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  • Suite à 10 000 euros de loyer impayé, l’Etat financerait les dettes de Théo Luhaka

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Le jeune homme avait été interpellé en février 2017, accusant la police de lui avoir pénétré l'anus avec une matraque télescopique. Théodore Luhaka (dit Théo) financé par le contribuable ? C'est ce que semble révéler le journal Le Point.

    Aujourd'hui âgé de 25 ans, le jeune homme accuserait des loyers impayés à hauteur de 10 000 euros pour son appartement de 76 mètres carrés. La trêve hivernale rend toutefois son expulsion impossible.

    Pour remédier à cette situation, l'Etat serait donc en train de financer les dettes de Théo Luhaka. C'est la préfecture de Seine-Saint-Denis qui prendrait en charge les dépenses.

    [...]

    Francais.rt.com via lesobservateurs

  • Hommage national aux 13 soldats morts dans l’opération Barkhane : un moment de communion entre le pays tout entier et son Armée

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Auteur : Michel Janva

    Hommage national aux 13 soldats morts dans l’opération Barkhane : un moment de communion entre le pays tout entier et son Armée

    Du Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou :

    L’hommage national rendu à nos treize soldats morts en opération est un moment de communion entre le pays tout entier et son Armée. Les Invalides y trouvent une part de leur vocation telle qu’elle avait été voulue par leur fondateur, mon aïeul Louis XIV. La France est reconnaissante à ceux qui la défendent.

    Ainsi, au-delà de la compassion qui est notre premier réflexe, compassion vis-à-vis des proches de nos morts, mais aussi de leurs régiments et de leurs frères d’armes qui partagent les mêmes dangers jours après jours, nous devons aussi poser les questions de fond.  Il est facile de faire des déclarations au lendemain d’un drame, mais si elles réconfortent sans faire oublier la plaie qui ne se refermera jamais pour leurs parents, leurs enfants, leurs épouses, et leurs frères et sœurs, elles demeurent peu de choses par rapport au sacrifice de la vie.

    Ces morts ne sont pas des morts ordinaires. Ils nous rappellent à nos devoirs et au plus grand de ceux-ci, servir.  Dans un monde qui fait tant de place aux individualismes, le mot même de servir parait désuet si ce n’est oublié. Pourtant sans service, c’est-à-dire de don pour un bien supérieur à soi, il n’y a pas de société qui puisse s’épanouir et assurer à tous non seulement la paix et la sécurité mais simplement le progrès et l’épanouissement quotidien. Le service passe pour la plupart d’entre nous par l’honnêteté du travail bien fait en vue du bien commun ; pour les soldats, il va jusqu’au sacrifice de la vie.

    Le rôle des guerriers est reconnu dans toutes les sociétés de l’antiquité à nos jours, comme un des fondements de l’équilibre social. A ce titre il est exalté par les poètes et les écrivains et bénéficie d’une prise en compte spécifique dans la société. Cette place doit être maintenue car il y va de la survie du pays en tant que tel. Nous avons vu ces derniers jours des réactions malsaines apparaître en posant la question de savoir s’il ne faudrait pas se retirer d’un terrain d’opération –si lointain…-, si les centaines de morts que les OPEX déplorent déjà, ne sont pas suffisants. De telles pensées déshonorent ceux qui les professent et vont à l’encontre du service du bien commun qui réunit, justement, tous les Français à leur Armée. Ils savent qu’elle peut se sacrifier pour eux. A eux de mériter ce sacrifice. Les Français le prouveront en étant sur le parcours de leurs valeureux héros sur le chemin des Invalides.

     

    Source : lesalonbeige

  • Ne plus faire d’enfants dans le monde occidental pour sauver la planète, ou comment jeter le bébé avec l’eau du bain

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Par  le 01/12/2019
     

    Nous sommes trop nombreux sur la planète et le meilleur moyen de la sauver serait de ne plus faire d’enfants, affirment les plus radicaux des écologistes. Est-ce la bonne solution? Si l’on en croit les articles de journaux et quelques travaux sociologiques récents, une tendance lourde se ferait jour actuellement dans le monde occidental: ne plus faire d’enfants pour sauver la planète.

    En effet, selon les recherches réalisées à l’Université de Lund en Suède, choisir d’avoir un enfant de moins permet aux parents de réduire leurs émissions de CO2 de 58,6 tonnes par an au cours de leur vie. Ce chiffre ne vous dit rien, à moi non plus d’ailleurs, mais, puisqu’il est exprimé en tonnes, c’est forcément beaucoup, mis en relation avec un petit être de 3 kilos en moyenne à la naissance. Quel poids sur ces petites épaules et sur celles de ses parents!

    Faisant fi des conditionnels, plusieurs scientifiques publiaient une tribune dans Le Monde qui affirmait sans ambages: «On ne pourra pas faire l’impasse sur une réduction de l’accroissement de la population mondiale.» Pas étonnant dès lors que les jeunes couples moins soucieux d’assurer leur lignée que de sauver la planète aient conclu qu’il leur fallait renoncer à enfanter. «J’ai toujours eu envie d’avoir des enfants, mais au vu de l’absence de progrès concernant la situation climatique, j’ai pris la décision de ne pas en faire», explique une jeune femme de 37 ans interrogée par le journal 20 minutes. Elle ajoute: «Je ne suis pas militante, mais c’est ma façon de protester à ma micro-mesure. Depuis que j’en parle, je rencontre beaucoup de femmes qui partagent cette même préoccupation. Certaines organisent même un enterrement de vie de mère!» […]

    Le Temps via fdesouche

  • Hongrie : nombre record de mariages après le lancement de la politique pro-famille de Viktor Orban

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Par  le 02/12/2019

    BUDAPEST (Reuters) – Un nouveau programme du gouvernement hongrois pour promouvoir le mariage et la natalité avec des prêts subventionnés a déjà contribué à produire un boom des mariages, bien qu’il soit encore trop tôt pour dire si plus de bébés suivront.

    Le Premier ministre nationaliste Viktor Orban s’est fixé comme priorité de persuader davantage de Hongrois de se marier et d’avoir des enfants pour inverser le déclin démographique. Il a introduit un certain nombre d’avantages fiscaux et d’autres programmes pour favoriser les familles.

    Cette année, un nouveau système offre aux couples qui se marient avant le 41e anniversaire de la mariée des prêts subventionnés pouvant atteindre 10 millions de forints (30 000 €). Un tiers du prêt sera annulé s’ils ont deux enfants et la totalité de la dette sera effacée s’ils en ont trois.

    Le bureau central des statistiques (KSH) a déclaré qu’il y avait déjà eu une augmentation de 20% du nombre de personnes qui se sont mariées au cours des neuf premiers mois de cette année. Le nombre de mariages enregistrés a été le plus élevé depuis 1990.

    « Le programme d’incitation familiale a été lancé le 1er juillet, avec l’introduction de diverses nouvelles prestations… et une condition préalable est que les couples doivent être mariés. Nous pensons donc que c’est l’une des principales explications « , a déclaré Gabriella Geczy, statisticienne de la KSH.

    En septembre seulement, 29 % de couples supplémentaires se sont mariés par rapport au même mois l’an dernier. La Hongrie a connu le plus grand nombre de mariages en septembre depuis 1979.

    Plus tôt ce mois-ci, le gouvernement a déclaré que plus de 50 000 couples avaient jusqu’à maintenant présenté une demande de nouveaux prêts bonifiés.

    Il reste à voir si les nouveaux mariés de cette année auront d’autres bébés. Jusqu’à présent, le taux de natalité a en fait légèrement baissé cette année, passant de 1,49 à 1,48 bébé par femme.

    La Hongrie, comme beaucoup d’autres pays européens, en particulier dans l’ancien Est communiste, est aux prises avec un taux de natalité en baisse. Le gouvernement de droite d’Orban est farouchement opposé à l’immigration.

    Reuters via fdesouche

  • Belgique : des camionneurs attaqués par des migrants avec des lances et des machettes

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Par  le 02/12/2019

    Mercredi soir, un autre chauffeur de camion a été attaqué par un groupe de migrants agressifs. Les demandeurs d’asile ont d’abord essayé de monter dans le camion, mais lorsque le conducteur a refusé, ils l’ont attaqué à l’aide de lances et de machettes.

    « En raison de la pénurie de personnel, la police pouvait à peine envoyer une patrouille sur place, » rapporte Het Nieuwsblad.

    Le problème des immigrants clandestins qui veulent atteindre la Grande-Bretagne par nos autoroutes traîne en longueur depuis des années. La violence et les agressions envers les chauffeurs routiers est récurrente et la police de ces soi-disant « migrants de transit » enquête sur des dizaines de parkings autoroutiers entre Bruxelles et la côte. Les chauffeurs routiers et les entreprises de transport ont déjà sonné l’alarme à plusieurs reprises, sans résultat.

    Il y a quelques jours, un chauffeur de camion belge avait déjà dénoncé qu’il se faisait menacer par des migrants en transit. Mercredi soir, le problème a presque coûté la vie à un camionneur. Le conducteur dormait dans un parking situé le long de la route E40 quand il a soudainement entendu un bruit sur un coté de son camion. Lorsqu’il est allé voir ce qu’il se passait, il s’est heurté à un groupe de demandeurs d’asile africains.

    Ces migrants se sont alors retournés contre le chauffeur: « Ils l’ont attaqué avec des lances, des cannes et des machettes” , ont déclaré des sources policières à Het Nieuwsblad. Le chauffeur s’est alors réfugié dans sa cabine, mais les demandeurs d’asile très agressifs ne se sont pas arrêtés là. Ils ont frappé le pare-brise du camion avec des tiges de métal et ont essayé de blesser le conducteur.

    Comme la situation était très critique, la police s’est rendue sur place:

    « Il n’y avait qu’une seule patrouille disponible, par manque de moyens », a déclaré la source policière. «Selon le rapport, nos collègues ont dû attendre des renforts venant d’Anderlecht, à environ 65 kilomètres de là. »

    Sur place, la police n’a trouvé ni le chauffeur du camion, ni le groupe de migrants. Le camionneur avait réussi à s’enfuir avec son camion et s’était garé un peu plus loin sur le bord de la route.

    « L’homme était complètement sous le choc. Le gang qui avait attaqué l’homme était déjà parti », semble-t- il. Au syndicat de la police VSOA, les gens ont réagi avec mécontentement:

    « La pénurie de personnel à la police atteint 50%. Nous craignons vraiment qu’il y ait plus de morts avant que les agents ne soient suffisamment renforcés pour faire face à ce genre de phénomène dangereux. Le nombre d’incidents ne peut plus être dénombré. Il devient également de plus en plus violent », a déclaré Vincent Houssin de VSOA.

    Sceptr Via fdesouche