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  • Villeneuve-sur-Lot (47) : autopsie d’un centre-ville en déshérence

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2019

    Par  le 31/07/2019

    Avec ses 22 000 habitants, Villeneuve-sur-Lot, sous-préfecture du Lot-et-Garonne, n’échappe pas aux difficultés que rencontrent la plupart des villes moyennes, où vit près du quart de la population française.

    Une atmosphère fantomatique se dégage de ce centre-ville. On peut passer de longs moments à arpenter les rues sans croiser un quidam, surtout avant midi et après 19 heures.

    […] Avec ses 22 000 habitants, cette sous-préfecture du Lot-et-Garonne n’échappe pas aux difficultés que rencontrent la plupart des villes moyennes, où vit près du quart de la population française. « Il n’y a pas que Villeneuve qui est touchée : à Marmande, Cahors, Dax, Mont-de Marsan, c’est la même galère !« , lâche un commerçant, pas vraiment ravi que sa ville ait été choisie pour illustrer le phénomène de désertification des centres-villes. […]

    A 85 ans, Maurice Lang décrit une ville qu’on peine à imaginer. « Les franchises n’envahissaient pas encore la ville. Chaque magasin avait sa spécialité. Il y avait deux quincailleries, plusieurs boutiques d’électroménager, des magasins de retouches avec sept ou huit personnes en permanence. Le chômage n’existait pas. » Dans le Villeneuve de la famille Lang, « on pouvait faire toutes ses courses dans la seule rue de Paris« , le bureau de tabac de la rue de l’Eglise comptait « 2 000 passages par jour » et on se garait un peu où l’on voulait. […]

    Chaque année, les villes moyennes perdent des habitants ou n’en gagnent plus. Les ménages aisés préfèrent aller s’implanter en périphérie. C’est la possibilité pour eux d’avoir accès à une maison avec jardin « plutôt qu’un appartement en assez mauvais état et mal isolé en centre-ville » pointe Nicolas Rio. Cette tendance s’observe très nettement sur la carte interactive map.datafrance.info, mise en ligne à partir de données de l’Insee. La part de logements vacants dans les villes moyennes dépasse très souvent les 10% : elle atteint 11% à Châteauroux (Indre), 12% à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), 15% à Annonay (Ardèche) et même 21% à Vichy (Allier). […]

    Alain Thouvenot, patron du restaurant Le Tortoni à l’entrée de la ville, a vu la misère gagner du terrain. « En sept ans, j’ai constaté une grande évolution de la population du centre-ville« , confie ce quadragénaire, en baissant la voix. «  On se retrouve avec une population ‘CAF’ qui n’a pas de pouvoir d’achat. Les gens regardent beaucoup plus leurs dépenses : quand ils déjeunent, ils ne prennent plus de verre de vin, même plus de café. Ça tire vers le bas au maximum
    « , explique-t-il, en comptant minutieusement les dizaines de pièces jaunes qui ont servi à payer un panaché. […]

    francetvinfo via fdesouche

  • L’Inde à l’offensive en Afrique francophone

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2019

    Par  le 31/07/2019

    Le président indien Ram Nath Kovind est en visite officielle cette semaine dans trois pays africains jamais visités par les autorités de New Delhi : le Bénin, la Gambie et la Guinée. Pour ce journal burkinabé, l’Inde “passe à l’offensive diplomatique” sur un continent aussi courtisé par son rival chinois. […]

    Ces quinze dernières années, le commerce entre l’Inde et l’Afrique a plus que décuplé, faisant de New Delhi le quatrième partenaire commercial de l’Afrique. Traditionnellement, les investissements indiens restaient limités à l’Afrique anglophone (pays d’Afrique australe et de l’Est) en raison du nombre élevé de diasporas indiennes dans cette région, mais New Delhi accroît désormais son influence dans la zone africaine francophone.

    Pour le quotidien de Ouagadougou, “le moins que l’on puisse dire, c’est qu’après le sommet Inde-Afrique de 2015, organisé dans la capitale indienne, les autorités de New Delhi semblent passer à l’offensive diplomatique sur le continent noir, où Occidentaux, Chinois et Japonais ont visiblement pris une longueur d’avance sur le géant asiatique”.

    Courrier International via fdesouche

  • Berlin : les moeurs sexuelles enseignées aux réfugiés (Màj)

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2019

    Par  le 31/07/2019

    Berlin (AFP) – En discothèque, un homme et une femme échangent des regards, boivent, rient, dansent, puis s’embrassent. L’homme ramène la jeune femme chez lui, ferme la porte à clé, elle veut partir, il la viole.

    […]

    « Ca arrive fréquemment à Berlin, les jeunes boivent beaucoup, se droguent… » et dans ce cas, ce type d’agression peut se produire, prévient la formatrice, Carola Pietrusky-Niane.

    […]

    Parmi les courtes vidéos présentées lors de la formation, l’une d’elles explique la différence entre rapports sexuels consentis et viol. « C’est comme si vous demandiez à une personne si elle veut une tasse de thé », débute une voix en anglais.

    « Si elle répond : +Oui, j’adore ça+, c’est qu’elle en veut une. Si elle hésite, vous pouvez faire le thé et demander à nouveau », poursuit la vidéo. « Et si quelqu’un dit +Non merci+, ne faites pas de thé et ne vous fâchez pas. » « C’est la même chose avec la sexualité », conclut la vidéo.

    […]

    En Norvège, les migrants ont été obligés entre 2013 et 2015 de suivre ces formations, après plusieurs affaires sordides de viol impliquant des réfugiés.

    En Allemagne, l’année 2018 s’est soldée sur une hausse de 15% des crimes et délits sexuels commis par des étrangers, avec 6.046 infractions contre 5.258 l’année précédente, selon des statistiques officielles. Cette hausse est en partie liée à un durcissement de la législation depuis 2016.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Corse Matin via fdesouche

  • Osio Sotto (Italie): arrestation d’un migrant sénégalais « violeur en série », Salvini évoque la castration

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2019

    Par  le 30/07/2019

    Osio Sotto: viol d’une vendeuse, un sénégalais identifié grâce à l’ADN

    Victime de viol, une femme âgée de 27 ans, originaire de Bergamo, a permis l’arrestation de son agresseur: un individu âgée de 29 ans, d’origine sénégalaise. Pour les carabiniers: c’est un violeur en série

    Elle pleurait et suppliait l’homme qui la violait, à l’arrière du centre de beauté où elle travaille, de s’arrêter. Non seulement cela, mais elle essaya également de se défendre autant qu’elle le pouvait: des griffures, des coups de poing, les morsures et des supplications désespérées, qui ne suffirent pas à mettre un terme à son calvaire, qui dura environ une heure.

    […]

    Malgré le choc, elle réussit à identifier l’homme qui l’avait violée: en essayant de se défendre, elle avait réussi à déchirer l’écharpe avec lequel l’agresseur s’était couvert le visage.

    Un visage que la jeune femme n’a jamais oublié: non seulement elle a fourni une description précise aux enquêteurs, mais elle a également reconnu son visage parmi les nombreuses personnes présentes dans le registre des forces de police.

    […]

    La preuve par l’ADN

    L’agresseur, le Sénégalais Moustapha Diop, âgé de 29 ans, était déjà connu pour un précédent: il a été arrêté en 2014 pour avoir agressé sexuellement une femme dans le parking d’un supermarché.

    Condamné, à l’époque, à une peine de 14 mois de prison, il était relâché après une journée d’incarcération, sa peine ayant été suspendue.

    Bien évidemment, son permis de séjour était invalidé et depuis 2016: il vivait clandestinement en Italie

    […]

    Un violeur en série

    C’est un individu qui a déjà des antécédents spécifiques et nous pouvons donc le définir comme étant un « violeur en série », a déclaré le commandant des carabiniers à Bergame, le colonel Paolo Storoni. La vendeuse de Osio Sotto n’est pas sa seule victime.

    Une semaine après cette agression, le Sénégalais réitérerait des violences contre une prostituée lituanienne, toujours à Osio Sotto. En novembre de l’année précédente, il avait volé et tenté de violer une autre femme…

    […]

    Brescia Today via fdesouche

  • Ces politiques algériens qui investissent dans l’immobilier parisien

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2019

    Auteur : Michel Janva

    Ces politiques algériens qui investissent dans l’immobilier parisien

    L’Obs s’est intéressé dans son édition du 25 juillet aux biens immobiliers acquis par de hauts responsables algériens, situés dans les beaux quartiers de Paris.

    • l’ancien ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, habite un magnifique appartement à Neuilly, dont le mètre carré est estimé à 15 000 euros. Ce haut fonctionnaire a acheté en 2011 ce très grand appartement à une princesse saoudienne pour 3,45 millions d’euros
    • l’ancien ministre de l’Industrie, Abdesselam Bouchouareb, objet d’un mandat d’amener émis par la justice algérienne, compte une belle résidence en bordure de Seine et face à Notre-Dame. Un 156 mètres carrés acheté à son nom pour un montant de 1 180 000 euros en 2006 et dont l’estimation, aujourd’hui, est entre 2,5 et 3 millions d’euros.
    • l’ex-chef du protocole de la présidence Mokhtar Reguieg possède avec sa fille, étudiante, et sa femme, au nom d’une SCI, un bien situé dans le 12e arrondissement, un petit deux-pièces à deux pas de la mairie en février 2018. Une transaction à ‘‘seulement’’ 320 000 euros, mais payée comptant.
    • la fille de l’ex-Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a un bien situé sur les Champs-Elysées, près de l’hôtel Claridge, acheté à 860 000 euros,
    • Amar Saadani, ancien président de l’Assemblée, possède un bien à Neuilly-sur-Seine acheté en 2009 pour 665 000 euros et payé pour moitié par prêt bancaire et pour moitié sur deniers personnels, et un quatre-pièces de 101 mètres carrés situé au boulevard Victor-Hugo au nom de la SCI l’Olivier «qui associe cet homme politique de premier plan à plusieurs membres de sa famille».
    • Cherif Rahmani, ancien ministre, possède un 84 mètres carrés dans le 16e arrondissement acheté pour la somme de 878 000 francs et estimé à plus d’un million d’euros aujourd’hui. L’acquisition reposait sur la base d’une SCI créée en 1997 sous le nom du chauffeur personnel de l’ancien ministre, puis transmise à plusieurs propriétaires jusqu’à l’épouse du haut responsable. La propriété du bien en question est aujourd’hui au nom des enfants de l’ancien responsable.

    L’observatoire se demande comment un haut fonctionnaire qui gagnerait 5000 euros par mois peut acheter un hôtel particulier pour plusieurs millions d’euros. Et l’article se demande pourquoi la justice française ne se saisit-elle pas du cas des hommes politiques sur lesquels les plus lourds soupçons.

     

    Source : lesalonbeige