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  • Toulouse : trois sans-abri décédés en dix jours

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

    sans-abriPhoto : Wikipedia

    Les nuits les plus froides sont encore à venir en cet hiver, mais les premières victimes sont déjà recensées. Le Groupement pour la défense du travail social (GPS) interpelle dans un communiqué sur la découverte de trois hommes retrouvés morts dans la rue, en l’espace de dix jours. 

    Entre le 4 et le 14 novembre 2019, trois sans-abri sont décédés alors qu’ils dormaient dans la rue, sur un parking ou encore sous un pont. Ils s’appelaient Jacques, Zhulien et Nicolas, avaient entre 32 et 50 ans et avaient un profil différent les uns des autres. L’un dormait dans une cabane en bois, route de Revel, l’autre était un ressortissant de l’Union européenne amputé de ses deux jambes et le troisième avait été employé au pôle technique de la mairie de Toulouse, en tant que maçon. 

    767 sans-abri à Toulouse

    Les trois hommes étaient suivis par les équipes médico-sociales du service intégré d’accueil et d’orientation (SAIO), explique le communiqué. Selon les chiffres de la mairie de Toulouse, 25% des sans-abri à Toulouse ne demandent pas d’hébergement car elles sont trop marginalisées. On recense 767 sans domiciles fixes dans la ville rose.

    Lire aussi : Après un article « à charge », les Tolosates répondent à France 3

    Selon le communiqué du GPS, 315 places sont disponibles en hébergement d’urgence à Toulouse pour les hommes isolés. Depuis deux ans, le nombre de place a même été augmenté de 50, mais malgré tout, 44% des demandes n’aboutiraient toujours pas. 

    Lire aussi : Environ 5 000 sans-abri dans les rues de Toulouse

    Pour les femmes isolées, 176 places sont disponibles dans la ville. Mais malgré tout, 20 à 30 femmes par jour ne voient pas leur demande aboutir. 

    Un gymnase réquisitionné dès le 15 décembre

    La municipalité a indiqué qu’un gymnase sera dédié à l’accueil d’une centaine de sans-abri. Il doit ouvrir le 15 décembre prochain, indique France 3. Il sera accessible à partir du numéro du Samu social, le 115 ou par le biais des associations. L’adresse n’a pas encore été communiquée. Un second gymnase sera réquisitionné en cas de pic de grand froid (soit -2°C deux nuits successives). 

     

    Source : infos-toulouse

  • Le 2 décembre : se délivrer de la « napoléonite »…

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

    Le 2 Décembre est une date « bonapartiste ». Couronnement de l’Empereur Napoléon 1er, en 1804, victoire d’Austerlitz en 1805, et coup d’Etat en 1851 qui va permettre au neveu de devenir Napoléon III. Cette date est toutefois revêtue d’une certaine ambiguïté. On ne se risquerait guère à célébrer l’anniversaire du renversement militaire de la IIe République. L’actuelle rue du 4 Septembre à Paris a été dénommée en 1870, en remplacement de « rue du 10 Décembre ». Tout un symbole de l’histoire agitée de notre pays au XIXe siècle : Napoléon III ce grand bâtisseur dans la capitale, et urbaniste en grande partie du Paris d’aujourd’hui, avait prolongé la rue de Réaumur jusqu’à l’Opéra, et l’on avait à la fin du second empire, devenu libéral, donné à ce nouveau tronçon, la nomination d’une date, non pas celle du coup d’Etat, mais au contraire, celle de son élection triomphale comme Président de la République, le 10 Décembre 1848. Effaçant d’un coup l’Empire et le Prince-Président devenu Empereur, après le désastre de Sedan la rue marquait désormais l’avènement de la IIIe République proclamée le 4 Septembre 1870 par Léon Gambetta à l’hôtel de ville de Paris dont le maire était le républicain farouchement anti-bonapartiste Etienne Arago, qui décida du changement d’appellation. On remarquera que ce maire éphémère avait été un peu vite puisque après l’épisode chaotique et sanglant de la « Commune », et la prise de Paris par les « Versaillais », le tout sous les yeux des Prussiens victorieux, notre pays mit encore neuf ans à constitutionnaliser ce retour à la République, les monarchistes, divisés en légitimistes, orléanistes et bonapartistes, majoritaires au début, ne parvenant pas à rétablir la monarchie. L’invraisemblable succession de révolutions, de coups d’Etat, de régimes font du XIXe siècle le plus consternant de l’histoire de France jusqu’alors. Pendant que l’Angleterre colonisait la planète, que l’Allemagne s’unissait et gagnait la prépondérance européenne, que les autres populations du continent croissaient et émigraient, notamment en Amérique, la France contente d’elle-même et jouissant universellement d’une réputation acquise par sa langue, sa culture, son histoire, et ses « valeurs », s’agitait sans cesse en croyant toujours détenir l’avenir du monde, et tachait de compenser ses défaites en Europe et son amoindrissement par la conquête de vastes déserts à l’extérieur. En fait, même en un sommeil agité et plein des rêves d’une gloire passée, elle s’endormait sur de brillants lauriers.

    Or ces brillants lauriers sont souvent liés à l’image de Napoléon. Si on reprend les trois « 2 Décembre », c’est bien sûr Austerlitz qui brille le plus légitimement. C’est l’une des plus splendides victoires de l’Histoire, où le général Bonaparte, devenu empereur depuis un an, a fait preuve d’un génie tactique et stratégique sans pareil face aux Autrichiens et aux Russes. Qu’on refuse de célébrer le souvenir de cette éclatante victoire, comme le fit Chirac naguère, est stupide car il faut qu’un peuple soit fier de ce passé qui l’a construit. Mais il faut demeurer lucide : Austerlitz n’a servi à rien de durable car quelques semaines auparavant, le 21 Octobre, c’était Trafalgar, l’une des défaites infligées par les Britanniques à la marine française, et la plus décisive, car elle conduit immanquablement à Waterloo dix ans plus tard. Le 2 Décembre 1803 ( encore ! ), le Premier Consul, Napoléon Bonaparte avait constitué l’armée d’Angleterre. Trafalgar tua toute possibilité d’un débarquement, permit à Londres de tramer des complots, d’organiser et de financer des coalitions, et parfois de débarquer des troupes au Portugal, en Espagne ou aux Pays-bas. Ne pouvant atteindre l’ennemi essentiel sur son île, l’Empereur vainquit successivement tous les ennemis subalternes du continent, notamment pour étrangler économiquement les Anglais par le blocus continental. Ce plan démesuré et fou le conduisit à sa perte. Et pour ce faire, cet homme qui disait avoir « deux-cent-mille hommes de rentes par an », grâce à la conscription, avait déclaré à Lucien, le plus réticent de ses frères, qui craignait de voir la France se révolter contre la dictature : « Ne crains rien. Je l’aurai tellement saigné à blanc avant qu’elle en sera pour longtemps incapable ». La France ne s’est en fait jamais relevée de l’épuisement dans lequel l’a plongée l’épisode napoléonien. Le faste du sacre du 2 Décembre 1804 est surtout un monument de vanité. La plupart des mesures positives que l’on doit à Bonaparte avaient été prises sous le Consulat, et la paix d’Amiens en 1802 aurait pu assurer un autre avenir si le dictateur avait, comme Monck en Angleterre, rétabli la monarchie légitime. Malheureusement son « ombre brillante » a obscurci tout ce qui a succédé. » L’Histoire est le produit le plus dangereux que la chimie de l’intellect ait élaboré… Il fait rêver, il enivre les peuples, leur engendre de faux souvenirs… entretient leurs vielles plaies… les conduit au délire des grandeurs ou à celui de la persécution… » écrivait Paul Valéry. La centralisation administrative, le protectionnisme économique, la censure intellectuelle ont étouffé la France sous le Premier Empire, et malgré tout son talent, Zemmour n’est pas Chateaubriand qui a donné de cette période de notre histoire une vision plus juste.

    Les conséquences les plus néfastes de la nostalgie napoléonienne ont été de juger médiocres les régimes suivants, de croire à la puissance inégalée de notre armée, et de conduire à la restauration de l’Empire. Napoléon III n’avait en commun avec son oncle qu’une désespérante ignorance dans ce qu’on appelle aujourd’hui la géopolitique qu’ils encombraient l’un et l’autre de rêves et d’abstractions. Avec application, ils ont permis la réunification de l’Allemagne et de l’Italie que les Bourbons avaient morcelées le plus possible à nos portes. Faisant la guerre inutilement à ceux qui devaient être géographiquement nos alliés, Russes et Autrichiens, allant jusqu’à Moscou ou à Mexico pour chercher une vaine gloire, ils ont tous deux conclu par un désastre tel que la France n’en avait pas connu depuis la guerre de Cent ans… dont elle s’était relevée. Alors on pourra vanter le développement économique et les modestes progrès sociaux du Second Empire, comme le fera Philippe Seguin. Croit-on vraiment qu’un autre régime ne les aurait pas aussi bien réalisés ? A la fin du siècle, l’Angleterre et l’Allemagne étaient passées devant !

     

    Source : ndf

  • Sylvie Tellier : pas besoin d’être née femme pour participer à Miss France, mais il faut mesurer plus d’1m70

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

    Par  le 04/12/2019

  • Propagande LGBT – Chez Playmobil, les enfants ont deux mamans…

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

     

    Chez Playmobil, la propagande LGBT est bien intégrée. En témoigne cette boîte d’un enfant accompagné de deux femmes.

    La notice d’accompagnement du produit ne laisse pas de place au doute : “Les mamans vont faire du shopping avec leur enfant”.

    Un jouet à ne pas mettre sous les sapins ce Noël !

     

  • L’Italie accueille des migrants à la demande du pape François

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2019

    Le pape a demandé, et l’État italien a répondu de manière positive : 43 « migrants », clandestins provenant de l’île de Lesbos, sont maintenant en droit d’être accueillis en l’Italie.

    Et Jorge Maria Bergoglio, à travers l’aide de la Communauté de Sant’Egidio, supportera tout le poids économique de l’entière opération. Aucune dépense ne semble donc prévue par les institutions italiennes : ce sera le pape à garantir toutes les couvertures nécessaires.

    D’après ce que rapporte Il Messaggero ce serait le cardinal polonais Konrad Krajevski, le grand aumônier du pape, qui serait intervenu auprès du gouvernement italien et obtenu gain de cause selon la volonté du Vatican bergoglien. Ainsi ces 43 « migrants », provenant d’Afghanistan, du Cameroun et du Togo, pourront rejoindre l’Italie après avoir mis pieds clandestinement sur l’île de Lesbos.

    Le Saint-Siège, comme le souligne Il Sismografo, a rendu public la conclusion des négociations :

    « Après une intense période de tractations officielles entre les organismes compétents en vue de réaliser ce nouveau couloir humanitaire, le ministère de l’Intérieur de la République italienne a donné son consentement définitif pour que l’opération ait lieu. »

    L’actuel pape argentin avait débuté l’année par une homélie délibérément centrée sur l’accueil des « migrants », il l’a clôt dans le même état d’esprit. Sa pastorale pontificale est toute axée sur l’accueil inconditionnel des personnes provenant de ce qu’il appelle « les périphéries économico-existentielles ».

    C’est un signal fort qui est ainsi donné à la communauté internationale : le « pape des migrants » impose sa loi immigrophile à un exécutif italien, fort disposé d’ailleurs à le contenter. Le plus paradoxal dans tout ceci c’est de voir un gouvernement de gauche composé en grande partie d’athées et de bouffeurs de curé comme l’Italie peut en fabriquer depuis Garibaldi et les Carbonnari s’incliner si prestement devant la volonté d’El papa ! Leur idéologie commune marxisante et humanitariste bien-pensante transcende leurs discordances, à gauche toute eux et lui voguent ensemble pour déconstruire l’Europe.

    Ces clandestins pourront donc circuler librement sur le territoire italien, et européen. Le grand remplacement passe aussi par le Vatican…

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info