Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2025
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Dans la catégorie « déshabiller Paul pour habiller Jacques », la dernière trouvaille du gouvernement consiste à l’instauration d’une TVA Sociale, qui aurait pour but de réduire les cotisations patronales en répercutant le déficit de la Sécurité Sociale (presque 65 milliards à la fin de l’année prochaine) sur les achats du quotidien…Alors que le pouvoir d’achat des Français a rarement été aussi précaire, dans le pays ayant le taux de prélèvements le plus élevé de l’OCDE (45,4 % du PIB), aucune baisse significative des dépenses publiques n’est bien entendue envisagée…Cette mesure de « TVA sociale » ou plutôt « TVA antisociale » devrait-on l’appeler, n’aura pour seule finalité que d’opprimer encore plus les classes moyenne et populaire en pesant sur leur panier de courses.Le Parti de la France estime que la seule direction fiscale à prendre est vers le bas. Baisse des impôts, baisse des dépenses publiques, baisse des prélèvements en tout genre, fin de l'assistanat des immigrés.Il est temps de sortir de l’obésité étatique et de laisser les Français travailler, produire et consommer. Et que l’Etat, à l’instar de la politique de Milei en Argentine, soit confiné à son strict domaine réservé.Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France
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Montauban. Policier grièvement blessé, course-poursuite sur l’autoroute, fuite à travers champ, hélicoptère mobilisé : l’Algérien récidiviste d’un refus d’obtempérer est finalement arrêté
Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2025
Un motard de la police a été grièvement blessé ce mardi 27 mai 2025 sur l’A20, à Bressols, en pleine course-poursuite avec un chauffard récidiviste. Refusant un contrôle à Montauban, le fuyard de 27 ans a provoqué un accident en s’immobilisant brutalement sur la bande d’arrêt d’urgence. Sa cavale s’est terminée dans un roncier, traqué par les gendarmes, un hélicoptère et un chien policier.
Tout commence en début d’après-midi, à Montauban. Une patrouille de motards de la police nationale tente de contrôler une Renault Laguna. Le conducteur, un ressortissant algérien de 27 ans, déjà interpellé quelques jours plus tôt pour conduite sans permis ni assurance, reconnaît visiblement les policiers.
Il refuse d’obtempérer et prend la fuite à vive allure vers l’autoroute A20, en direction de Toulouse. L’alerte est donnée. Les policiers se lancent à sa poursuite.
La Dépêche via fdesouche
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28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français et rasait un village (et pour quel motif !)
Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2025
Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.
Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.
Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?
Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…
Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».
Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.
Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.
Source : contre-info
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Tommy Robinson est libre : les premières déclarations du dissident britannique
Publié ar Guy Jovelin le 28 mai 2025
Source Breizh info cliquez iciTommy Robinson est libre : les premières déclarations du dissident britannique, à sa sortie de prison, ce 27 mai, après de longs mois passés en cellule en raison de son engagement médiatique et politique, et à sa dénonciation sans relâche de la corruption des autorités britanniques.
Tommy Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, a été libéré de la prison de Woodhill, à Milton Keynes, après une réduction de peine décidée par un juge de la Haute Cour. Initialement condamné à 18 mois de détention pour outrage à la cour dans le cadre d’une affaire civile, il a finalement purgé sept mois de détention dans des conditions déplorables.
Une peine réduite mais un avertissement clair
Le juge Johnson, qui a supervisé l’affaire, a estimé que Robinson avait adopté une « nouvelle attitude » vis-à-vis de l’injonction judiciaire qu’il avait enfreinte à dix reprises en lien avec un documentaire polémique, Silenced. Bien que le juge ait noté l’absence de « remords ou de contrition », il a toutefois considéré les engagements de Robinson à respecter désormais la décision judiciaire comme suffisants pour supprimer les quatre mois dits « coercitifs » de sa peine.
Le dossier portait sur la diffusion de propos jugés diffamatoires (alors que pourtant sourcés) à l’égard d’un réfugié syrien, que Robinson avait précédemment accusé – à tort selon la justice – d’actes violents. Ce dernier avait obtenu gain de cause dans une procédure de diffamation en 2021.
Une dissidence assumée
Si les autorités judiciaires ont salué une évolution dans le comportement de Robinson, celui-ci reste fidèle à ses convictions. L’activiste, dont les critiques envers l’immigration massive, l’islam radical ou encore les dysfonctionnements du système judiciaire britannique lui ont valu l’hostilité des grands médias et de la classe politique, ne renie rien. Le documentaire Silenced, au cœur des poursuites, visait précisément à dénoncer – selon ses soutiens – une tentative de musellement orchestrée par l’establishment.
Robinson, qui avait été emprisonné pour avoir défié les décisions de justice, n’en demeure pas moins un symbole de la contestation populaire d’une justice perçue comme à deux vitesses : sévère avec certains, bienveillante envers d’autres.
À peine libéré, Tommy Robinson est de nouveau dans le collimateur de la justice. Il comparaîtra la semaine prochaine devant les magistrats de Westminster pour répondre d’accusations de harcèlement ayant causé « une crainte de violence » envers deux individus. Une autre procédure l’attend en octobre 2026, cette fois pour avoir, selon la police, refusé de fournir le code PIN de son téléphone lors d’un contrôle.
Ce traitement judiciaire quasi-permanent contraste avec la relative indulgence dont bénéficient d’autres acteurs, souvent bien plus violents ou extrémistes, mais politiquement corrects. Il illustre le malaise croissant d’une frange de la population britannique – et au-delà – face à une justice de plus en plus politisée.
Tommy Robinson demeure aujourd’hui l’un des rares dissidents occidentaux à payer si chèrement son refus de plier face au conformisme idéologique.