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  • Blagnac (31) : des tombes catholiques profanées. Certaines ont été ouvertes entièrement, souillées, et des ossements ont été exhumés. (MàJ: la municipalité lance un appel à témoins)

    Publié par Guy de Laferrière le 25 septembre 2024


    25/09/24

    En raison de la gravité des faits et de la nécessité d’une remise en état, le cimetière restera fermé au public ce mardi 24 septembre. Conformément a ce qui a été annoncé par la Villedes travaux d’urgence sont en cours.

    Face à un tel évènement, la municipalité a décidé de porter plainte et invite l’ensemble des familles concernées à en faire autant. Un appel à témoins a également été lancé pour que les auteurs soient dénoncés.

    BFM

    24/09/24

    A Blagnac, près de Toulouse, des tombes ont été profanées dimanche 22 septembre 2024. Certaines ont été ouvertes entièrement, souillées, et des ossements ont été exhumés.

    actu.fr

  • Wokisme fou : un enfant s’identifiant comme un loup accepté à l’école en Ecosse

    Publié par Guy de Laferrière le 25 septembre 2024

    Un groupe d'enfants "Furries"
    Un groupe d’enfants “Furries”

    Un élève d’un lycée écossais aurait obtenu de ses professeurs l’autorisation de s’identifier officiellement comme loup au nom d’une « dysphorie d’espèce ». Le wokisme fait des ravages dans les esprits malléables des enfants.

    « L’école écossaise permet à un garçon de s’identifier comme un loup » écrit le quotidien britannique, le Daily Mail, qui révèle sur son site Internet sous le titre Howling mad, littéralement « hurlement fou », cette nouvelle folie autorisée au nom du wokisme. Le tabloïd anglais condamne la « culture woke qui affecte les écoles ».

    Folle époque où tout est possible : même « prétendre appartenir à une autre espèce que l’humaine »

    Cet élève d’un lycée écossais non précisé aurait obtenu de ses professeurs l’autorisation de s’identifier officiellement comme loup au nom d’une « dysphorie d’espèce ».

    Notre Temps post-moderne où domine la culture du choix est vraiment une époque folle où tout est possible : même « prétendre appartenir à une autre espèce que l’humaine », car telle est la définition résumée de la « dysphorie d’espèce ». Un phénomène, celui des « étudiants qui prennent la personnalité de créatures animales dont des renards, des dragons, des oiseaux, des serpents, des requins et même des dinosaures », qui ne cesserait, dit-on, de prendre de l’ampleur.

    Le Daily Mail, la source de l’information, explique avoir choisi de ne pas nommer l’école pour protéger l’identité de l’élève, mais fait référence à des « documents officiels » avec lesquels l’école a reconnu la capacité du garçon à s’identifier comme un animal.

    Le garçon fait partie d’un groupe qui se fait appeler « Furries » (animaux à fourrure)

    L’article explique seulement que ses professeurs lui ont proposé leur soutien ainsi que l’assistance d’un professeur de soutien, mais ne fournit pas d’autres éléments, si ce n’est que le garçon, selon des autorités locales non précisées, fait partie d’un groupe qui se fait appeler « Furries » (animaux à fourrure) : des jeunes qui s’habillent avec des costumes d’animaux à fourrure inspirés d’une bande dessinée de science-fiction des années 80.

    L’école en question a décidé, dans ce cas, d’appliquer au-delà de toute croyance les directives du gouvernement écossais appelées GIRFEC (Getting it right for each child) qui, en substance, visent à soutenir les élèves quels que soient les obstacles à l’apprentissage ou les défis auxquels ils sont confrontés. La « roue du bien-être » fait également partie de ce programme, un schéma qui vise à aider les enfants à « surmonter les inégalités » et à garantir qu’ils soient écoutés dans « les décisions qui affectent leur vie, avec un soutien adéquat lorsque cela est jugé approprié ».

    Mais il n’existe pas de condition scientifique comme la dysphorie d’espèce

    Mais ce qui est fou, c’est que tout cela n’a rien à voir avec la diversité, la non-discrimination et l’égalité, tout simplement parce que, comme l’explique le neuropsychologue clinicien Tommy MacKay dans les colonnes du Daily Mail, « il n’existe pas de condition scientifique comme la dysphorie d’espèce ». Cette situation serait plutôt le résultat, selon le spécialiste, de la malheureuse période historico-sociale que nous traversons : « Il n’est pas surprenant », poursuit-il dans son entretien avec le Mail, « que cela se produise à une époque où beaucoup de gens veulent s’identifier à quelque chose de différent de ce qu’ils sont ».

    Ce qui est cependant surprenant pour le neuropsychologue, c’est que l’école, mais également les parents, soutiennent l’enfant dans sa conviction qu’il est un animal à tous égards :

    « Nous avons maintenant un conseil scolaire qui semble accepter sans problème le fait qu’un enfant s’identifie comme un loup au lieu de lui dire de s’en sortir et de prendre conscience de lui-même, ce qui serait une démarche de bon sens ».

    On n’ose donc pas imaginer comment l’école le laisse vivre sa condition de « loup » (au lieu de lever la main pour poser des questions, on lui permettra de hurler ou à l’heure du goûter d’aller chasser dehors ou de prendre une belle bouchée vigoureuse de ses compagnons ?).

    Les lignes directrices du système éducatif écossais sont excessivement ‘inclusives’ à l’égard des ‘bizarreries’ des jeunes générations

    Les lignes directrices du système éducatif écossais sont excessivement ‘inclusives’ à l’égard des ‘bizarreries’ des jeunes générations. Ainsi, apprend-on, sans même trop de surprise, que le petit loup n’est pas le seul enfant des écoles britanniques à s’identifier à un animal, la tendance est tellement répandue qu’il a fallu inventer un néologisme « furry child » (enfant à fourrure) où « fourrure » signifie « créatures doté de poils ». Et parmi les choix les plus populaires figurent le chat et le dinosaure.

    Christopher McGovern, président de Campaign for Real Education, une association qui prône un retour à l’éducation traditionnelle, interrogé par le Daily Mail, commente ainsi cette nouvelle folie woke :

    « justifier un mauvais comportement avec une terminologie pseudo-médicale fait fureur parmi les éducateurs du Royaume-Uni. Cela fait partie de la culture woke, du politiquement correct, de l’industrie de la victimisation qui affecte actuellement les écoles ».

    On assiste à une dérive anthropologique qui semble, dans son délire de toute-puissance conduire au contraire à la destruction de l’homme dans son essence même

    « Certains diktats basés sur la dictature des désirs risque d’aboutir véritablement à l’absurde, conclut un quotidien italien, Il Timone. Dans la recherche désespérée de l’exaltation de soi, sans la frontière saine de la limite, la conscience de soi perd le sens d’elle-même, se dissolvant en mille formes, dont la limite n’est plus les données biologiques soutenues par l’utilisation correcte de la raison, ce ne sera – hélas – que du fantasme. Dans ce cas comme dans bien d’autres, on assiste à une dérive anthropologique imparable qui semble, dans son délire de toute-puissance (pour la série “ainsi il en est si je le pense”, paraphrasant Pirandello), conduire au contraire à la destruction de l’homme dans son essence même. »

    Le lobby Lgbtqi+ est à l’origine de ces diktats basés sur la dictature des désirs, ou culture du choix. Si un homme peut être un femme et vice-versa, ou tout autre chose de son choix, pourquoi ne pourrait-il pas être un animal, un objet ?  L’absurde est dans les prémisses arc-en-ciel.

    Mais il y a encore un peu d’espoir, tant qu’il existe des personnes capables de crier :

    « Le roi est nu ! »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La statue du général de Castelnau vandalisée : des gauchistes ignares

    Publié par Guy de Laferrière le 25 septembre 2024

     Henri Temple

    castelnau

    De temps à autre, tels les barbares germaniques qui mirent à sac Rome du 24 au 27 août 410 – ce que commente Augustin d'Hippone –, les gauchistes éprouvent le besoin et l'obscur plaisir de casser, souiller, menacer, s'en prendre aux forces de l'ordre, aux symboles de la République, de la religion (mais pas l'islam) ou de l'Histoire de France dans une rage psychiatrique.

     

     

    Voici que la modeste statue équestre du général de Castelnau, campée sur le foirail de sa ville natale (Saint-Affrique, en Rouergue), devant laquelle devait se tenir la discrète commémoration du 80e anniversaire de sa mort a été souillée de peinture rouge. Courageusement, anonymement et de nuit, la veille de cet hommage. Heureusement, un citoyen zélé s'en est aperçu qui a pu prévenir les services municipaux et la statue avait retrouvé son apparence initiale lors du dépôt de gerbe et le discours du préfet devant une belle assistance de citoyens émus, la famille, le piquet d'honneur, les porte-drapeau. Sur le socle de la statue avait été barbouillé, toujours de rouge, une inscription : « 1871 ». Et, donc, une référence à la répression de la Commune de Paris par l'armée, en 1871. Cette insurrection se voulait comme une réédition de la Terreur de Robespierre, la première Commune de Paris devenue insurrectionnelle et d'extrême gauche d'août 1792 à août 1795. Cette première Commune fit arrêter 300.000 personnes, 17.000 d'entre elles furent jugées et exécutées, 23.000 autres furent tuées sans jugement ou moururent en prison. Sans oublier tous ceux qui durent entrer en clandestinité. Des savants comme Lavoisier ou Condorcet (tous deux pourtant partisans de la République), des poètes comme André Chénier, furent tués par des analphabètes et des fous tyranniques. Sans oublier Olympe de Gouges.

    La deuxième Commune en 1871 profita du désastre militaire français à Sedan pour tenter une sédition armée d'extrême gauche contre l’État et l'ordre. L'insurrection à Paris faisait suite aux Communes de Lyon et Marseille, refusant de reconnaître le gouvernement issu de l'Assemblée nationale constituante qui venait d'être élue au suffrage universel dans les portions du territoire non occupées par l'ennemi. Face à cette Constituante la Commune proclamait un régime révolutionnaire, la démocratie directe et, renouant avec la Constitution de 1793, faisait du droit à l'insurrection, « le plus sacré des droits et le plus imprescriptible des devoirs ». La Commune de Paris accordait la citoyenneté aux étrangers et proclamait la « République universelle ». Mais rapidement la Commune se raidit : interdiction des journaux d'opposition ou délires idéologiques : élection au suffrage universel des fonctionnaires (y compris dans la justice et dans l'enseignement), instauration d'un salaire maximum... Des religieux, des journalistes, des militaires sont arrêtés, déclarés otages, puis seront exécutés. Une guerre civile commence entre les séditieux et les troupes régulières obéissant au gouvernement du pays dirigé par Thiers et dénommées les Versaillais par les insurgés. Ce sera un bain de sang (10 à 15.000 morts communards en quelques jours) puis des déportations outre-mer des insurgés. Durant les combats, les communards se déchaînent et incendient le palais des Tuileries, la bibliothèque du Louvre (et ses 200.000 livres et manuscrits), le palais de justice, le palais d'Orsay, le palais de la Légion d'honneur, le Palais-Royal, la Caisse de dépôts, le ministère des Finances. Mais aussi d'autres richesses culturelles détruites à jamais : la maison de Prosper Mérimée avec tous ses livres, correspondances et manuscrits, ou celle de Jules Michelet ; le musée des Gobelins, incendié avec environ 80 tapisseries anciennes. Les communards prennent des otages (au moins une centaine) qu'ils exécutent…

    Mais alors, et Castelnau ? Castelnau n'a que 19 ans ; il vient de sortir de Saint-Cyr pour servir dans l'armée défaite à Sedan, puis celle qui combat la sédition communarde. Mais il n'a évidement aucun rôle décisionnaire, vu son très jeune âge et son faible grade (sous-lieutenant). Dès le 5 avril 1871, la Commune avait décidé par décret « que toutes personnes prévenues de complicité avec le gouvernement de Versailles […] ser[aient] les otages du peuple de Paris ». Décret qui précise, en outre, que « toute exécution d’un prisonnier de guerre ou d’un partisan du gouvernement régulier de la Commune de Paris sera, sur-le-champ, suivie de l’exécution d’un nombre triple des otages retenus […] et qui seront désignés par le sort ». Victor Hugo dénoncera cette barbarie dans son poème Pas de représailles (L’Année terrible, 1871). Castelnau, lui, réussit un coup de main très audacieux : passant par les égouts, il sauve des otages de leur meurtres.

    En 1914, Castelnau gagnera dans l'est des batailles éclatantes contre les Allemands, sans lesquelles la victoire de la Marne aurait été impossible. Et c'est aussi lui qui conçoit l'organisation de Verdun. C'est encore lui qui aurait dû commander l'offensive de Lorraine, le 18 novembre 1918, qui aurait vraiment vaincu les Allemands… mais n'eut jamais lieu. Les Allemands (et Hitler) se considéreront comme non vaincus et trahis...Castelnau paiera un terrible impôt du sang : trois fils du général sont tués pour la France en 1914 et 1915, puis, hostile à la collaboration, il incite son entourage à reprendre le combat pour la nation et perdra un de ses petits-fils et deux neveux… Celui que les Anglais, les Américains et même les Allemands considéraient comme le meilleur commandant français ne sera jamais élevé au maréchalat. Trop catholique pour les politiciens d'alors. Des politiciens qui commettront des fautes gravissimes. Comme le traité de Versailles, l'abandon des accords Sykes-Picot, l'aide à l'ennemi turc contre l'allié grec... Les très grands historiens comme Bainville, Mantoux ou Bloch avaient compris ces erreurs et anticipé leurs dramatiques conséquences.

    Quant aux barbouilleurs de statue, ils ne sont, eux, ni des historiens, ni des citoyens. Des ignares qui rêvent de tyrannie et de violences.

     

    Source : bvoltaire