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Ce 23 avril 2025, le théâtre républicain a donné une nouvelle représentation pitoyable.

Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2025

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Ce 23 avril 2025, le théâtre républicain a donné une nouvelle représentation pitoyable. François Bayrou, Gérald Darmanin et Bruno Retailleau, trois figures d’un pouvoir moribond, se sont rendus à la prison de Saint-Quentin-Fallavier en Isère. Pourquoi ? Pour faire ce qu’ils savent faire de mieux : adopter des mines graves, réciter des discours indignés et promettre, une fois de plus, une « fermeté » dont chacun sait qu’elle n’arrivera jamais.
Ils sont venus avec les caméras. Ils sont repartis avec elles. Entre-temps, rien. Du vent. Des mots. Toujours les mêmes. Pendant ce temps, nos surveillants pénitentiaires vivent dans la peur. On les attaque dans les prisons. On les menace chez eux, devant leurs enfants, on incendie ou on canarde leur domicile et leur voiture. Et l’État ? Il regarde. Il filme. Il communique.
La vérité, la seule, la crue, c’est que nos agents sont abandonnés face aux narco-racailles qui gangrènent nos quartiers et désormais nos prisons. Où sont les actes ? Où est l'autorité ?
Un gouvernement digne de ce nom armerait lourdement chaque surveillant pour qu'il puisse se protéger, raflerait des dizaines de suspects dans les cités, ferait condamner rapidement les coupables par des magistrats expéditifs. Les criminels étrangers seraient expulsés avec leur famille. Et surtout – oui, surtout – le peuple serait consulté pour rétablir la peine de mort. Par référendum.
Mais non. Nous devons nous contenter du blabla républicain. De la compassion mise en scène. De l’indignation médiatique. Comme si les mots pouvaient arrêter les coups de couteau, les cocktails molotov, les rafales de kalachnikov.
Nous sommes dirigés par des technocrates sans courage, des gestionnaires de décadence. Ils n’ont pas compris - ou feignent de ne pas comprendre - que la guerre est déclarée. Une guerre intérieure. Une guerre de civilisation. Tant que la France ne décidera pas de se défendre vraiment, elle continuera de tomber. Et nos ministres continueront de se promener en costume sombre sur les lieux du désastre, avant de rentrer dîner.
 
Thomas Joly - Président du Parti de la France

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