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  • Douce France : Le Sénat autorise Darmanin à nous surveiller en violation au droit européen

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Hier, sur demande du ministère de l’Intérieur, le Sénat a autorisé les services de renseignement à conserver leurs « boites noires », alors même que ces dispositifs venaient d’être dénoncés par la Cour de justice de l’Union européenne.

     

     

    Introduites par la loi de renseignement de 2015, les « boites noires » sont des dispositifs analysant de façon automatisée l’ensemble des communications circulant sur un point du réseau de télécommunications afin, soi-disant, de « révéler des menaces terroristes ». Cette surveillance de masse n’avait été initialement permise qu’à titre expérimental jusqu’à la fin de l’année 2018. Cette expérimentation avait été prolongée jusqu’à la fin de l’année 2020 par la loi antiterroriste de 2017.

     

    Voyant la fin d’année arriver, le ministère de l’Intérieur a souhaité prolonger ses pouvoirs d’encore un an, par un projet de loi déposé le 17 juin dernier et que nous dénoncions déjà (le texte prolonge aussi les mesures de l’état d’urgence intégrées dans le droit commun par la loi SILT de 2017). Le 21 juillet, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi, et c’était au tour du Sénat de se prononcer.

     

    Le 6 octobre, entre temps, un évènement majeur est intervenu et aurait dû entrainer la disparition immédiate de ce texte. La Cour de justice de l’Union européenne s’est prononcée sur la loi renseignement et nous a donné raison sur de nombreux points, notamment sur les boites noires.

     

    La Cour a constaté que, en droit français, une « telle analyse automatisée s’applique de manière globale à l’ensemble des personnes faisant usage des moyens de communications électroniques » et que « les données faisant l’objet de l’analyse automatisée sont susceptibles de révéler la nature des informations consultées en ligne » (le gouvernement ayant avoué au cours de l’instruction que les boites noires analysent l’URL des sites visités). D’après la Cour, cette « ingérence particulièrement grave » ne saurait être admise qu’à titre exceptionnel « face à une menace grave pour la sécurité nationale qui s’avère réelle et actuelle ou prévisible »« pendant une période strictement limitée ». Enfin, les boites noires doivent faire « l’objet d’un contrôle effectif soit par une juridiction, soit par une entité administrative indépendante, dont la décision est dotée d’un effet contraignant ».

     

    Les exigences de la Cour sont beaucoup moins strictes que celles que nous espérions obtenir en allant devant elle – nous voulions l’interdiction pure et simple de toute surveillance de masse. Il n’empêche que ses exigences sont bien plus strictes que celles du droit français. L’article L851-3 du code de la sécurité intérieure autorise les boites noires de façon générale et par principe, sans être conditionnée à la moindre « menace réelle et actuelle » – menace qu’on ne saurait identifier aujourd’hui, d’ailleurs. Le droit français n’encadre ces mesures dans aucune « période strictement limitée » mais les autorise au contraire depuis cinq ans de façon ininterrompue. Enfin, le contrôle des boites noires a été confié à la CNCTR qui, en droit, n’a aucun pouvoir contraignant.

     

    Le droit français viole clairement le droit européen. La Cour de justice l’a déclaré sans ambigüité. En réaction, les sénateurs auraient dû refuser immédiatement et automatiquement la prolongation demandée par le ministère de l’intérieur. Ses boites noires sont illégales et, s’il tient vraiment à les maintenir, il n’a qu’à corriger sa loi.

     

    Qu’ont fait les sénateurs ? Ils ont prolongé les boites noires pour une année entière au lieu des sept mois votés par l’Assemblée (sur les dispositifs de la loi SILT, les sénateurs ont carrément décidé de les pérenniser sans débat). Sinon, rien. Les pleins pouvoirs ont été reconduits dans les mains de Darmanin. Tant pis pour l’État de droit.

     

    Le texte, examiné en lecture accélérée, va maintenant passer en commission mixte paritaire où l’Assemblée et le Sénat chercheront un compromis – qui ne s’annonce pas vraiment en faveur de nos libertés. Ensuite, tel que le ministre de l’intérieur l’a rappelé au Sénat, il proposera bientôt une nouvelle loi renseignement qui, entre autres choses, entend bien autoriser de façon pérenne les boites noires. La bataille sera ardue : commençons-la dès maintenant.

    Source : La Quadrature du Net

  • Meurtre de Victorine : emblématique de la « France d’après ». Le tueur a déjà été condamné 10 fois par la justice

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Un certain Ludovic Bertin (ci-dessus à gauche) a avoué lors de sa garde-à-vue avoir tué Victorine Dartois (à droite), jeune Française de 18 ans.

    Celle-ci avait disparu le 26 septembre, en Isère, alors qu’elle rentrait chez elle.

    D’après la version de cet intrus sur le sol français, il aurait croisé l’étudiante sur un parking de Villefontaine alors qu’elle rentrait chez elle à pied, après une après-midi passé au centre commercial. Il  dit l’avoir « croisée par hasard » alors qu’il faisait un footing. « Une dispute aurait alors éclaté entre eux après une bousculade involontaire », a expliqué le procureur adjoint.

    En réalité, elle a dû héroïquement refuser de céder aux avances de cette ordure, qui a été finalement mis en examen « pour enlèvement, séquestration et meurtre précédé d’une tentative de viol ».
    L’autopsie révèle que Victorine a été noyée de force.

    Celui que la presse (Le Monde en particulier) a présenté comme “un jeune père de famille”, né le 25 mai 1995 à Vénissieux, a été condamné à plusieurs reprises durant sa minorité, notamment pour port d’arme, vol, destruction. En 2019, le tribunal de Lyon l’a condamné pour des vols avec effraction commis dans l’est lyonnais courant 2017 et 2018.

    Les jeunes Français, et en particulier les filles, n’ont pas fini de payer le prix de ce que la génération boomer a fait de ce pays, livré à une colonisation barbare.

     

    Source : contre-info

  • Roissy-en-Brie (77): il offre gîte et couvert à des Roms, ils le tabassent et pillent son appartement

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Roissy-en-Brie. Il leur offre l’hospitalité et se retrouve violemment séquestré pour ses biens

    Un habitant de Roissy-en-Brie avait été séquestré et passé à tabac à son domicile, pour ses biens, volés par trois Roumains. Ces derniers ont été condamnés.

    […]

    Le mobile de ce passage à tabac a été le pillage complet de l’appartement de la victime : tous les objets de valeur, télévision, téléphonie, hi-fi, électronique et bijoux. Sans oublier la carte bancaire. Le tout a été chargé dans la Peugeot 309 des malfaiteurs. L’ensemble du butin, d’une valeur de 10 000  € a été ensuite refourgué à vil prix, porte de la Chapelle

    […]

    Tout avait commencé quelques jours avant le drame, lorsque la future victime, demeurant rue des 50-Arpents, remarque Ionut B. en train de faire les poubelles devant son domicile. Il lui propose de l’accueillir le temps d’un repas. Il lui donne même quelques vêtements. L’autre lui raconte qu’il vit dans un camp de Roms de la banlieue parisienne.

    […]

    L’article dans son intégralité sur La République de Seine et Marne via fdesouche

  • Le gouvernement des Pays-Bas veut légaliser l’euthanasie des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Le gouvernement des Pays-Bas a annoncé mardi son intention de légaliser l’euthanasie pour les enfants malades en phase terminale âgés de un à douze ans.

    Le ministre de la Santé Hugo de Jonge a indiqué qu’il allait rédiger une réglementation sur le sujet, en se basant sur une étude rédigée par des “experts” affirmant que des enfants malades souffraient “désespérément”.

    L’euthanasie est déjà légale aux Pays-Bas pour les plus de 12 ans qui peuvent donner leur consentement, ainsi que… pour les bébés de moins d’un an avec le consentement des parents.

    Par contre, à ce stade il n’existe pas de clauses légales permettant d’euthanasier les enfants d’un à 12 ans, car les autorités néerlandaises n’avaient jusqu’ici pas pu se mette d’accord sur le fait de savoir si des enfants de cet âge sont capables ou non de prendre pareille décision.

    Les ministres du gouvernement de coalition du Premier ministre Mark Rutte sont finalement tombés d’accord sur le sujet mardi après des mois de désaccords.

    Les lois existantes ne seront pas modifiées, mais les médecins seront protégés de toute poursuite pour avoir procédé à une euthanasie autorisée sur un enfant qui souffre, a précisé le ministre de Jonge.

    Le parlement néerlandais devrait encore débattre du sujet jeudi, mais sauf miracle cette réglementation mortifère devrait entrer en vigueur dans les prochains mois.

    Les Pays-Bas et la Belgique voisine furent les premiers pays au monde à légaliser l’euthanasie en 2002.

    La Belgique devint ensuite le premier pays à autoriser l’euthanasie volontaire d’enfants en 2014, suivie rapidement par les Pays-Bas.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le monastère Saint-Sauveur-in-Chora de Constantinople sera ouvert à la prière musulmane le 30 octobre

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2020

    Le monastère Saint-Sauveur-in-Chora de Constantinople sera ouvert à la prière musulmane le 30 octobre

    Lu sur Orthodoxie :

    Après la provocation à Sainte-Sophie, le monastère historique du Saint-Sauveur-in-Chora de Constantinople sera ouvert pour le namaz, la prière musulmane. C’est ainsi que la décision signée par le président Erdoğan entrera en vigueur. Comme l’a annoncé le service des Affaires religieuses de Turquie, le namaz aura lieu le vendredi 30 octobre au monastère du Saint-Sauveur-in-Chora et ce pour la première fois depuis 75 ans. Cet événement est préparé activement, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’édifice. Comme à Sainte-Sophie, les fresques seront masquées par des rideaux. Le président turc participera lui-même au namaz. Rappelons que le patriarche Bartholomée a rencontré Mounir Bouchenaki, conseiller spécial du directeur général de l’Unesco, le mercredi 7 octobre et a évoqué avec lui, entre autres la récente transformation de Sainte-Sophie en mosquée.

     

    Source : lesalonbeige