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otages

  • Trump avertit le Hamas qu’il y aura « l’enfer à payer » au Moyen-Orient si les otages ne sont pas libérés avant son investiture

    Publié par Guy de Laferrière le 03 décembre 2024

    Il n’est pas surprenant que le président élu Donald Trump soit fermement en soutien d’Israël, malgré le fait qu’après une année de guerre israélienne à Gaza, le nombre de morts civils ait atteint plusieurs dizaines de milliers. Trump a rempli des postes clés de la sécurité nationale avec des sionistes pro-Israël.

    C’est pourquoi il n’est pas étonnant qu’il adopte déjà une position ferme, menaçant une escalade si le Hamas et les militants palestiniens à Gaza ne libèrent pas immédiatement les otages israéliens restants. « Tout le monde parle des otages qui sont détenus de manière si violente, inhumaine et contre la volonté du monde entier, au Moyen-Orient – mais ce ne sont que des paroles, pas d’actions ! » Trump a commencé un message sur son réseau Truth Social.

    Il avertit qu’il y aura des « conséquences infernales » si le Hamas ne libère pas les captifs. « Que cette VÉRITÉ serve à représenter que si les otages ne sont pas libérés avant le 20 janvier 2025, la date à laquelle je prendrai fièrement mes fonctions de président des États-Unis, il y aura L’ENFER À PAYER au Moyen-Orient, et pour ceux qui ont perpétré ces atrocités contre l’Humanité », a-t-il poursuivi dans sa déclaration.

    « Les responsables seront frappés plus durement que quiconque ne l’a été dans toute l’histoire longue et riche des États-Unis d’Amérique. LIBÉREZ LES OTAGES MAINTENANT ! »

     

     
     
     
  • « C'est insupportable que des syndicats communistes prennent les Français en otages et instaurent la chienlit »

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2019

    otages,retraites,syndicatsPour rappel, le communiqué de Jean-François Touzé, Délégué général du PdF :

    Ambigüe, incomplète, inéquitable, bancale, la réforme du système de retraites concoctée par Jean-Paul Delevoye sous l'impulsion à la fois molasse et hasardeuse d'Emmanuel Macron doit être combattue.

    Elle doit être combattue parce que la mise en place d'un système par points dont personne ne peut aujourd'hui présumer de la valeur aura inévitablement pour effet d'entraîner une baisse du niveau de retraite de nombreux Français.

    Elle doit être combattue parce que le plan Delevoye ne donne aucune assurance quant au financement futur des pensions.

    Elle doit être combattue parce qu'elle relève d'une simple velléité comptable et non d'un projet socialement juste, économiquement pérenne et nationalement efficace

    L'universalité des retraites et la fin des régimes spéciaux (mais quid des régimes autonomes ?) vont certes dans la bonne direction, mais ces mesures de bon sens et de justice que la droite nationale n'a cessé depuis des décennies de réclamer ne sont mises en avant par le gouvernement que pour masquer le caractère punitif pour de très nombreux Français de la réforme.

    Pour autant, les nationaux ne peuvent en aucun cas soutenir le mouvement de grèves massives et attentatoires à nos libertés qui se prépare à partir du 5 décembre. Une fois de plus, Marine Le Pen en prenant le parti des syndicats politisés de gauche et d'extrême gauche se fourvoie, confondant l'accessoire et l'essentiel, et privilégie ce qu'elle croit être sur le court terme son intérêt partisan au détriment de celui, dans la longueur et la profondeur du temps, de la France et des Français.

    Les Syndicats rouges, par idéologie autant que par défense de leurs privilèges organisationnels et catégoriels, se préparent à bloquer le Pays et à prendre, une fois de plus, les Français en otages pour une période indéterminée à l'approche de Noël. Pour contrer cette manœuvre inacceptable, le Parti de la France demande que soient prises dès le 5 décembre des mesures de réquisition et appliqué un vrai service minimum dans les transports et les services publics.

    Nous demandons aussi que la question vitale de la réforme des retraites soit soumise à référendum (loi constitutionnelle de 1995 étendant le champ référendaire aux questions sociales et économiques) afin que, loin d'être tranché par une classe politicienne et syndicale clanique, le nœud gordien des retraites soit défait par le peuple tout entier.

    Si cette réforme devait être rejetée par les Français — et tout porte à croire qu'elle le serait — un plan nouveau, courageux et responsable, de sauvegarde de nos retraites tant sur le plan du niveau des pensions que sur celui du financement du système, excluant les régimes spéciaux, consolidant la répartition tout en permettant la complémentarité volontaire, pourrait, grâce à la légitimation populaire acquise, être adopté dans la concertation dans le cadre législatif.