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  • « L’homo festivus » est partout chez lui…avec le sang des autres !

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2019

    PAR  LE 

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    Afin d’aller secourir deux hommes otages, Messieurs Picque et Lassimouillas (non, rien) qui avaient cru bon d’aller célébrer leur voyage de noces en batifolant dans une zone hautement déconseillée par le Quai d’Orsay depuis plusieurs mois pour cause de terrorisme islamiste, deux commandos de Marine, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, parmi l’élite de l’armée française, sont morts.

    Il est normal d’aller secourir les ressortissants français en danger partout où ils se trouvent. Il serait normal ensuite d’interroger ces « homos festivus » sur leur degré de responsabilité dans la situation que leur propre insouciance a créée, voire de leur faire payer les dommages, étant entendu que pour les parents des deux militaires, c’est la condamnation à la douleur à perpétuité.

    Là où l’on dévisse complètement dans l’indignité, c’est quand on apprend que le chef de l’Etat les recevra en grande pompe à l’aéroport de Villacoublay, comme s’ils étaient des héros, alors que par leur comportement stupide et irresponsable ils ont mis en péril et causé indirectement mais clairement la mort de deux de nos concitoyens parmi les plus valeureux.

    Mais, dans le fond, le bobo mondialiste, l’adulescent hors sol, le branchouille inclusif qui pense que la planète entière est son terrain de jeu et que l’homme par nature est bon, ne constitue-t-il pas une bonne définition et une parfaite connivence avec ce qu’incarne, aussi, la non-pensée macroniste ?

    Dans ces conditions, après tout, il est normal que tout ce petit monde se retrouve, en vie.

    Anne Sophie CHAZAUD

    Rubrique : avilissement

    Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, sont morts pour la France.

    Ils ont été tués dans une opération de libération d’otages menée par l’armée française. Deux touristes en voyage de noces, et malgré les avertissements s’étaient rendus dans une zone extrêmement dangereuse.

    Le chef de l’État français en campagne électorale, ne faisant aucun cas de la dignité qu’appelle la tragédie et le sacrifice de ces hommes, pense utile pour grappiller quelques voix d’aller accueillir sur le tarmac les guignols responsables par leur stupidité de la mort nos deux soldats.

    Cet homme n’a vraiment aucun sens de la décence et aucune idée de ce qu’est la fonction qu’il a usurpée en mai 2017.

    Un jour nous ferons les comptes.

    Regis de CASTELNEAU

     

    Source : leblogalupus

  • Spiritualité : la sélection FNAC en ce mois de ramadan

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2019

    Par  le 13/05/2019
     
    Photo prise à la FNAC Parinor – Centre commercial Régional O’Parinor, Le Haut De Galy, 93600 Aulnay-sous-Bois.
     
    Source : fdesouche
  • Pour les Décodeurs du Monde, Cohn-Bendit n’a pas vraiment attouché d’enfants car aucune victime ne s’est déclarée

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2019

    Par  le 14/05/2019

    (…) Mais il est outrancier d’évoquer des « petits enfants » qu’il aurait « attouchés » là où, en réalité, aucun fait précis ne lui a été reproché en la matière. Personne, à ce jour, ne s’est déclaré « victime » de Daniel Cohn-Bendit ou aurait fait état de faits répréhensibles qui se seraient déroulés dans le cadre de ses activités auprès d’enfants en bas âge.

    Les Décodeurs via fdesouche

  • Militaires tués au Bénin: les insupportables calculs de Macron Le Drian

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2019

    Rédigé par notre équipe le 13 mai 2019.

    Ce week-end du 11 mai a été marqué par la libération et le retour en France des deux otages retenus par un groupe terroriste dans le nord du Bénin depuis le 1er mai dernier. Une libération effectuée par un commando militaire qui a laissé sur le carreau deux soldats. Morts pour la France, mais surtout pour sauver deux imprudents dont la bêtise n’efface pas les mensonges du ministre Le Drian et encore moins la communication inadmissible d’Emmanuel Macron.  

    La prise d’otages de ressortissants français est devenu un sport continental dont l’Afrique est de loin le plus grand joueur. Un jeu macabre où les risques de finir égorgé ou perforé par des balles est de plus en plus important. Les multiples groupes qui pullulent dans la région sahélienne n’hésitent plus à régler le compte de leurs otages dans une surenchère d’images sanguinolentes auquel le monde s’habitue pourtant. Même si mettre la main sur des rançons à plusieurs millions d’euros n’est pas pour déplaire à ces gangsters reconvertis dans l’islamisme, la liquidation d’otages est une menace réelle. Que faire ? La question est difficile et presque insoluble, mais le tandem Macron-Le Drian a prouvé que leur chemin n’était clairement pas le bon.

    Macron lâche l’armée pour sa passion de l’image

    Fallait-il envoyer un commando afin de tenter de libérer deux ressortissants français kidnappés par un groupe terroriste dans le nord du Bénin ? La politique française de ces dernières années est de tout faire pour récupérer les otages même si cela doit passer par le paiement d’une rançon qui viendra nourrir et rendre plus forts les groupes qui sèment la terreur sur de larges bandes du territoire africain. Les forces françaises ont estimé qu’il y avait une opportunité pour intervenir et le général carton-pâte Macron ne s’est pas fait prier pour donner son accord. Si la mission réussie, il entend de se faire passer pour un héro et si l’échec vient conclure l’intervention, il dira que c’était la seule solution et qu’il fallait prendre le risque. Un dernier discours qui marche aussi pour l’affaire qui nous préoccupe puisque si les deux otages ont été libérés, deux soldats français ont perdu la vie.

    Ne fallait-il pas renoncer à cette opération et laisser à leur sort les deux otages français partis faire du tourisme dans une région plutôt hostile ? Ce serait plutôt la position de Le Drian, un ministre dont le parcours montre que la fidélité n’est pas la marque de fabrique. Le besoin de dire la vérité non plus. Car si faire du tourisme dans le nord du Bénin est pour le moins curieux, il est faux de dire que « la zone où étaient nos deux compatriotes était considérée depuis déjà pas mal de temps comme une zone rouge, c’est-à-dire une zone où il ne faut pas aller, où on prend des risques majeurs si on y va ». Soit Le Drian est un menteur patenté, soit il n’est pas au courant que la zone où les deux Français ont été kidnappés a été mise en « zone rouge » par les services du quai d’Orsay plus d’une semaine après leur enlèvement…

    Le Drian est dans l’infox totale et suit les préceptes d’un Gouvernement expert en la matière. Le problème est qu’il raconte n’importe quoi pour essayer de couvrir une autre polémique légitime. Pourquoi donc Macron est-il venu accueillir les deux ex-otages sur le tarmac de l’aéroport ? Leur envie d’escapade a quand même eu pour résultat de faire perdre la vie à deux commandos français. Voir le chef de l’Etat se déplacer juste pour faire de l’image est aussi déplacé qu’irrespectueux. Le Drian joue au ministre qui compatit avec des militaires en colère parce que Macron est en faute et que la ministre de la Défense (Florence Parly) ne comprend même pas la nature de la faute du chef de l’Etat. Président et ministres accumulent les faux pas et on peut s’interroger sur la capacité des armées françaises à recruter à l’avenir, car nos soldats sont sacrifiés dans des guérillas à des milliers de kilomètres dont le sens profond échappe parfois à l’entendement. Place à la cérémonie d’hommage de ce mardi 14 mai qui permettra à Macron de faire de nouvelles images. La course au bon cliché est meurtrière…

     

    Source : 24heuresactu

  • Les militants du parti de Mandela défilent avec des mannequins de bébés blancs mis à mort

    Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2019

    Mis à jour le 11 mai 2019 Auteur par Rédaction

    En Afrique du Sud, les militants de l’ANC, le parti du terroriste communiste Nelson Mandela, défilent en brandissant des poupées de bébés blancs mis à mort.

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    Pour avoir un point sur la situation de l’Afrique du Sud, cliquer ici.

     

    Source : contre-info