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  • Lancement du premier gazoduc reliant la Chine à la Russie

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé Délégué général du Parti de la France
     
    Le Président Poutine et son homologue chinois Xi Jinping ont salué lundi le lancement du premier gazoduc reliant les deux pays, lors de la cérémonie d'inauguration de cette entreprise baptisée « Force de Sibérie », inauguration qualifiée par Vladimir Poutine "d'événement véritablement historique, non seulement pour le marché mondial de l'énergie, mais avant tout pour la Russie et pour la Chine". 
     
    Historique, l'événement l'est sans nul doute. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour l'Europe.
     
    Ce gazoduc vient, en effet, entériner et en quelque sorte concrétiser le rapprochement stratégique, économique et géo-politique des deux pays, éloignant de fait un peu plus le grand espoir civilisationnel d'un immense  ensemble eurasien a partir de notre Europe et de l'empire russe.
     
    Tout a été fait, depuis trente ans, par les Etats Unis d'Amérique et leurs auxiliaires européens, pour créer les conditions d'une faille entre l'ouest et l'est de notre continent poussant ainsi la Russie à renouer avec ses tropismes orientaux.
     
    Il n'est pourtant pas trop tard. Que l'Europe se réveille enfin par le sursaut attendu de ses peuples et la montée de forces politiques nouvelles, qu'elle rompe avec sa politique servile d'alignement systématique sur les positions de Washington, qu'elle procède au dépassement de l'OTAN, qu'elle annule les sanctions mises en place contre l'économie russe — sanctions "perdantes/perdantes" puisqu'elles étranglent aussi bien les intérêts russes que ceux des États de l'UE en particulier dans le domaine agro-alimentaire — qu'elle se prononce en faveur d'un nouveau paradigme Paris-Rome-Berlin-Moscou... Alors le nécessaire partenariat euro-russe redeviendra d'actualité.
     
    Et avec lui l'espoir du retour de l'Histoire européenne.
  • Julien Bayo, le nouveau patron des verts, fils d’une mère porteuse de valise pour le FLN

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Julien Bayou est le nouveau patron des verts. Activiste de 39 ans, il vient d’être élu le nouveau secrétaire national d’Europe-Ecologie-Les Verts.

    Lors de son petit discours d’intronisation, il a appelé à « la bienveillance dans ce parti, bordel » :

    « J’aimerai insuffler dans ce parti de la bienveillance, de la détermination joyeuse et de la douceur, de la dérision et de l’amour… »

    En prenant exemple sur sa mère dont il est fier de rappeler qu’elle fut porteuse de valise pour le FLN, cette cinquième colonne en France au service des égorgeurs du FLN, lors de la guerre d’Algérie ?

    Marc Herstalle@herstalle
     

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Suite à 10 000 euros de loyer impayé, l’Etat financerait les dettes de Théo Luhaka

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Le jeune homme avait été interpellé en février 2017, accusant la police de lui avoir pénétré l'anus avec une matraque télescopique. Théodore Luhaka (dit Théo) financé par le contribuable ? C'est ce que semble révéler le journal Le Point.

    Aujourd'hui âgé de 25 ans, le jeune homme accuserait des loyers impayés à hauteur de 10 000 euros pour son appartement de 76 mètres carrés. La trêve hivernale rend toutefois son expulsion impossible.

    Pour remédier à cette situation, l'Etat serait donc en train de financer les dettes de Théo Luhaka. C'est la préfecture de Seine-Saint-Denis qui prendrait en charge les dépenses.

    [...]

    Francais.rt.com via lesobservateurs

  • Hommage national aux 13 soldats morts dans l’opération Barkhane : un moment de communion entre le pays tout entier et son Armée

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Auteur : Michel Janva

    Hommage national aux 13 soldats morts dans l’opération Barkhane : un moment de communion entre le pays tout entier et son Armée

    Du Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou :

    L’hommage national rendu à nos treize soldats morts en opération est un moment de communion entre le pays tout entier et son Armée. Les Invalides y trouvent une part de leur vocation telle qu’elle avait été voulue par leur fondateur, mon aïeul Louis XIV. La France est reconnaissante à ceux qui la défendent.

    Ainsi, au-delà de la compassion qui est notre premier réflexe, compassion vis-à-vis des proches de nos morts, mais aussi de leurs régiments et de leurs frères d’armes qui partagent les mêmes dangers jours après jours, nous devons aussi poser les questions de fond.  Il est facile de faire des déclarations au lendemain d’un drame, mais si elles réconfortent sans faire oublier la plaie qui ne se refermera jamais pour leurs parents, leurs enfants, leurs épouses, et leurs frères et sœurs, elles demeurent peu de choses par rapport au sacrifice de la vie.

    Ces morts ne sont pas des morts ordinaires. Ils nous rappellent à nos devoirs et au plus grand de ceux-ci, servir.  Dans un monde qui fait tant de place aux individualismes, le mot même de servir parait désuet si ce n’est oublié. Pourtant sans service, c’est-à-dire de don pour un bien supérieur à soi, il n’y a pas de société qui puisse s’épanouir et assurer à tous non seulement la paix et la sécurité mais simplement le progrès et l’épanouissement quotidien. Le service passe pour la plupart d’entre nous par l’honnêteté du travail bien fait en vue du bien commun ; pour les soldats, il va jusqu’au sacrifice de la vie.

    Le rôle des guerriers est reconnu dans toutes les sociétés de l’antiquité à nos jours, comme un des fondements de l’équilibre social. A ce titre il est exalté par les poètes et les écrivains et bénéficie d’une prise en compte spécifique dans la société. Cette place doit être maintenue car il y va de la survie du pays en tant que tel. Nous avons vu ces derniers jours des réactions malsaines apparaître en posant la question de savoir s’il ne faudrait pas se retirer d’un terrain d’opération –si lointain…-, si les centaines de morts que les OPEX déplorent déjà, ne sont pas suffisants. De telles pensées déshonorent ceux qui les professent et vont à l’encontre du service du bien commun qui réunit, justement, tous les Français à leur Armée. Ils savent qu’elle peut se sacrifier pour eux. A eux de mériter ce sacrifice. Les Français le prouveront en étant sur le parcours de leurs valeureux héros sur le chemin des Invalides.

     

    Source : lesalonbeige

  • Ne plus faire d’enfants dans le monde occidental pour sauver la planète, ou comment jeter le bébé avec l’eau du bain

    Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2019

    Par  le 01/12/2019
     

    Nous sommes trop nombreux sur la planète et le meilleur moyen de la sauver serait de ne plus faire d’enfants, affirment les plus radicaux des écologistes. Est-ce la bonne solution? Si l’on en croit les articles de journaux et quelques travaux sociologiques récents, une tendance lourde se ferait jour actuellement dans le monde occidental: ne plus faire d’enfants pour sauver la planète.

    En effet, selon les recherches réalisées à l’Université de Lund en Suède, choisir d’avoir un enfant de moins permet aux parents de réduire leurs émissions de CO2 de 58,6 tonnes par an au cours de leur vie. Ce chiffre ne vous dit rien, à moi non plus d’ailleurs, mais, puisqu’il est exprimé en tonnes, c’est forcément beaucoup, mis en relation avec un petit être de 3 kilos en moyenne à la naissance. Quel poids sur ces petites épaules et sur celles de ses parents!

    Faisant fi des conditionnels, plusieurs scientifiques publiaient une tribune dans Le Monde qui affirmait sans ambages: «On ne pourra pas faire l’impasse sur une réduction de l’accroissement de la population mondiale.» Pas étonnant dès lors que les jeunes couples moins soucieux d’assurer leur lignée que de sauver la planète aient conclu qu’il leur fallait renoncer à enfanter. «J’ai toujours eu envie d’avoir des enfants, mais au vu de l’absence de progrès concernant la situation climatique, j’ai pris la décision de ne pas en faire», explique une jeune femme de 37 ans interrogée par le journal 20 minutes. Elle ajoute: «Je ne suis pas militante, mais c’est ma façon de protester à ma micro-mesure. Depuis que j’en parle, je rencontre beaucoup de femmes qui partagent cette même préoccupation. Certaines organisent même un enterrement de vie de mère!» […]

    Le Temps via fdesouche