril dernier, les résultats à la sortie des urnes au premier tour des municipales 2020 seraient les suivants :
Jean-Luc Moudenc (LR) : 36%
Claude Reynal (PS-PC) : 15%
Antoine Maurice (Archipel citoyen – EELV) : 14%
Jean-Christophe Sellin (France insoumise) : 11%
Jean-François Portarrieu (LREM) : 9%
Quentin Lamotte (RN) : 9%
Nadia Pellefigue (UNE) : 6%
Extrême gauche (sans nom pour la tête de liste) : 2%
Première leçon à retenir, c’est l’avantage non négligeable du maire sortant Jean-Luc Moudenc qui conserve un écart de 21 points sur son dauphin. Le candidat LREM, présent de le sondage, ne sera pas parmi les partants, La République en marche ayant annoncé qu’il ne présenterait pas de liste à Toulouse. Le report de voix vers le candidat Les Républicains pourraient bien conforter son avance. Mais attention. En cas de second tour en quadrangulaire, comme ce premier sondage prévoit, le score de la gauche unie pourrait rejoindre le score de la droite (46-46%). Pour cela, il faut d’abord qu’une alliance entre les listes de gauche soit entreprise.
Autre leçon, les noms de Pierre Cohen, Romain Cujives ou Jean-Pierre Bel sont absents du sondage. Pourtant, ces noms circulent pour conduire une liste indépendante ou étiquetée Generation.s, le mouvement de Benoît Hamon.
Un deuxième sondage conforte le maire sortant
Un nouveau sondage, publié en mai 2018, conforte les résultats du sondage de l’IFOP. Cette fois-ci réalisé par BVA-La Tribune, il annonce Jean-Luc Moudenc premier à 36% en cas de liste LREM face à lui. Mais vu la tournure des derniers jour et le retrait de cette liste, le sondage place le maire sortant à 40% avec le soutien du parti de la majorité présidentielle.
Le sondage indique également la satisfaction des Toulousains quant à l’action de la municipalité depuis 2014 (64% de satisfaits), recueillant 84% d’avis favorables parmi les sympathisants LREM, 56% parmi le PS et le RN. Ils sont 50% à vouloir la réélection du maire sortant, contre 40% contre, les 10% restants ne se prononçant pas.
Le déferlement de l’idéologie du « genre » et des mœurs sodomites bat des records en ce mois de juin 2019.
Le pôle recrutement de l’Armée de Terre prétend maintenant « condamner toutes les formes de discrimination », ce qui est bien sûr faux et impossible (discriminer = choisir, et l’armée fait des choix de recrutement comme tout le monde) ; simplement il cautionne et présente comme égaux des choses et des comportements qui ne le sont pas. Voyez ce charabia presqu’incompréhensible (posté sur facebook) illustré d’un drapeau du lobby LGBT :
Les derniers éléments de normalité de la nation sont en train de disparaître officiellement sous les coups de l’idéologie cosmopolite dominante.