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  • "Faire bloc"? Oui! Contre le régime !

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2020

    La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.

    Aussi abominable soit-il cet acte commis par un immigré tchétchène n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.

    Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc".

    Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : 1 personne, debout et costume
     
     
     
  • « France d’après » : un enseignant décapité dans la rue par un Tchétchène

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2020

    Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui…
    A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.

    « La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]

    Vers 17 heures, à Eragny (Val d’Oise) une équipage de la brigade anticriminalité de Conflans Sainte-Honorine a repéré un individu portant un couteau. Quand les policiers lui ont demandé de mettre à terre son arme, ce dernier a refusé. « Agressif et menaçant», il a été abattu par la police. A ses côté, ils ont découvert le corps d’un homme décapité.

    Les fonctionnaires n’ont pas pu s’en approcher immédiatement car l’assaillant serait porteur d’un gilet explosif et une opération de déminage était en cours en fin de journée. » (source)

    Un Tchétchène a revendiqué l’attaque sur les réseaux sociaux :

     

    Source : contre-info

  • Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2020

    Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale

    De Jacques Bompard :

    Pire que le Covid, il existe une maladie kafkaïenne qui s’est emparée de l’exécutif. Concomitante du virus asiatique, ce dérèglement de la logique et du bon sens se traduit par une surenchère des oukases sanitaires, contradictoires les unes avec les autres et perpétuellement changeantes.

    Il n’y a pas que le nombre de lits de réanimation qui n’a pas changé depuis le mois de mars. Aucune leçon médiatique n’a été tirée de la cacophonie de la période du confinement.

    Ainsi, le discours d’Emmanuel Macron le 14 octobre au soir a ouvert le grand retour des règles absurdes de « Jacques a dit : pas plus de six à table » ou encore de « Jacques a dit : le virus va dans les bars qu’après 21 heures ».

    Le plus ironique et le plus triste dans cette gabegie aux velléités sanitaires, ce sont l’inadéquation des mesures édictées et les zones à risques identifiées : ils pénalisent les restaurants mais ils ne disent rien sur les transports en commun bondés ; ils surveillent la vie intérieure des familles mais ignorent l’école ; ils décrètent les couvre-feux, enfin, mais ne laissent frontières et aéroports ouverts.

    MORT ÉCONOMIQUE

    Appuyé sur un conseil scientifique anonyme et la dictature sacrée de courbes mathématiques ésotériques, le gouvernement relance un confinement partiel qui ne dit pas son nom mais qui a d’ores et déjà deux effets majeurs sur la vie des Français.

    Le premier est l’arrêt de mort économique de plusieurs corporations déjà gravement touchées par les conséquences de l’épidémie depuis le début de l’année. L’hôtellerie-restauration, grandement dépendante du tourisme, s’est adaptée aux nouvelles contraintes parfois au prix d’investissements coûteux pour accueillir une clientèle moindre. Les nouvelles règles de couvre-feu et d’accueil réduisent à néant les derniers espoirs de survie de l’un des derniers fleurons commerciaux français.

    Le deuxième effet est de pousser les Français à l’exaspération et à l’indiscipline tant les règles changent, demeurent hermétiques et surtout apparaissent arbitraires. Le principal ressort de la défense sanitaire adoptée par la Suède est la pédagogie, laquelle repose sur des ordres permanents et identiques depuis le début de l’épidémie. La Suède n’a pas confiné et n’impose pas le port du masque. Son économie fonctionne quasi normalement. Le taux de létalité n’est pas supérieur aux autres pays occidentaux, c’est le pays en passe d’atteindre un seuil d’immunité collective protecteur face au Covid. Pourquoi ? Parce que la Suède décide de responsabiliser ses habitants plutôt que de réduire leurs libertés au gré des dernières paniques ou du dernier rapport pondu par quelque organisme international aux intérêts obscurs.

    SÉQUESTRATION DES LIBERTÉS

    Ces règles sanitaires ressemblent de plus en plus à une méthode de gouvernement : la gestion des affaires courantes sous le mode de l’état d’urgence. Or, ce n’est pas une plus grande efficacité politique et technique qui en ressort, mais un constat terrible. La ruine des libertés publiques accélère celle de l’économie réelle et des derniers vestiges de l’Etat-providence. Nous vivons une ère de liquidation générale plutôt que de préservation nationale. Les restrictions imposées n’ont pas pour finalité de redresser la médecine en France ou de rétablir des règles évidentes de bon sens dans les finances publiques.

    Est-ce que l’état d’urgence sécuritaire a provoqué une amélioration de la sécurité quotidienne des Français ? La réponse est non. Est-ce que l’état d’urgence sanitaire préservera la santé publique ? La réponse risque d’être malheureusement la même.

     

    Source : lesalonbeige