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  • Un vice-président du tribunal de grande instance de Paris humaniste et pro-migrants mis en examen pour proxénétisme

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2021

    Un magistrat parisien mis en examen pour proxénétisme

    Il est décrit comme un magistrat du siège humaniste, passé par plusieurs grandes juridictions de la région parisienne. On le dit très soucieux des droits de l’homme – et notamment des étrangers – et peu friand de la détention provisoire systématique. Mais aujourd’hui, ce vice-président du tribunal de grande instance de Paris, affecté à la deuxième chambre, est dans le collimateur de ses pairs pour des soupçons infamants et aux antipodes de ses valeurs professionnelles.

    D’après des sources concordantes, ce magistrat d’une quarantaine d’années a été mis en examen mercredi par un juge d’instruction de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour « proxénétisme » et placé sous contrôle judiciaire. Il avait préalablement été entendu en garde à vue depuis lundi par les policiers de l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRETH) dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet de Nanterre en mai dernier.

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Le naufrage de la Ligue des Droits de l’Homme

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2021

    Mazas
     

    04/01/2021 – 19h30 Montpellier (Lengadoc Info) – C’est le titre d’un article de Judith Waintraub publié dans les colonnes de Figaro Vox le 24 décembre 2020 et réservé aux abonnés, portant sur la dérive de cette association centenaire. Des droits de l’Homme reconnus en fonction de la couleur politique des individus font taxer aujourd’hui la LDH d’« islamo-gauchiste ».

    L’antisionisme, un antisémitisme de gauche ?

    Judith Waintraub analyse donc l’évolution relativement récente de la Ligue des Droits de l’Homme qui, à partir des années 90, a commencé à prendre de plus en plus fait et cause pour la religion musulmane. Lorsqu’à cette époque Madeleine Rebérioux prit la présidence de la Ligue, l’association « a alors mis toute son autorité morale au service de mouvements d’extrême gauche dont elle a épousé les combats anticapitalistes, anticolonialistes ou propalestiniens. ». C’est cette tendance lourde qui a gangréné les milieux de gauche auparavant plutôt axés sur la défense des intérêts du peuple juif et de la défense de sa mémoire (lutte contre l’antisémitisme, le révisionnisme…). Il est d’ailleurs très intéressant de constater que ce véritable schisme idéologique a complètement rebattu les cartes du jeu politique français en faisant des anciens alliés à gauche des ennemis jurés, et des ennemis d’hier des alliés objectifs.

    En effet, on a pu alors constater à gauche, que les tenants de la cause palestinienne (et les défenseurs de l’Islam) sont désormais désignés prioritairement comme un danger par une majorité de Juifs de France qui assimilent sémantiquement le nouvel antisionisme à un antisémitisme de gauche. A tel point qu’une résolution de loi a été votée à l’Assemblée afin d’assimiler judiciairement les deux termes.

    A droite, c’est du côté du Front National (et aujourd’hui Rassemblement National) que la défense des Juifs de France contre les attaques des islamistes trouve écho. Le parti fondé par Jean Marie Le Pen était qualifié depuis des décennies tout simplement comme un parti « nazi ». Le slogan favori des milices antifascistes de l’époque était bien « Et F comme Fasciste et N comme Nazi ». Aujourd’hui, l’écrivain Eric Zemmour, qui ne cache pas sa judaïté, est le théoricien des patriotes français et c’est une autre ligue, la Ligue de Défense Juive (fille du Bétar, milice juive anti FN des années 80) qui assure la sécurité de Marine Le Pen lors de certains événements.

    Dérive « islamo-gauchiste » de la LDH

    Judith Waintraub effectue donc une recension des divers moments forts -voire choquants- qui ont poussé la Ligue des Droits de l’Homme sur la pente polémique et mortifère de la défense de l’Islam à l’heure où le terrorisme islamiste menace la paix en France. Mortifère parce qu’en prenant la défense de ces nouveaux damnés de la terre que sont censés représenter les Musulmans ou « considérés comme tels », la Ligue des Droits de l’Homme devient l’allié objectif des terroristes islamistes. Et polémique, puisque pour les mêmes raisons, elle s’attaque aux libertés de ceux qui ont le courage de dénoncer ce terrorisme islamiste et les causes qui en sont à l’origine. Nous assistons donc à la transformation d’une association censée défendre nos droits fondamentaux en un monstre aveugle qui terrorise le citoyen lambda en le détruisant socialement et en le faisant passer pour un criminel voire un fou. La bonne vieille technique des états totalitaires auréolée de bons sentiments…

    Ainsi en est-il de la dénonciation de l’islamophobie, avec tous ses effets pervers. La récente dissolution du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui était un cache sexe pour une association accusée par le gouvernement de propager « avec constance une action de propagande islamiste ». La défense par la Ligue des Droits de l’Homme, de l’ « intellectuel » Tariq Ramadan maniant l’art de la Taqîya avec brio et constance même alors qu’il est accusé de plusieurs viols a fait grincer des dents. Un texte interne destiné à sensibiliser le président Emmanuel Macron aux dangers que ferait courir sa loi contre le séparatisme à la population musulmane a été ajournée à la suite de la décapitation de Samuel Paty. Et tout récemment c’est la plainte « contre une prof d’université menacée de mort sur les réseaux sociaux pour avoir qualifié sur le ton de l’humour l’islam et le judaïsme de « religions sexuellement transmissibles » » qui interpelle Judith Waintraub.

    Et Sophie Mazas dans tout ça ?

    Sophie Mazas est la présidente de la Ligue des Droits de l’Homme pour le département de l’Hérault. Elle est également avocate de profession et accapare les micros et caméras de la Presse locale aussi souvent qu’elle le peut. Elle y tient pratiquement une tribune médiatique permanente, toujours très conciliante. Reconnaissable à son éternelle polaire bleu ciel, elle harangue la foule de ses soutiens, toujours prête à pourfendre le Patriarcat et ses représentants. Il est à croire que nombreux sont les hommes à ne pas avoir droit aux fameux Droits de l’Homme. Sophie Mazas se revendique ouvertement antifasciste et les représentants locaux de cette milice ultra violente dite « antifa » savent qu’ils peuvent bénéficier du soutien de poids de Sophie Mazas et de sa « Ligue de défenseurs des droits » auto proclamée « Justice League » dans les manifs antifas.

    Sophie Mazas utilise l’aura que lui confère son statut de présidente de la LDH ainsi que son statut de femme pour organiser des défilés antifascistes non déclarés comme le 25 mars 2018. Ce jour-là, une soixantaine d’antifascistes parmi lesquels des hooligans de Montpellier et des Black Blocs armés de manche de pioche avaient bloqué le passage d’une manifestation de la Ligue du Midi en hommage au colonel Arnaud Beltrame. C’est Sophie Mazas qui dirigeait le cortège en compagnie de Jules Panetier. Le 17 mai 2019, Sophie Mazas avait tenté de perturber une conférence de presse de la Ligue du Midi en usant pendant près d’une heure de provocations diverses, elle s’est même jetée à terre lorsque des participants ont tenté de l’éloigner.

    Outre la ligue du Midi, c’est notre antenne de réinformation qui est une cible de Sophie Mazas qui, en digne défenseuse des droits de l’Homme revient lors de réunions publiques sur la nécessité de poursuivre juridiquement Lengadoc Info. Une conception de la liberté d’expression qui n’étonnera personne et qui illustre parfaitement ce fameux naufrage dénoncé par Judith Waintraub dans les colonnes du Figaro.

    Photos : Lengadoc Info

     

    Source : lengadoc-info

  • Vatican bergoglien : pensée unique et vaccination anti-covid pour tous

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2021

    Alors que jamais la haute hiérarchie progressiste n’aura autant relativisé le dogme catholique et la doctrine de la Sainte Eglise Romaine, nié l’unique vrai Dieu pour mieux accepté mille et une interprétations fausses de la divinité,  il est une pensée unique qui règne en tyran dans les couloirs de Sainte Marthe, l’obligation de la vaccination anti-covid.

    Le journal officieux des officines bergogliennes, le très politiquement correct Vatican Insider, partage, enthousiaste, dans son édition du 2 janvier dernier, la décision vaticane d’une « vaccination pour tous » :

    « Vaccins pour tous au Vatican à partir de la seconde quinzaine de janvier. La campagne de vaccination anti-Covid au sein du petit État papal débutera dans les prochains jours. Cela a été annoncé par la Direction de la Santé et de l’Hygiène du Gouvernorat dans un communiqué publié par le Bureau de Presse du Vatican, expliquant qu’il est prévisible que ”les vaccins pourraient arriver dans l’Etat dans la deuxième semaine de janvier, en quantité suffisante pour couvrir les besoins du Saint-Siège et de l’État de la Cité du Vatican”. »

    On y apprend ainsi que « le vaccin choisi par le Saint-Siège est celui produit par Pfizer, ”le premier à être introduit en clinique” et qui jusqu’à présent ”s’est avéré efficace à 95%. Par la suite, d’autres vaccins produits avec des méthodes différentes peuvent être introduits après avoir évalué leur efficacité et leur innocuité totale” expliquait le professeur Andrea Arcangeli, nouveau directeur de la Direction de la santé et de l’hygiène, dans une interview accordée à Vatican News le 11 décembre dernier, dans laquelle le professeur déclarait également qu’il est ”très important que même dans notre petite communauté, nous commencions au plus vite une campagne de vaccination contre le virus responsable du Covid-19. En fait, seule une vaccination généralisée de la population permettra d’obtenir de réels bénéfices en termes de santé publique pour maîtriser la pandémie. Il est donc de notre devoir d’offrir à tous les résidents, employés et leurs familles la possibilité de se faire vacciner contre cette terrible maladie”. »

    La Rome moderniste du pape François s’aligne sans discernement ni prudence sur les injonctions de l’OMS et des laboratoires pharmaceutiques, il n’y a de place dans les jardins du Vatican que pour le leitmotiv vaccinal anti-covid contre une « terrible maladie » qui dans les chiffres réels est loin d’être si terrible que les scientifiques du politiquement correct veulent le faire croire à des populations déjà amplement apeurées quotidiennement par des médias aux ordres, courroie de transmission de cette pensée covidesque née dans les mentalités des Gates et autres Soros.   

    Bien que proche de la garde rapprochée du jésuite argentin, Vatican Insider admet qu’il ne sait pas « encore si le pape François subira lui-même le vaccin » bien que, précise le journaliste, « depuis le début de la campagne de vaccination lancée dans toute l’Europe, le Saint-Siège a toujours pris le parti des vaccins, à commencer par le Pape François lui-même qui a appelé les gouvernements nationaux et les entreprises à garantir l’accès aux vaccins et aux traitements pour tous, sans distinction ni voie préférentielle ».

    Un appel que le jésuite argentin a réitéré en ses homélies de cette fin d’année 2020 shootée au coronavirus et pétrifiée dans un confinement mondial. Sur le sujet du covid-19, la diversité de pensée scientifique et la relativisation de la maladie sont totalement bannies de la parole bergoglienne, pourtant friande naturellement de diversité et de relativisation dans les domaines religieux, identitaires, sexuels, pire elles friseraient presque, à entendre la pape François, le crime contre l’humanité.

    Pour preuve, l’Académie Pontificale pour la Vie et la Commission Vatican Covid-19, établie par le Pape au sein du Dicastère pour le Développement Humain Intégral, dans un document signé conjointement du 29 décembre dernier intitulé Vaccin pour tous, 20 points pour un monde plus juste et sain définissent comme « une responsabilité morale » de se faire vacciner. L’Eglise conciliaire qui bafoue et pousse les hommes à bafouer les commandements divins, engendre, à la suite des sacrements conciliaires, de la liturgie paulienne, du code canonique de Jean-Paul et de son catéchisme, ses nouveaux commandements acclimatés à l’air du temps. Après le « péché contre l’environnement », celui contre « l’accueil des migrants », voici le péché contre « le vaccin covidesque ».

    Le document divisé en vingt points estime qu’il existe « une interdépendance étroite » entre la santé personnelle et la santé publique, et que cela signifie donc que le refus du vaccin peut également constituer un risque pour autrui. Et « cela vaut également si, en l’absence d’alternative, la motivation [du refus du vaccin, ndlr] était d’éviter de bénéficier des résultats d’un avortement volontaire » précise la note de l’Académie pontificale pour la Vie, qui n’a jamais aussi mal portée son nom…

    Ainsi, non seulement le Vatican se fait le promoteur de cette injonction vaccinale anti-covid dictée par la conscience morale universelle, -et le Big pharma-, dont le pape François est le meilleur allié, des deux, mais comme la majorité des gouvernements occidentaux qui ont profité de cette « pandémie » pour favoriser d’autant plus l’avortement, il cède lui-aussi à la culture de mort en autorisant, à la va-vite, sans recul ni étude doctrinale approfondie, les vaccins issus des cellules de fœtus avortés volontairement. Pire, il oblige, moralement, subversivement, les récalcitrants à ces vaccins à les recevoir en les culpabilisant outrancièrement. En les accusant de mettre en danger la vie d’autrui.

    Par là on voit à quel point l’Eglise conciliaire sombre toujours davantage dans la contradiction permanente, comme son maitre à penser du moment, cette révolution arc-en-ciel post-moderne, maîtresse en l’art de manier les contradictions pour faire avancer son empire coloré déconstructiviste des réalités objectives. Une révolution et un empire auxquels la « nouvelle Eglise » issue de Vatican II, la secte conciliaire comme la définissent d’autres catholiques, s’assujettit par désir de plaire au monde et idéologie progressiste.   

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info