Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Un écolier de Poix-de-Picardie (80) interroge Emmanuel Macron : « Ça va, la claque ? »

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

     

    Source : fdesouche
  • Cognac (16) : un professeur réclame sa mutation après avoir été pris à partie et accusé d’islamophobie par un parent d’élève

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

    fdesouche

    C’était le 16 décembre 2020, deux mois jour pour jour après la décapitation du professeur Samuel Paty par un jeune Tchétchène radicalisé. Ce matin-là, aux alentours de 10 heures, Stéphane Didier, professeur d’histoire-géographie au collège Claude-Boucher de Cognac, a rendez-vous avec la mère d’une élève, Mme K., pour parler de la situation de sa fille, dont les résultats sont en baisse. Le rendez-vous se déroule dans la salle des professeurs. Deux autres collègues de Stéphane Didier, cachés par une cloison, sont également présents dans la pièce – où ils prennent leur pose, et deviendront des témoins auditifs clés de l’altercation.

    Rapidement la conversation s’envenime avec Mme K. « Durant notre échange, cette femme a volontairement porté des propos diffamatoires intimidants, avec menaces verbales, et outrageux relatifs au racisme antimusulman à l’égard de sa fille », indique Stéphane Didier, dans le procès-verbal de sa plainte, déposée quelques heures plus tard. Dans ce document – que Valeurs actuelles a pu consulter -, il affirme « n’avoir jamais tenu de tels propos » dans ses cours. « Je suis républicain et je respecte la laïcité appliquée dans mon pays », déclare le professeur, qui se voit reprocher par la mère de l’élève, musulmane, de pousser sa fille au suicide. La discussion monte d’un cran lorsqu’elle l’accuse de « regarder sa fille de travers » et de la « harceler » avec ses « remarques sur son travail et ses mauvais résultats ».

    Ce ne sont pourtant pas ces allégations qui inciteront Stéphane Didier à porter plainte, mais la suite de l’entretien, lors duquel Mme K. « a alors évoqué toute seule l’affaire Samuel Paty » tentant de « faire le lien entre le meurtre de cet homme et mon enseignement », affirme le professeur. « Elle a réitéré ses propos et ajouté dans un accès de colère irrationnel : “Vous savez ce qu’est l’affaire Samuel Paty. ” » Stéphane Didier décide de couper court à l’entretien, mais se voit encore traiter de « sale prof raciste »« En état de choc psychologique », il se rend le même jour chez le médecin, qui lui prescrit deux jours d’arrêt maladie, soit jusqu’au 18 décembre, date du début des vacances scolaires de Noël. Les professeurs témoins de la scène accepteront quant à eux de se rendre au commissariat. Tous deux confirment les insultes et l’évocation de l’affaire Samuel Paty comme point de départ de ces insultes.

    La suite de l’enquête sur Valeurs Actuelles

  • Pour lutter contre les rodéos, la mairie de Vaulx-en-Velin (69) va proposer aux jeunes de faire du motocross sur circuits

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

    Près de Lyon : pour lutter contre les rodéos, la mairie de Vaulx-en-Velin va proposer aux jeunes de faire du motocross sur circuits

     

     

    Ce jeudi, la mairie de Vaulx-en-Velin a annoncé vouloir lancer, en collaboration avec la préfecture du Rhône, le dispositif “A Vaulx Cross” qui proposera “des activités de motocross encadrées et sécurisées sur des circuits homologués”.

    Concrètement, l’association Synergie Family a été choisie pour s’occuper de groupes de jeunes Vaudais âgés de 14 et 18 ans et les faire former par des professionnels. “Ce dispositif doit contribuer à prévenir les rodéos en proposant la pratique d’un sport aux jeunes volontaires de la commune. Il a vocation à compléter les actions répressives engagées par les services de l’Etat contre les auteurs de rodéos urbains”, indique la mairie de Vaulx-en-Velin dans un communiqué.

    Une soixantaine d’adolescents, filles et garçons, doivent profiter de ce dispositif d’ici la fin de l’année 2021.

    Le travail de la maire Hélène Geoffroy et du préfet Pascal Mailhos est annoncé au lendemain des révélations du Figaro sur les futures mesures voulues par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin pour éradiquer les rodéos. Cela passera notamment par la saisie des engins, le renfort des contrôles et l’interpellation systématique des auteurs de rodéos, suivie de poursuites pénales appropriées.

    www.lyonmag.com via fdesouche

  • L’Ill (67) : mécontents des recherches de la part des sauveteurs pour retrouver un corps, des gens du voyage brûlent des pneus et bloquent des routes

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

    Des incidents ont éclaté à Sélestat ce mercredi matin après la disparition d’un adolescent de 14 ans qui est tombé dans l’Ill mardi. Peu après 8h30, des auditeurs de France Bleu Alsace ont signalé “des routes bloquées”, des “barrages”. Certaines routes ont rouvert vers midi, mais la D424 reste fermée entre le rond-point de Marckolsheim et le rond-point du Match. 

    Ces barrages avaient été installés par une cinquantaine de membres de la communauté des gens du voyage. Ils réclament le corps de l’enfant disparu. Ils estiment que les moyens mis en œuvre mardi ont été insuffisants pour retrouver l’adolescent au niveau de l’écluse.

    Les recherches se poursuivent ce mercredi avec des plongeurs. Une pelleteuse retire des sédiments, afin de faciliter la régulation de l’eau au niveau de l’écluse et faciliter les recherches.

    La circulation étant perturbée dans le secteur, l’Académie de Strasbourg indique que les candidats au Bac pro et BTS qui arriveront en retard ce mercredi à Sélestat seront acceptés.

    France Bleu via fdesouche

  • Toulouse : des “brigades anti-squat” entendent faire le travail de la police

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

    Toulouse : des "brigades anti-squat" entendent faire le travail de la police

     

    Le 17 septembre 2020, un amendement visant à accélérer les expulsions de squatteurs et porté par la majorité a été voté. Mais dans les faits, les préfectures peinent à l’appliquer. À Toulouse, un groupe Facebook s’est même constitué dans le but de mettre un terme aux occupations illégales par ses propres moyens.

     

    www.marianne.net via fdesouche