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  • Toulouse : pour une remarque, deux ados de 14 et 16 ans agressent un homme de 72 ans en fauteuil roulant dans le métro, ils ont également frappé son épouse et le fils du couple

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    Ils mangeaient des graines de tournesol, les fameuses pipas. Et crachaient, comme de rigueur, les enveloppes par terre, après s’être régalé de leur contenu. Le problème, c’est que ces deux ados de 14 et 16 ans ne se trouvaient pas dans la rue, en plein air, mais… dans le métro de Toulouse.

    L’épouse également violentée

    De plus, en ce début d’après-midi du mardi 5 janvier, le quai de la station Jean-Jaurès était assez fréquenté. C’est d’ailleurs ce qu’un homme en fauteuil roulant a fait remarquer aux deux lascars. Arguant que l’épidémie de Covid-19 était loin d’être révolue et que cracher au sol dans un lieu clôt n’était ni d’une intelligence ni d’un respect à couper le souffle.

    Les deux jeunes n’ont semble-t-il pas bien pris l’admonestation. S’affranchissant de l’âge et du handicap de la victime, ils l’ont frappée (1 jour d’ITT). L’épouse, âgée de 54 ans a également été violentée (1 jour d’ITT), de même que le fils du couple, âgé de 24 ans.

  • A qui Macron va-t-il rendre hommage ce vendredi à Jarnac?

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    A qui Macron va-t-il rendre hommage ce vendredi à Jarnac? A celui qui pendant quatorze ans de règne républicain a semé, sur un terreau il est vrai déjà bien préparé par ses prédécesseurs, toutes les graines de la désagrégation nationale dont les pousses géantes étranglent chaque année d'avantage notre pays.
    Mitterrand fut un fossoyeur. Un fossoyeur lettré mais un fossoyeur. Sa fréquentation assidue, tout au long de sa vie, des œuvres de Barrés, Chardonne, Drieu ou Rebatet et sa connaissance profonde, charnelle, enracinée de la France ne sauraient suffire à le sauver.
    Vingt-cinq ans après la mort de Mitterrand, le déplacement de Macron sera l'hommage du vice médiocre au vice supérieur.
    JFT
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  • Etat d’urgence sanitaire prolongé et régime transitoire jusqu’au 31 décembre, la dictature Macron n’avance pas masquée

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    C’est le quotidien du système Libération qui a eu la primeur de l’info et qui la délivre benoitement aux Français : « A défaut d’inscrire tout de suite dans la loi «un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires», le gouvernement prévoit de prolonger un état d’urgence sanitaire strict jusqu’au 1er juin et un régime transitoire jusqu’au 31 décembre 2021 » dévoile l’édition du jour avant d’ajouter :

    « L’exercice est périlleux : remettre sur la table la prolongation de l’état d’urgence sanitaire sans pour autant raviver la polémique tout juste éteinte du projet de loi «instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires» retiré, à peine adopté en Conseil des ministres, avant les fêtes de Noël. »

    On se souvient en effet que Twitter avait fait reculer le 22 décembre dernier le gouvernement Castex qui voulait faire voter en procédure accélérée son projet de loi visant à pérenniser l’état d’urgence sanitaire et transformer ainsi les non vaccinés en citoyens de seconde zone.

    Selon les informations distillés par le journal bobo-radical-chic de la gauche caviar, – cette gauche qui produit tels des cloportes des Lang, Duhamel, Cohn-Bendit, suivez mon regard, ces socialo-libéraux abusant outrageusement de « leur » liberté dans les années passées et exigeant aujourd’hui un confinement covidesque liberticide pour sauver leur vieille peau de libertaires libidineux -,

    « le gouvernement va proposer le 13 janvier en Conseil des ministres un projet de loi visant à repousser l’état d’urgence sanitaire en France du 16 février au 1er juin inclus. Le cadre juridique de l’état d’urgence – qui instaure un régime transitoire – sera quant à lui repoussé du 1er avril au 31 décembre inclus. Ce texte est une priorité pour le pouvoir puisqu’il lui permet de prendre des mesures contraignantes pour la population afin de limiter la propagation du virus (confinement, limitation des rassemblements dans l’espace public, couvre-feu). »

    Une décision qui a fait bondir l’ex-député LREM, Martine Wonner, une des rares voix libre de l’Assemblée Nationale. Dans un tweet, elle s’insurge contre ce nouveau « bâillonnement » des droits fondamentaux des Français et s’interroge :

    « la dictature sanitaire est en marche : report des élections régionales, et présidentielles ? ».

     

    Si cette hypothèse se réalisait dans le futur, nous pourrions avoir là une explication des paroles sibyllines de Macron du 4 décembre dernier :

    «Et peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures, parce que les circonstances l’exigeront, et qui rendront impossible le fait que je sois candidat. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Divorce : le mariage, davantage aligné sur le régime du Pacs, est désormais moins protégé qu’un contrat

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    Divorce : le mariage, davantage aligné sur le régime du Pacs, est désormais moins protégé qu’un contrat

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    Denis Moreau, professeur de philosophie à l’université de Nantes, et Alexandre Stobinsky, magistrat au tribunal judiciaire de Créteil, signent une tribune dans Le Figaro, dans laquelle ils dénoncent la facilitation du divorce :

    […] Toutefois, sans l’accord de l’un des mariés, et hormis une faute caractérisée de l’un d’entre eux, un divorce ne peut être aujourd’hui demandé qu’après deux ans de séparation effective. La réforme a fait passer cette durée à un an. Elle était de six ans avant 2004. Désormais, dans un cas extrême, douze mois après la célébration d’un mariage, celui-ci pourra être rompu de manière unilatérale. On nous objectera légitimement l’urgence ou l’impérieuse nécessité parfois de divorcer sans l’aval de son conjoint. Mais outre le fait que le divorce pour faute est toujours un recours possible, le juge aux affaires familiales peut prendre toute mesure provisoire afin d’assurer la protection de l’un des époux. Et si l’urgence à la séparation avancée par l’un d’eux est à ce point importante, pourquoi alors maintenir un délai, même de douze mois ?

    Ainsi, la réforme conduit davantage encore à aligner le régime du mariage sur celui du Pacs, ce dernier pouvant être dénoncé unilatéralement, sans préavis. Le mariage perd progressivement le caractère institutionnel qu’il a longtemps porté – bien avant sa consécration par les religions monothéistes – et qui faisait de lui la forme la plus aboutie de la conjugalité. Rien n’interdisait d’espérer qu’au contraire, le législateur le renforçât alors que les Français le plébiscitent. Mais soyons complètement honnêtes, l’évolution de la loi autorise davantage de mariages puisqu’elle facilite les divorces. L’économie de la célébration continue de tourner.

    En réalité, le texte de l’ancienne garde des Sceaux ne fait que suivre un mouvement sociétal profond. Nous sommes passés, dans le champ matrimonial, de la logique de l’engagement sur la durée à celle du projet, limité dans le temps et résiliable. Dans bien des cas, l’exceptionnalité du mariage réside moins dans l’engagement dont il témoigne que dans l’événement (la « fête » ) qui le célèbre. Et c’est maintenant parce que le mariage civil est un projet et non plus une promesse qu’il peut être rompu aussi brutalement.

    […]

    Qu’il soit ainsi permis de s’étonner que le mariage – ce qu’on appelle en droit l’état des personnes – soit à présent moins bien protégé qu’un contrat. La rupture d’un contrat, sans manquement à une quelconque obligation, est très sévèrement réprimée par la jurisprudence. Le mariage y échappe : l’article 266 du code civil, qui prévoit des dommages et intérêts lorsque la dissolution de l’union fait subir à un époux des conséquences d’une particulière gravité, est aussi méconnu que peu appliqué. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Le grand remplacement s’organise

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    disséminer les immigrés,grand remplacement

    Le grand remplacement s’organise

    Ou appelez cela submersion migratoire. Il s’agit de disséminer les immigrés, actuellement concentrés sur quelques régions, sur l’ensemble du territoire français. Chaque région doit accueillir des milliers d’immigrés selon le « Schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés 2021-2023« , élaboré par l’ensemble des acteurs de la politique de l’asile.

    Afin de répondre aux difficultés engendrées par la forte polarisation de la demande d’asile au sein de certains territoires, et à l’instar de ce que certains pays européens ont déjà mis en place, notamment en Allemagne, la loi du 10 septembre 2018 a prévu un mécanisme d’orientation régionale directive des demandeurs d’asile.

    Ce nouveau dispositif, une fois pleinement opérationnel et à dynamique migratoire constante par rapport à 2019, est de nature à assurer un rééquilibrage territorial important de la prise en charge de la demande d’asile en orientant mensuellement environ 2 500 demandeurs d’asile depuis l’Ile-de-France vers les autres régions du territoire. Afin d’en garantir la soutenabilité, ce dispositif sera mis en œuvre de façon progressive, sur plusieurs années, dans l’objectif de rompre avec une gestion de l’urgence et d’améliorer les conditions d’accueil des demandeurs d’asile.

     

    Source : lesalonbeige