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  • Nîmes (30) : un homme interpellé en train de casser les vitraux de l’église Saint-Baudile, il a été remis en liberté

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2020

    Par  le 27/07/2020

    Un homme a été interpellé, vendredi vers 22h45, en train de casser les vitraux de l’église Saint-Baudile dans le centre ville de Nîmes à hauteur du boulevard Amiral-Courbet. C’est la brigade anticriminalité de la ville qui a procédé à l’arrestation de cet homme en état d’ébriété, qui était muni d’une barre de fer de près de 2 mètres pour atteindre sa cible. Le suspect venait de détruire plusieurs vitraux de l’église. Le préjudice est en cours d’évaluation. L’homme a été placé en garde à vue où il se trouve encore ce dimanche matin en attendant les suites ordonnées par la parquet de Nîmes. Il a été libéré dans la journée de dimanche en attendant la suite des investigations.

    Objectif Gard via fdesouche

  • Heureusement, nos quartiers sont de plus en plus calmes

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2020

    Posté par h16  Il y a 4 heures

    Heureusement, nos quartiers sont de plus en plus calmes

    C’est donc un gouvernement resserré et décidé à redresser le pays après sa délicate crise sanitaire qui a lancé, en grande pompe, plusieurs grands chantiers visant essentiellement à verdir la politique d’Emmanuel Macron (2022 approche, que voulez-vous), à commencer par un grand et indispensable « plan vélo » sans lequel, on le sentait, la République aurait été en danger.

    Et au-delà de ces nouveaux territoires d’expérimentation politique et sociale, ainsi que des bisous marqués en direction des indigénistes et autre néo-racistes que certains médias s’empressent de légitimer à grand coup de doubles pages obséquieuses et complaisantes, force est de constater que, pendant ce temps, la société française se remet gentiment de sa période de confinement et se prépare maintenant à une rentrée sereine et décidément orientée sous le signe du travail studieux et de l’effort collectif pour remonter la pente économique.

    Il faut dire que cela urge : entre les rentrées fiscales qui ne sont pas exactement ce qu’elles devraient être pour soutenir le train de vie d’un État particulièrement large avec l’argent des autres, et les indéniables besoins de l’économie française, il est temps que tout le monde se retrousse les manches pour retourner au travail, ♩ tagada ♪ tsoin ♫ tsoin ♬.

    Cette belle unanimité du peuple français à rester concentré sur un avenir qu’il veut florissant, à mobiliser toutes ses forces vives pour produire de la richesse comme jamais se traduit d’ailleurs très concrètement dans l’actualité qui recommence, petit-à-petit, à se remplir de ces pépites d’ingéniosité, d’optimisme et de perspectives positives qui font la marque de notre savoir vivre à la française.

    C’est ainsi que la sécurité et l’ordre que l’État entend faire régner sur le territoire se mesure de mieux en mieux. La semaine passée, on découvrait, pas tellement surpris au fond, que conduire un bus devient maintenant un vrai métier à risques, ce qui – soyons en sûr – ne manquera pas d’impulser de nouvelles idées politiques pour mieux protéger les chauffeurs dans l’exercice de leur travail (sachant que l’idée qui consisterait à faire disparaître les risques de ce métier en imposant la sécurité régalienne est une idée vraiment rétrograde et quelque peu passéiste, disons-le tout net).

    De la même façon, le week-end passé nous aura montré qu’on peut aussi viser une société plus efficace et plus joyeuse en faisant table rase de ses encombrants monuments classés, par exemple en les brûlant. La protection qu’on serait en droit d’attendre d’un État qui prélève plus de 1000 milliards d’euros dans les poches de ses citoyens ne peut pas et ne doit pas se situer dans ce domaine banal et sans intérêt. Si on commence à attendre de l’État qu’il protège les lieux de culte, où va-t-on chers lecteurs, où va-t-on ?

    Mais surtout, quel intérêt pour l’État de rappeler que force doit rester à la loi lorsque cette dernière évolue sans cesse, qu’elle n’est pas appliquée et qu’à vrai dire, comme elle est écrite par des mâles blancs patriarcaux de plus de 50 ans, elle ne peut manifestement pas être ni bonne, ni juste, ni même réaliste ?

    Dès lors, il sera sain de laisser les quartiers historiquement émotifs ventiler sagement leurs petits mouvements de frustration et regagner par eux-mêmes leur calme et leur pondération.

    Dans ce cadre, on devra donc comprendre que les récentes violences urbaines, nombreuses, qui se sont multipliées avant et pendant le 14 juillet, ne sont pas des dérives ou les graines de futurs problèmes dans ces quartiers, mais la réalisation simple d’une expression alternative de la joie de vivre d’une petite partie des cancrelats racailles jeunes qui y vivent, ♩ youpi ♪ youpi, et ♫ vive le rodéo n’est-ce pas ♬.

    Les tirs de mortiers d’artifice, les embuscades de pompiers et de policiers servant de cibles pour des tirs, les affrontements entre certaines populations de ces quartiers susceptibles et les forces de l’ordre, tout ceci participe en réalité d’un mouvement artistique et social de décompression après ces mois de confinement strict qui fut particulièrement bien respecté dans ces zones. Il apparaît donc normal que la fête y batte maintenant son plein.

    En outre, quand ces quartiers ne décompressent pas sur place, ils savent exporter leur bonne humeur dans d’autres espaces et ambiancer d’autres lieux, comme dans ces parcs d’attraction dont on sait tous qu’ils seraient un peu tristes sans cette jeunesse et cette vitalité débordantes.

    Dans le précédent billet, on pouvait établir le décalage de plus en plus criant entre les besoins des Français et les mesures économiques prises par le gouvernement, résolument tourné dans le bricolage médiatique sans intérêt, les mesurettes cosmétiques parfaitement inutiles et les tabassages fiscaux tous azimuts qui continuent d’enfoncer le pays dans la misère en lieu et place de réformes de fond indispensable à relancer l’activité.

    Malheureusement, ce décalage visible au niveau économique est encore plus profond au niveau social : ce qui, normalement, relève de la fonction de base de l’État, le régalien, n’est plus assuré depuis longtemps et, pire encore, tout indique qu’il n’y a même plus volonté d’assurer au moins une façade cohérente ; la fermeté n’est plus affichée que de façon épisodique, devant l’une ou l’autre caméra, et encore, tout juste.

    En fait, la conviction manque d’autant que cette fermeté est de plus en plus dénoncée comme la marque abominable du patriarcat / du racisme / d’une phobie quelconque / de la lutte des classes / etc. (utilisez le concept du moment, panachage possible), ce qui entraîne un abandon croissant de tout ce qui légitime encore l’État et ses ponctions, dans certains quartiers au début, puis, petit-à-petit, dans des villes entières, puis des pans complets de territoire qui échappent alors à toute vie normale.

    Soyons objectif : l’État est parfaitement nul lorsqu’il intervient en économie (et plus il intervient, plus il déclenche de catastrophes). Parallèlement, à mesure qu’il s’agite en mesures sociétales et économiques, il en fait de moins en moins dans le régalien et moins il en fait, plus la situation se dégrade, obligeant nos très médiocres dirigeants à redoubler d’activité dans le sociétal et l’économique.

    Une seule conclusion s’impose devant ce cercle vicieux : ce pays est foutu.

     

    Source : ndf

  • Le magazine “M Le Monde” oublie de dire à ses lecteurs qu’Adama Traoré a violé à de multiples reprises son codétenu

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2020

    Posté par Eric Martin  Il y a 3 heures

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  • Loi éthique, loi de la barbarie.

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2020

    Loi éthique, loi de la barbarie.

    Ce lundi 27 juillet, la loi éthique, mise entre parenthèses pendant plusieurs mois du fait de la crise sanitaire, revient à l'Assemblée nationale en seconde lecture.

    Alors que le Sénat les avait supprimés, trois articles particulièrement scandaleux ont été réintroduits par les députés de la Commission spéciale chargée de la finalisation du projet.

    1- Le remboursement par la sécurité sociale de la procréation assistée pour toutes, femmes seules et couples homosexuelles compris même si la démonstration de leur infertilité naturelle n'a pas été faite. Le coût pour les contribuables en sera très important. Le coût moral pour la Nation, incalculable.

    2- L'autorisation de la PMA post-mortem, ignominie éthique née dans on ne sait quel arcane ténébreuse.

    3- La privatisation possible du stockage des gamètes, fruit de l'action intense de lobbying des laboratoires.

    D'autres abominations se préparent qui, n'en doutons pas, surgiront du débat par la voie des amendements. Mais, au delà de ces articles qui ne sont que des points de détails d'un tout, c'est l'essence même de cette loi qui doit être combattue. Si la procréation assistée peut être un recours vitaliste pour un couple homme-femme qui ne peut avoir d'enfant, l'ordre naturel autant que l'exigence nationale et la conscience supérieure de ce qu'est l'humanité vraie condamnent ces pratiques monstrueuses qui, après la banalisation de l'avortement, le mariage homosexuel, les manipulations génétiques sur l'embryon et la promotion de l'euthanasie, ouvrent la voie à un changement total de civilisation.

    D'autant que se profile à l'horizon la GPA, cette infernale gestation pour autrui à laquelle n'ont pas renoncé les apprentis-sorciers du progressisme comme le montre l'amendement introduit en octobre par un député LREM qui en évoque la reconnaissance, sans pour le moment la faire figurer dans la loi.

    Notre civilisation a, pour le moment encore mais plus pour très longtemps, le choix. Bientôt il sera trop tard. Ce choix, c'est celui de la Vie, ou de la mort.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : texte
     
     
     
  • Italie : militaires sur les plages pour faire respecter les règles anti-Covid tandis que les clandestins sont hors de contrôle

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2020

    Folie ordinaire du « vivre-ensemble » : en France, les clandestins ont les clés des cathédrales, et certains y mettent le feu, en Italie, ils ont la voie libre pour leurs rixes et leurs rassemblements tandis que les Italiens sans histoire sont soumis à une surveillance militaire orwellienne.

    Cela se passe à Vintimille, à la frontière franco-italienne. La situation y est de plus en plus tendue, suite à la récente reprise des flux migratoires vers la France. Ces derniers jours, les bagarres se sont multipliées et de nouveaux camps voient le jour.

    Les migrants sont hors de contrôle : « Les bagarres et les camps sont désormais à l’ordre du jour: on risque d’un nouveau far west. Une situation inacceptable tant du point de vue de la santé que du point de vue de la sécurité publique » déplore le maire Gaetano Scullino. Des centaines d’étrangers, notamment africains, ont envahi la falaise du Balzi Rossi, près de la frontière du Ponte San Ludovico et ont ensuite installé des camps le long de l’embouchure de la Roya, dans le cimetière de l’église de la Gianchette et sur la plage, dans le quartier de la gare, dans la caserne de l’ex-gare de marchandises, sous les ponts ferroviaires… partout.

    Le maire a appelé à une action immédiate et préventive pour éviter même une éventuelle crise sanitaire.

    Comme réponse, les vacanciers sur les plages de Vintimille ont assisté à une scène surréaliste digne d’un film. Ils se sont retrouvés devant les soldats du 32e régiment d’Infanterie de la brigade Taurinense en marche sur le sable, en tenue camouflage, bottes et fusils d’assaut, et l’inévitable masque. Il y a ceux qui ont pensé au pire mais lorsque les militaires se sont rendus dans la partie la plus fréquentée de la plage de Vintimille, la raison de leur présence était claire pour tout le monde : les soldats d’infanterie étaient déployés sur la plage pour faire appliquer les réglementations anti-Covid et éviter les rassemblements. « Essayez d’éviter les rassemblements, si vous êtes ensemble et trop près, utilisez le masque » ont déclaré les hommes formés pour la protection du pays, qui sous le soleil brûlant sont devenus des justiciers de l’ordre public.

    « J’ai posé une question urgente au ministre de l’Intérieur Lamorgese pour savoir quelles actions il compte entreprendre pour remédier à la situation, à la limite de la durabilité, de Vintimille, où les migrants sont de nouveau les patrons depuis des semaines », a déclaré Flavio Di Muro de La Ligue. A ce propos, le député n’a pas pu s’empêcher de commenter les images de l’infanterie armée sur la plage:

    « Nous assistons au paradoxe de voir nos Alpins envoyés en tenue camouflage et bottes sur les plages de Vintimille, il semblerait pour vérifier si les nageurs et les touristes observent les distances de sécurité ou utilisent le masque. Une absurdité intolérable qui a pour effet de décourager davantage notre tourisme au profit des stations balnéaires de la Côte d’Azur voisine ».

    Sonia Viale, de La Ligue elle-aussi, vice-présidente de la région de la Ligurie et conseillère sanitaire, est également intervenue:

    « Les images estivales de nos plages associées à la présence de soldats armés et camouflés parmi les familles frappent et laissent interdits. On sait que pendant le confinement l’emploi de l’armée a été demandé mais c’était une situation exceptionnelle. Aujourd’hui et dans ce contexte il apparaît délirant et anormal. »

    « A Vintimille, nous avons d’autres problèmes graves, y compris la situation liée à l’immigration, que le Gouvernement, avec la politique actuelle, ne fait qu’aggraver en faisant de la ville frontalière une destination de débarquement. Sur ce point, nous attendons les réponses du Gouvernement, comme je l’ai déjà demandé lors de l’inspection des fonctionnaires du ministère, certainement pas sur l’utilisation des masques par les vacanciers sur les plages. Nos forces de l’ordre et nos soldats méritent le respect de leur professionnalisme et les citoyens d’être libres, et non d’être mis sous contrôle militaire », a conclu Sonia Viale.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source :medias-presse.info