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  • LREM et le règne de la post-vérité

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2019

    POSTÉ LE 07 MAI , 2019, 11:26

    lrem,post-vérité

    Après avoir semblé pourfendre les «fake news» – comme on dit dans le jargon contemporain, qui semble ignorer que le français connaissait les «fausses nouvelles», bien avant l’invention de Twitter! –, Emmanuel Macron et ses amis s’embourbent dans les marais de la «post-vérité».

    Aura-t-on assez entendu dénoncer les médias russes, les tweets de Donald Trump, la «fachosphère», ou les «populistes», ces derniers mois ?
    Aura-t-on vu assez de lois liberticides pour – prétendument – empêcher la diffusion de fausses nouvelles?

    Pourtant, depuis quelques semaines, ce sont les ministres et les dirigeants LREM qui sont pris en flagrant délit de mensonge – et qui se trouvent coincés par leurs propres lois ineptes.

    Sans prétendre le moins du monde à l’exhaustivité (il y faudrait un dictionnaire!), signalons les déclarations fanfaronnes de Christophe Castaner sur la fameuse attaque de la Pitié Salpêtrière, dont tout le monde sait aujourd’hui qu’il ne s’agissait pas d’une attaque – mais de manifestants fuyant une charge de police.

    Signalons aussi l’extravagante nouvelle de Marlène Schiappa qui a osé prétendre que la police camouflait des meurtres de femmes par leurs conjoints sous le terme « accident domestique».

    Mais la championne toute catégorie du n’importe quoi est sans conteste – pour le moment – Nathalie Loiseau.

    La tête de liste LREM aux européennes multiplie les bourdes.

    Ainsi s’est-elle défendue d’une façon bouffonne d’avoir figuré sur une liste «d’extrême droite» quand elle était étudiante.

    Elle a d’abord prétendu que la liste était un faux, puis qu’elle ignorait la couleur politique de la liste. Pourtant, bien des hommes politiques ont eu un parcours politique agité dans leur jeunesse (plus souvent à l’extrême gauche qu’à l’extrême droite, il est vrai; mais il n’est peut-être pas inutile de rappeler qu’Occident n’a tué personne, alors que le maoïsme a tué des dizaines de millions d’êtres humains !). Après tout, Mme Loiseau avait bien le droit d’évoluer.

    Le pompon fut atteint, lorsque cette ancienne directrice de l’ENA, se félicita du projet macronien de fermeture de l’école – alors même qu’elle dénonçait ce genre de projets comme démagogique voici peu.
    Le plus drôle est de voir leurs lois idiotes se retourner contre eux.

    Nous avons vu récemment Twitter refuser une campagne gouvernementale qui appelait à voter aux européennes.

    La semaine dernière, ce fut au tour de YouTube d’annoncer qu’en vertu de la loi, la plateforme vidéo allait annoncer qui était financé par l’argent public.

    Aussitôt, tous les médias subventionnés (et Dieu sait s’ils sont nombreux !) de crier au scandale.

    Cela fait déjà un quart de siècle que je me bats dans la presse dissidente, mais il y avait bien longtemps que je ne m’y étais pas autant amusé  !

     

    Source : les4verites

  • Vers l’apocalypse : EDF recrute ouvertement des immigrés « réfugiés » pour ses installations nucléaires…

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2019

    Auteur : Rédaction
    contre-info.com

    Tout ce cirque va très mal finir…

    « Après un rapide passage sur le terrain, la formation pour être opérateur en salle de commande débutera rapidement.. »

    apocalypse,edf,immigrés

    cliquez sur l’image si vous voulez vérifier

    En annexe, un reportage sur la centrale nucléaire de Kinshasa : source

     

    Source

  • La Hongrie consacre 4,8 % de son PIB aux politiques familiales

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2019

    Auteur : Michel Janva

    La Hongrie consacre 4,8 % de son PIB aux politiques familiales

    Et cela produit des résultats tangibles, comme l’indique Olivier Bault dans Présent :

    Depuis 2010 (année de l’arrivée au pouvoir du Fidesz), soulignait le journal, ce pays a connu une augmentation des mariages de 43 %, une baisse des divorces de 22,5 % et une diminution des avortements de 33 %, avec un taux de fécondité qui est au plus haut depuis vingt ans. Précisons toutefois que ce taux de fécondité reste très bas, à 1,49 enfant par femme en 2018, mais il était descendu à 1,25 enfant par femme en 2010 !

    Aujourd’hui, la Hongrie consacre 4,8 % de son PIB aux politiques familiales. Depuis 2010, le pays a multiplié les mesures en faveur des familles comme la réduction de l’impôt sur le revenu en fonction du nombre d’enfants, la réduction des prix du gaz et de l’électricité et de nombreuses aides. Dans le discours sur l’état de la nation prononcé par le Premier ministre Viktor Orbán au début du mois de février, de nouvelles mesures ont été annoncées à l’intention des familles avec enfants : accès à des prêts sans intérêts, extension du programme de crédit immobilier, subventions aux familles nombreuses pour l’achat d’une voiture, réductions sur les crédits hypothécaires (l’équivalent de 3 000 euros de réduction pour le deuxième enfant, 12 000 euros pour le troisième), exonération à vie de l’impôt sur le revenu à partir du quatrième enfant, 21 000 nouvelles places de crèche prévues d’ici trois ans, allocations aux grands-parents assurant la garde de leurs petits-enfants. Ces mesures désormais votées par l’Assemblée nationale hongroise entreront en vigueur le 1er juillet prochain. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Erdogan compte ouvrir des lycées turcs en France

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2019

    Une délégation turque se rendra en France les 20 et 21 mai prochains. Les programmes scolaires turcs, enseignant entre-autres le «bon djihad», ont déjà suscité de nombreuses réactions, en France.

    Le président Erdogan ne s’en cache pas, il a des vues sur l’école française. Dans un article paru vendredi 3 mai, Le Point révélait que le chef d’État envisage d’ouvrir des établissements scolaires turcs en France. Dans le courant du mois d’avril, les responsables des lycées français en Turquie ont reçu plusieurs visites «modérément courtoises» des fonctionnaires d’Ankara, informe l’hebdomadaire.

    Ces représentants du pouvoir seraient venus pour «contester les fondements légaux de la scolarisation d’enfants turcs dans ces établissements», précise encore Le Point. Les lycées français de Turquie n’accueillent pas seulement les enfants d’expatriés de l’Hexagone, mais aussi ceux des dirigeants de l’AKP, le parti d’Erdogan défini comme «islamo-nationaliste» et conservateur.

    Une délégation turque en France fin mai

    Recep Tayyip Erdogan a chargé une délégation turque de se rendre en France les 20 et 21 mai prochains, afin d’y observer les lycées internationaux. L’objectif serait ensuite d’exiger la création de lycées turcs sur le territoire français. «Des Français sont mis sous pression à Istanbul et à Ankara par le pouvoir d’Erdogan, qui cherche à implanter des écoles turques en France, et le Quai d’Orsay ne bouge pas», s’inquiète un proche du dossier cité par Le Point.

    La décision d’ouvrir de tels établissements ne relèvera sans doute pas uniquement de la volonté du président turc, mais aussi du ministère de l’Éducation nationale et de celui des Affaires étrangères. Contactés par Le Figaro, ceux-ci n’ont pas encore apporté les précisions attendues sur le sujet.

    Le Figaro

  • Cités éducatives : le puits sans fond de la politique immigrationniste de la ville.

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2019

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Cités éducatives : le puits sans fond de la politique immigrationniste de la ville.
    On les croyait mortes et enterrées. Il n'en est rien.
    Les recommandations formulées voici un an par l'ancien ministre de la ville Jean-Louis Borloo dans le cadre de son plan banlieues resurgissent petit à petit, les unes après les autres, discrètement, presque en catimini, faisant mentir ceux qui affirmaient qu’Emmanuel Macron, commanditaire et destinataire du rapport, en avait balayé les conclusions d'un revers de main.
    Ce n'est une bonne nouvelle ni pour notre cohésion nationale ni pour nos finances publiques.
     
    Au moment où le gouvernement cherche désespérément le moyen de financer les promesses du Président de la République, ce n'est, en effet, pas moins de 100 millions d'euros qui seront jetés par la fenêtre entre 2020 et 2022 pour mettre en place les cités éducatives dont la création constituait un des points majeurs du plan Borloo destiné à remédier aux dysfonctionnements urbains et à développer la mixité sociale (sic).
    On l'aura compris, nous sommes dans le cadre de la ruineuse, désastreuse et anti nationale politique de la ville qui, depuis 1970 a coûté plus de 90 milliards d'euros aux contribuables français dans le seul but de favoriser les populations issues de l'immigration en prétendant entretenir en pure perte leurs quartiers séparatistes dans une optique de préférence étrangère.
     
    Le ministre de la ville et du logement, Julien Denormandie, s'est ainsi rendu jeudi à Arras et à Lens pour dévoiler officiellement la liste des quartiers présélectionnés. Premiers de la liste, outre les deux villes visitées : Le Val-Fourré à Mantes la Jolie, La Grande Borne à Grigny, Les Tarterêts à Corbeil Essonne… Autant de cités plus souvent présentes dans les colonnes des journaux pour les trafics divers qui s'y déroulent (toutes trois sont considérées comme des quartiers pivots de la drogue), pour le taux de déscolarisation (40 % en moyenne), pour une forte imprégnation salafiste, pour la violence des bandes qui y règnent, et pour les règlements de comptes qui en découlent.
    Porté par des technocrates aveugles à ces réalités et encouragé par des politiques idéologues adeptes de la « discrimination positive » qui n’est, au fond, que la discrimination tout court à l'encontre des nationaux de souche, le concept de Cités éducatives vise pourtant à « intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu'à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire », rappelle le dossier de presse du ministre. L'ambition « n'est pas d'être un dispositif de plus mais l'occasion de mieux coordonner et renforcer les dispositifs existants » (scolarisation obligatoire dès 3 ans, dédoublement des classes, dispositif « devoirs faits », petits-déjeuners à l'école, repas à la cantine à 1 euro). Discours connu, tenu depuis des décennies avec pour seule conséquence le développement des zones perdues de la souveraineté nationale. Ce plan fumeux prétend ainsi s'appuyer, comme tous ceux qui l'ont précédé, sur des actions concrètes déjà existantes dans des domaines divers, qu'il s'agisse de la petite enfance, de la formation ou du décrochage scolaire dans une soixantaine de « quartiers » qui recevront ce label à partir de juillet, attribué aux territoires « qui montrent leur détermination à faire de l'éducation une grande priorité partagée ».
    Cette grande « priorité partagée » n'est évidemment pas celle de l'instruction publique dans une perspective nationale de la cohésion territoriale. Elle n'est pas celle de la reconstruction de notre école dans une vision globale de la formation de nos enfants dans un souci du bien commun, de l’intérêt général et du relèvement de la Nation.
    Elle est la « grande priorité non partagée » par l'immense majorité de nos compatriotes mais délibérément choisie par la caste immigrationniste, donnée au développement du processus remplaciste et colonisateur.