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  • « À l’origine, le régime spécial des cheminots a été une volonté patronale »

    Le régime spécial de retraite des cheminots n’est pas seulement le fruit de la lutte syndicale. Ces avantages ont été pensés par les patrons de chemins de fer du XIXe siècle pour fidéliser une main d’œuvre qualifiée et l’empêcher de partir à la concurrence. Analyse avec l’historien Georges Ribeill.

    Le régime spécial de retraite des cheminots est celui qui coûte le plus cher à l’État : 3,3 milliards d’euros de contribution publique pour équilibrer le système en 2017 quand la même année, la RATP recevait 700 millions d’euros et les IEG 1,5 milliard d’euros (industries électriques et gazières). […] Le gouvernement veut aligner les retraites sur le régime général et en finir avec ces statuts considérés comme privilégiés et impossibles à financer. Pourtant, à l’origine, ces systèmes ont été créés et pensés par les patrons des chemins de fer privés du XIXe siècle qui souhaitaient ainsi fidéliser une main d’œuvre selon un calcul bien compris. […]

    France Culture via fdesouche

  • ACAB : un groupuscule menace de mort des policiers à Limoges, Périgueux et Grenoble, directement à leurs domiciles

    Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2019

    Des policiers et des CRS de Limoges, Périgueux et Grenoble ont découvert, mercredi, des courriers menaçant de mort ou de violences leurs familles. Ces lettres, parfois déposées directement sans passer par la Poste, sont signées d’un groupuscule dénommé ACAB […] La signature « ACAB », slogan anti-police signifiant « All cops are bastards » (« Tous les flics sont des salauds »).

    Les syndicats de policiers, et notamment Alternative Police CFDT, font part de leur « stupéfaction, horreur et colère« . « On n’ose même plus rentrer chez nous en uniforme » déplorent des policiers de Limoges en réagissant sur cette affaire. Selon les syndicats, le policier visé à Limoges a porté plainte et les organisations syndicales espèrent que sa hiérarchie fera de même.

    France Bleu Via fdesouche

  • L’aumônier du pape, le cardinal Konrad Krajevski : « Que les monastères accueillent les migrants »

    Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2019

    Il est la voix de son maître, Jorge Maria Bergoglio. Le cardinal Konrad Krajevskii, aumônier du pape, est le préposé fidèle des désirs bergogliens en terme d’accueil des « migrants ».

    Il négocie avec l’État italien pour faire venir en Italie des clandestins bloqués sur l’île de Lesbos, et dont une majorité d’Européens ne veulent pas. Il brise illégalement des scellés posés sur le compteur électrique d’un immeuble romain abusivement squatté par des clandestins. Et maintenant il encourage les monastères et les maisons religieuses à recevoir d’autres clandestins. En somme il aime aider ce qui sont dans l’illégalité…

    Présent à l’aéroport de Fiumicino hier, mercredi 4 décembre 2019, pour recevoir les 33 clandestins, Afghans, Camerounais et Togolais, que le pape François a fait venir de Lesbos en Italie, il a déclaré :

    « Ouvrez vos maisons, vos couvents, vos monastères. Il y a de la place. Il y a des ressources. Si les monastères et les maisons religieuses accueillaient au moins une personne ou au moins une famille, à Lesbos il n’y aurait plus personne. »

    Trompeuse espérance que voilà : tant que des pape François, des Merkel, des Macron, des Carole Rackete, des Krajevski et autres humanitaristes immigrophiles continueront à prôner l’ouverture des portes du Vieux Continent et à obliger, par de présomptueuses accusations culpabilisantes et larmoyantes, l’Europe à accueillir toute la misère de l’Afrique qui cherche un Eldorado utopique de l’autre côté de la Méditerranée, Lesbos ne désemplira pas… Un nouveau clandestin prendra la place de celui qui aura réussi à passer sur le continent, et ce sera sans fin, l’Afrique étant un réservoir inépuisable de futurs « migrants ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’arabe, langue de France ? La nouvelle campagne de propagande

    Puplié par Guy Jovelin le 06 décembre 2019

     

    Najat Vallaud-Belkacem en rêvait. Jack Lang l’a fait. La vieille et coûteuse égérie socialiste qui dirige l’Institut du Monde Arabe proclame que l’arabe est une langue de France !

    Nul doute que cela le rendra encore plus populaire auprès de ces amis tunisiens lorsqu’il retournera faire la fête au festival électro de Tunis dont il est le parrain.

    Jack Lang en Tunisie pour le festival électro dont il est le parrain…

    Avec l’argent du contribuable, l’Institut du Monde Arabe diffuse donc une campagne de propagande à l’occasion de la Fête de la langue arabe.

    Au passage, on apprend que ce machin onusien qu’est l’UNESCO a décrété une journée internationale de la langue arabe.

    Institut monde arabe @imarabe

    Du 13 au 15 décembre, l’IMA célèbre la Journée mondiale de la langue arabe, instaurée par l’@UNESCO_fr en 2012.
    Ateliers, cours, rencontres, spectacles… durant un weekend, l'IMA vous invite à découvrir la 5ème langue la plus pratiquée au monde
    http://bit.ly/2QOkw8G 

    Voir l'image sur Twitter
     
     
  • « C'est insupportable que des syndicats communistes prennent les Français en otages et instaurent la chienlit »

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2019

    otages,retraites,syndicatsPour rappel, le communiqué de Jean-François Touzé, Délégué général du PdF :

    Ambigüe, incomplète, inéquitable, bancale, la réforme du système de retraites concoctée par Jean-Paul Delevoye sous l'impulsion à la fois molasse et hasardeuse d'Emmanuel Macron doit être combattue.

    Elle doit être combattue parce que la mise en place d'un système par points dont personne ne peut aujourd'hui présumer de la valeur aura inévitablement pour effet d'entraîner une baisse du niveau de retraite de nombreux Français.

    Elle doit être combattue parce que le plan Delevoye ne donne aucune assurance quant au financement futur des pensions.

    Elle doit être combattue parce qu'elle relève d'une simple velléité comptable et non d'un projet socialement juste, économiquement pérenne et nationalement efficace

    L'universalité des retraites et la fin des régimes spéciaux (mais quid des régimes autonomes ?) vont certes dans la bonne direction, mais ces mesures de bon sens et de justice que la droite nationale n'a cessé depuis des décennies de réclamer ne sont mises en avant par le gouvernement que pour masquer le caractère punitif pour de très nombreux Français de la réforme.

    Pour autant, les nationaux ne peuvent en aucun cas soutenir le mouvement de grèves massives et attentatoires à nos libertés qui se prépare à partir du 5 décembre. Une fois de plus, Marine Le Pen en prenant le parti des syndicats politisés de gauche et d'extrême gauche se fourvoie, confondant l'accessoire et l'essentiel, et privilégie ce qu'elle croit être sur le court terme son intérêt partisan au détriment de celui, dans la longueur et la profondeur du temps, de la France et des Français.

    Les Syndicats rouges, par idéologie autant que par défense de leurs privilèges organisationnels et catégoriels, se préparent à bloquer le Pays et à prendre, une fois de plus, les Français en otages pour une période indéterminée à l'approche de Noël. Pour contrer cette manœuvre inacceptable, le Parti de la France demande que soient prises dès le 5 décembre des mesures de réquisition et appliqué un vrai service minimum dans les transports et les services publics.

    Nous demandons aussi que la question vitale de la réforme des retraites soit soumise à référendum (loi constitutionnelle de 1995 étendant le champ référendaire aux questions sociales et économiques) afin que, loin d'être tranché par une classe politicienne et syndicale clanique, le nœud gordien des retraites soit défait par le peuple tout entier.

    Si cette réforme devait être rejetée par les Français — et tout porte à croire qu'elle le serait — un plan nouveau, courageux et responsable, de sauvegarde de nos retraites tant sur le plan du niveau des pensions que sur celui du financement du système, excluant les régimes spéciaux, consolidant la répartition tout en permettant la complémentarité volontaire, pourrait, grâce à la légitimation populaire acquise, être adopté dans la concertation dans le cadre législatif.