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  • Elle se rêvait Jeanne d’Arc des droites, elle n’est plus qu’un fantôme errant dans le cimetière de ses ambitions avortées.

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025

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    Elle se rêvait Jeanne d’Arc des droites, elle n’est plus qu’un fantôme errant dans le cimetière de ses ambitions avortées. Marion Maréchal, l’égérie déchue de la droite nationale, vit aujourd’hui la triste revanche du réel. Après avoir trahi tous ceux qui l’ont portée, elle se retrouve nue, sans parti digne de ce nom, sans alliés, sans avenir.
    Que reste-t-il de celle que Jean-Marie Le Pen avait propulsée à l'Assemblée nationale, au prix de ses dernières cartouches ? Un itinéraire balisé par les trahisons. Elle a meurtri son grand-père en abandonnant son nom, trahi le RN pour Reconquête, trahi Reconquête pour quémander quelques sièges au RN. La voici, désormais, renvoyée dans les ténèbres par Marine Le Pen et Jordan Bardella, qui lui refusent jusqu’à la pitié d’un accord municipal en 2026. Même être conseillère municipale à Romorantin semble désormais hors de sa portée.
    Son « parti », Identité et Libertés, n’est qu’une coquille vide, un nom sur une boîte aux lettres. Aucune structure, aucun militant, aucun souffle. Un machin créé à la va-vite pour servir l’ego hypertrophié d’une femme persuadée que son nom lui ouvrait toutes les portes. Elle n’a fait que les claquer, une à une.
    Et comble d’ingratitude, elle snobe aujourd’hui le Parti de la France, seul soutien (avec Reconquête) lors de l’épreuve des Européennes. Pas assez docile ? Pas assez aligné sur Tel-Aviv ? Peu importe, Marion a choisi de mépriser ceux qui l’ont soutenue quand tous l’abandonnaient.
    Si je suis aussi sévère avec elle, c’est parce qu’elle incarnait une ligne politique juste, claire, nécessaire : celle de la droite nationale, identitaire et enracinée. Et elle a tout gâché avec ses ambitions et ses trahisons successives.
    Le verdict est cruel mais juste pour cette girouette. La trahison et l'orgueil démesuré ont un prix.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Le grand bouleversement

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025

    Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles.
    - Georges Bernanos -
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  • Bac 2025

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025

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  • 5 juillet 1962 : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025

    Européens raflés, avant leur mise à mort

    Ce 5 juillet à Oran (environ 100 000 Européens y résidaient encore à ce moment), alors que le prétendu « cessez-le-feu » avec le FLN était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroula une terrible chasse aux Blancs.

    « On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
    On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

    Bilan : 3 000 morts et disparus.

    Le général Katz, une belle ordure

    Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général

    Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
    Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».
    Les accords d’Évian (article V) prévoyaient pourtant que l’armée française puisse intervenir, au cas où la sécurité de ressortissants français serait menacée. Mais les 18 000 soldats français reçurent l’ordre de rester dans les casernes.
    Enlèvements et assassinats se poursuivirent jusqu’à la tombée de la nuit.

    « C’est le seul exemple dans l’histoire d’un massacre perpétré sur une communauté sans défense, en présence d’une armée qui laisse assassiner ses ressortissants sans intervenir.

    La tuerie dura près de six heures. Lorsque à 17 heures les gendarmes français sortirent de leur trou à rats, le calme revint aussitôt.

    Les cadavres jonchaient la ville, on en trouva pendus aux crochets des bouchers, dans des poubelles…

    Dans la chaleur de juillet, la puanteur était horrible.

    Les soldats français et algériens déversèrent par camions les cadavres dans le Petit Lac et les couvrirent de chaux vive. Nul ne sait le bilan exact de cette Saint-Barthélemy.

    On parlait dans les semaines qui suivirent de 3.000 morts et disparus.

    C’est le chiffre que donna le sinistre De Broglie et que reprit le ministre André Santini.

    Ce qui est sûr, c’est que le massacre était prémédité car les tueries commencèrent à la même heure aux quatre coins de la ville qui était vaste.

    On peut presque dire que les morts eurent de la chance, car le sort des disparus qui furent signalés par des témoins dans les mines de l’Algérie, dans des prisons sordides, dans des maisons closes et des bars à soldats, traités en esclaves ou torturés fut sans nul doute pire encore. » (témoignage de Geneviève de Ternant)

    La décision venait de l’Elysée mais trois jours après le massacre, De Gaulle osera : « mis à part quelques enlèvements, ça se passe bien Algérie ».
    Le général Katz, de son côté, écrira dans son journal le soir-même du drame : « les Pieds-noirs, pour avoir caché sciemment les hommes de l’OAS pendant quatre mois, n’ont eu que ce qu’ils méritaient. »

    Le Canard Enchaîné rappelle le rôle de De Gaulle et le cynisme de Katz

    À voir aussi :
     un dossier sur l’affaire « Katz – massacre d’Oran ».

    ► « C’était un 30 juin : Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN »

     

    Source : contre-info