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  • Si Dieudonné est « hors cadre », c’est à cause des autorités

    Publié Par Guy Jovelin le 14 octobre 2020

    Une fois de plus, les moyens de l’État ont été détournés pour persécuter l’humoriste Dieudonné.

    Samedi soir, alors que l’artiste était en représentation à Favières (54) dans une ancienne scierie, les gendarmes sont intervenus pour interrompre le spectacle à la demande d’élus locaux.

    La directrice du cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle a déclaré qu’elle cherchait sur quelles bases légales elle allait pouvoir verbaliser l’humoriste, l’accusant d’avoir utilisé un lieu non adapté pour un spectacle et de ne pas avoir fait respecter les gestes barrières à son public.

    Cependant, la seule chose à accuser dans toute cette affaire, c’est la dictature du politiquement correct qui oblige un artiste à se produire de manière clandestine car son humour ne plaît pas au gouvernement. Avant de jouer dans cette scierie, Dieudonné a déjà joué, par exemple, dans un champ ou encore dans un bus, alors que son public est assez nombreux, et de loin, pour remplir n’importe quelle salle de spectacle.

    Priver Dieudonné de salles de spectacle l’oblige à fonctionner « hors cadre », comme s’en plaint la directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle. Si les autorités veulent réellement remédier à cette situation, ils doivent cesser de condamner Dieudonné à la clandestinité.

    Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France

  • Mont-de-Marsan (40) : trois “jeunes” foncent en voiture sur un policier, qui fait feu pour se défendre

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2020

    Trois jeunes, âgés d’une vingtaine d’années, sont en garde à vue ce mercredi matin au commissariat de Mont-de-Marsan. Ils sont suspectés d’avoir été dans une voiture qui a foncé sur des policiers.

    Les faits remontent à la nuit de lundi à mardi. La brigade anticriminalité (Bac) de nuit patrouille dans le secteur du centre pénitentiaire de Pémégnan quand elle avise un véhicule suspect. Il prend la fuite en les voyant.

    (…) Le conducteur refuse de se soumettre aux injonctions et fonce en direction d’un agent sur la route. Ce dernier fait usage de son arme de service et tire sur le véhicule avant de se jeter sur le côté pour éviter la collision. Le véhicule prend une nouvelle fois la fuite.

    (…) Sud Ouest via fdesouche

  • Une mère veut obtenir de l’État français une aide financière pour sa fille djihadiste détenue en Syrie

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2020

    Les avocats d’une femme dont la fille est détenue dans un camp en Syrie avec ses trois enfants ont saisi mercredi le tribunal administratif de Paris pour qu’il contraigne l’Etat à aider financièrement cette dernière ou d’autoriser sa famille à le faire, ont-ils indiqué à l’AFP.

    La fille de leur cliente, âgée d’une trentaine d’années, est retenue dans le camp de Roj (nord-est de la Syrie) avec ses trois enfants âgés de 2 à 8 ans.

    “Si l’État fait actuellement le choix de ne pas organiser le rapatriement de ses ressortissants, il lui incombe de venir en aide matériellement et financièrement à ces derniers ou à tout le moins de permettre à leurs familles de le faire” sans risquer des poursuites pénales, résument Mes Vincent Brengarth et William Bourdon dans un référé-liberté dont l’AFP a obtenu une copie.

    Cette requête “inédite” met l’accent sur “l’aspect humanitaire”, a souligné Me Brengarth, rappelant les conditions sanitaires dégradées et la malnutrition dans les camps, auxquelles s’ajoute l’épidémie de coronavirus.

    La Provence via fdesouche

  • Mathieu Kassovitz : “Dans 50 ans, il n’y aura plus de racistes, juste des poches de blancs séparatistes. On va tous se mélanger; le métissage est inévitable”

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2020

    (…) Mais faut pas confondre les choses. Il n’y avait pas de banlieusards parmi les Gilets jaunes. Les Gilets jaunes, c’est la France profonde, cela n’a rien à voir avec la banlieue, ni avec la brutalité policière. Il n’y a aucun rapport entre manifester pour vivre mieux et parce que le prix de l’essence a augmenté de 10 centimes et manifester parce que son frère s’est fait abattre par un flic dans un commissariat. C’est un privilège de blancs de pouvoir manifester dans la rue pour le prix du pétrole. Ceux qui sont vraiment dans la galère, ils manifestent pour des choses vraiment importante, ils se battent pour survivre.

    (…) Dans 50 ans, il n’y aura plus de racistes, juste des poches de blancs séparatistes. On va tous se mélanger; le métissage est inévitable. Et au bout d’un moment, cela ne fera même plus partie de la conscience commune de juger quelqu’un pour la couleur de sa peau, parce que tu sauras même plus de quelle couleur est sa peau.

    (…) La libre via fdesouche

  • DES AGENTS DE SÉCURITÉ TCHÉTCHÈNES FONT LA LOI DANS LES BANLIEUES DE MELUN

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2020

    Des agents de sécurité tchétchènes font la loi dans les banlieues de Melun

    PARIS VOX – ALORS QUE L’ETAT DÉMONTRE TOUS LES JOURS SA DÉFAILLANCE DANS SES MISSIONS LES PLUS RÉGALIENNES, CERTAINS DÉCIDENT DE FAIRE LE TRAVAIL À SA PLACE. C’EST LE CAS EN CE QUI CONCERNE LA SÉCURITÉ. AINSI, DEPUIS DÉCEMBRE 2019, DES BAILLEURS SOCIAUX DE MELUN ONT DÉCIDÉ DE PRENDRE LA SÉCURITÉ DE LEURS IMMEUBLES EN MAINS VIA DES AGENTS DE SÉCURITÉ TCHÉTCHÈNES.

    Ces bailleurs sociaux, excédés par l’insécurité qui règne dans les quartiers où sont implantés leurs immeubles et où les voyous sont rois jusque dans les cages d’escaliers, ont fait appel à Protection +, une société de sécurité privée. Cette dernière missionne des agents de sécurité qui patrouillent dans les rues et dans les parties communes des immeubles gérés par les bailleurs sociaux, à raison d’une dizaine de rues par soir. Ils visent tout particulièrement les lieux ou se concentre le trafic de drogue.

    Les résultats semblent positifs  : les habitants les remercient et les fauteurs de troubles, désormais avertis, se cachent dès que leur présence est annoncée. Toutefois, le choix des agents de sécurité n’est pas totalement anodin. Ils sont pour l’immense majorité d’entre eux tchétchènes. Or cette communauté est connue pour être à l’origine d’une partie du trafic de drogues dans certaines banlieues de l’immigration. Cette implication de la communauté tchétchène dans le trafic de drogue avait mené à de violents affrontements à Dijon avec la communauté maghrébine de la capitale bourguignonne. Un choix qui est peut être une coïncidence mais qui pourrait aussi être interprété comme un fin calcul.

    La preuve en tout cas, une nouvelle fois, d’une totale déliquescence de l’Etat en France.

     

    Source : parisvox.info