Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2025
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C'est une aberration totale, une trahison supplémentaire de l'État contre les intérêts de la France. Nommer Dominique Voynet à un poste clef pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire, c'est confier les clefs du coffre à un cambrioleur ! Cette femme s’est vantée d’avoir saboté notre industrie nucléaire lorsqu’elle était ministre, elle a œuvré pour affaiblir une filière qui faisait notre indépendance et notre fierté. C’est un peu comme nommer un végétarien à la tête d’un syndicat d’éleveurs ou Dominique Strauss-Kahn au secrétariat d’État à la condition féminine !Une fois de plus, on voit la logique folle du macronisme : confier nos joyaux industriels et stratégiques à ceux qui veulent les détruire. Après tout, c’est la même logique qui a mis des eurocrates fanatiques pour démanteler notre souveraineté ou des ultra-progressistes pour déconstruire notre identité. Le nucléaire, qui devrait être la pierre angulaire de notre puissance énergétique, est confié à une adversaire idéologique. Mais qu’attendre d’un pouvoir qui préfère la soumission aux dogmes escrologistes plutôt que la défense des intérêts du peuple français ?Thomas Joly - Président du Parti de la France
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Bordeaux : face à l’insécurité et aux nuisances, des habitants contraints d’installer des portails à l’entrée des impasses. « Ma femme n’osait plus rentrer seule »
Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2025
Eric et sa compagne se sont installés impasse Sainte-Cadenne, il y a cinq ans, pensant trouver un havre de paix dans cette ruelle d’un quartier au sud de Bordeaux. Très vite, la réalité les a rattrapés. «C’était la prise de drogue devant chez nous tous les jours et à n’importe quelle heure», se remémore-t-il. Héroïne, crack, seringues jonchant le sol… la ruelle était devenue un lieu habituel de consommation de stupéfiants.
Les nuisances ne se limitaient pas à la toxicomanie. L’impasse servait aussi d’espace de commodités improvisé. «Ça leur servait d’urinoir puisque nous sommes à côté d’une place prisée, les gens venaient pour faire leurs besoins à ciel ouvert.»
Stessy Simao, de l’institut Epil And You situé à droite de l’impasse, le confirme au Figaro. «Les propriétaires étaient obligés de nettoyer au seau de javel tous les matins. Ce n’était plus vivable pour eux.» La situation prenait parfois une tournure plus inquiétante. «En rentrant chez moi, je me suis déjà fait agresser par des manifestants qui m’ont passé à tabac. Je me suis également fait cambrioler en pleine nuit. On en arrivait au stade où ma femme n’osait plus rentrer seule par peur. On était obligé de se donner rendez-vous pour rentrer ensemble.» (…)