Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2022
Peter Dobravoda
Peter Dobravoda
Elizabeth II n'est plus, un retour sur les 70 ans de son règne.
Lorsqu'elle est arrivée sur le trône en 1952, le Royaume-Uni était un pays chrétien, peuplé de Britanniques natifs présents sur leurs îles depuis plus de mille ans. C'était une société stable, sûre et douce, basée sur la famille et les responsabilités partagées.
Depuis lors, le Royaume-Uni a subi une crise démographique, un tremblement de terre migratoire auquel les sondages ont montré que la grande majorité des sujets de la Couronne étaient opposés.
À travers tous les changements, la reine Elizabeth II a toujours été du côté des mondialistes, certaine de défendre les intérêts financiers de l'entreprise qui a fait d'elle l'une des plus grandes fortunes au monde.
Lorsque le Royaume-Uni a rejoint la CEE de l'époque, la reine a directement violé son serment de couronnement et a trahi ses devoirs envers son pays. Personne n'a entendu sa protestation.
Lorsque la dévolution a été introduite, elle a entraîné une fragmentation massive du Royaume-Uni et a donné aux dirigeants sécessionnistes et républicains des positions pour saper son propre royaume, mais elle n'avait rien à dire.
L'accord du vendredi saint a vu des meurtriers et des tueurs d'enfants libérés dans les rues C'était une trahison totale du peuple d'Irlande du Nord qui était resté loyal à sa couronne. Elle les a vendus et a bossé avec des tueurs marxistes tachés de sang, tout comme elle l'a fait à plusieurs reprises lorsque l'Empire britannique a été démantelé.
Ses troupes ont pris part à l'invasion illégale de l'Irak, qui a fait plus d'un million de morts. Ses forces armées ont été impliquées dans de nombreux autres conflits illégaux, tels que le bombardement de la Serbie et de la Libye, qui ont entraîné le chaos et alimenté la vague migratoire que nous voyons aujourd'hui en Méditerranée et en Europe.
Elle a cependant montré beaucoup de dignité, d'élégance, de courage et d'humour face aux revers, aux deuil et aux scandales. Confrontée à de nombreuses tragédies familiales en effet, mais toujours avec ses pieds trempés dans un marais composé de nombreuses affaires scabreuses, de scandales sexuels et financiers.
Elle a même aidé à payer les frais juridiques de son plus jeune fils qui a été compromis avec un pédophile international spécialisé dans le trafic sexuel !
La reine Elizabeth II n'a jamais cessé de soutenir la mondialisation, bien que la Grande-Bretagne soit un pays insulaire qui avait, inscrit dans sa nature, la défense de ses intérêts. Les rares éclats de fierté nationale que son règne a connus, tels que la reconquête par la force des Malouines, sont surtout imputables au courage politique de Margaret Thatcher, la Dame de fer.
Elle et sa famille ont soutenu la politique covid de style 1984, soutenant le confinement, étant l'un des tout premiers Britanniques à être soi-disant vaccinés et déclarant que ceux qui n'étaient pas prêts à accepter les jabs expérimentaux étaient "égoïstes".
Elle a réussi à faire oublier aux gens les quelques saluts romains et les amitiés sulfureuses de certains membres de la famille, comme son oncle Edward VIII, qui a été forcé à abdiquer, ce dont tout le monde sait que son mariage avec Mme Wallis Simpson était seulement la raison officielle.
Mais cette dérive de la monarchie, qui fait des Windsors des acteurs clés de l'État profond mondial, n'est pas exclusive à cette famille britannique,. Elle est partagée par différentes monarchies parlementaires qui règnent mais qui ne gouvernent plus, perdant ainsi le contact avec ce qui fait la grandeur de la royauté, la défense du bien commun et les intérêts du royaume au-dessus de toutes autres considérations. Ceci est remplacé par la défense des intérêts de la famille royale, ce qui n'est plus du tout la même chose !
Dans l'ensemble, Elizabeth II a toujours été infiniment plus digne dans la boue de la décadence que Juan Carlos d'Espagne ne pourrait jamais l'être, fuyant pitoyablement dans la protection d'une pétromonarchie musulmane contre le jugement de ses propres sujets.
Les héritiers de la couronne britannique, tels que Charles et William, ont malheureusement également pleinement adopté le programme mondialiste du Great Reset - promouvoir l'hystérie climatique tout en vivant dans le luxe.
Notre âge a enfin eu le roi qu'il mérite...