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  • Jordan Bardella visé par une plainte, notamment pour «escroquerie» il risque 10 ANS de prison

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2025

    Six mois après les premières révélations de Libération sur la fabrication de faux documents pour maquiller l’emploi fictif présumé de Jordan Bardella, quand il était assistant d’un eurodéputé en 2015, une association anticorruption a saisi mardi 25 mars le procureur de Paris d’une plainte. Selon nos informations, celle-ci, portée par l’Association de défense écologiste de la démocratie et des libertés (Adelibe), vise notamment à «éviter l’acquisition d’une prescription extinctive qui pourrait toucher lesdites infractions» présumées, à savoir, «détournement de fonds publics», «recel de détournement de fonds publics», «faux», «usage de faux», «escroquerie» et «tentative d’escroquerie».

    La plainte vise à la fois Jordan Bardella et l’ancien eurodéputé auprès duquel il était censé remplir des fonctions à l’époque, Jean-François Jalkh. Cette plainte intervient moins d’une semaine avant le rendu du délibéré dans l’affaire dite des «assistants parlementaires fictifs du Rassemblement national», attendue au 31 mars.

    Jordan Bardella risque 10 ans de prison, 1 million d’euros d’amende et 5 ans d’INÉLIGIBILITÉ dans l’affaire des assistants parlementaires, après le dépôt d’une plainte à son encontre.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • C’était un 26 mars… 1962 : le massacre de la rue d’Isly

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2025

    Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

    Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

    Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

    A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
    « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

    Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
    Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

    Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

    Plus de détails sur ce site notamment.

     

    Source : contre-info