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  • Le masque obligatoire en l’absence d’épidémie est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire

    Le masque obligatoire en l’absence d’épidémie est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire

    Extraits d’une tribune courageuse de Nicole Delépine, ancien Chef de Clinique des Hôpitaux spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie, publiée sur le site Putsch :

    Chacun à travers les multiples articles sur des supports variés vidéos ou tribunes aura compris que le masque obligatoire en l’absence d’épidémie, alors que les hospitalisations et décès sont de quelques unités dans un pays de 67 millions d’habitants est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire. 

 Vous n’aurez pas manqué la terrible loi dite de bioéthique votée à 3 H du matin le 1 août en deuxième lecture et autorisant deux horreurs terrifiantes, l’avortement jusqu’au terme, pudiquement qualifié d’interruption médicale de grossesse et l’autorisation de créer au laboratoire des chimères homme-animal à partir d’embryons sacrifiés (…)

    Le masque a servi de camouflage aux votes scandaleux à l’assemblée. Les discours lénifiants à la télévision et sur les radios pour peser si oui on met un masque à l’extérieur ou pas etc… Evidemment il faut respirer son CO2 et ravaler ses microbes sur la plage, c’est bien évident et mérite d’occuper les émissions tv. Et pendant ce temps-là qui a entendu parler des modifications anthropologiques majeures que la loi de bioéthique (…)

    Et pourquoi depuis quand le peuple devrait-il donner son avis ? Quand il le donne d’ailleurs il est bafoué tel le référendum de 2005 sur la Constitution… Notre vote a été violé mais là aussi nous sommes soumis ! Combien de gens dans la rue pour protester ? Nous sommes bien conditionnés à l’obéissance depuis plusieurs décennies, si bien que quand on vous dit, « restez chez vous », « bien chef » ils sont restés sans un mot … Contrairement à ce que certains ont tenté de faire croire, ce ne sont pas des amateurs maladroits, nos politiques. Au contraire ce pouvoir est très organisé pour décérébrer et mettre le peuple en confusion mentale, selon la technique éprouvée des injonctions contradictoire d’un jour à l’autre… (…)

    L’épidémie du coronavirus qui a sévi n’est pas plus mortelle au niveau mondial que les grandes grippes modernes (…) Une épidémie terminée en France selon toutes les analyses des chiffres officiels de Santé Publique France : il n’y a presque plus de décès liés au covid (…) L’arrivée de la fameuse deuxième vague attendue comme l’arlésienne depuis 3 mois (3) est compromise car le virus semble avoir muté et être devenu très peu virulent (…)

    Les tests enfin arrivés après la guerre ne dépistent que des « cas » positifs qui ne sont en aucun cas des malades (pas de signe clinique même mineur). Les tests ne sont de plus pas fiables puisque non spécifiques. L’augmentation des cas ne témoigne que de l’augmentation des tests et lorsque la positivité augmente un peu plus c’est que les gens sont testés auprès des contacts de positifs, ce qui fausse l’analyse de l’immunité collective (…)

    En l’absence d’épidémie, le masque ne sert à rien. Justifié pour les soignants et dans les transports collectifs en mars, avril, il n’a aucun sens aujourd’hui, sinon de répandre encore et encore la peur, afin de paralyser la population et de bloquer sa réflexion (…) Le masque de la tyrannie et de la déshumanisation et de la soumission (…)

     

    Source : lesalonbeige

  • Il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    Il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Extrait d’une tribune de Christian Vanneste :

    “(…) Les policiers pourront donc taxer les « clients » solvables mais seront impuissants devant l’activité des zones où leur présence réclame des opérations d’ampleur considérable. Et il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Lorsqu’on passe des technocrates aux idéologues, c’est le mot lui-même qui effarouche. Qui dit ensauvagement dit sauvage, et qui dit sauvage commence à sentir le soufre du racisme. Les faits ont beau être têtus et aligner des auteurs qui ne s’appellent ni Philippe, ni Mélanie, ni Thomas, ni Axelle, car ce sont les prénoms des victimes, l’antiracisme inquisiteur refuse ce terme sourdement discriminant. Lorsqu’un crime met en lumière une partition ethnique de notre société, parce que justement des ethnies différentes, et non des races, ont des cultures différentes, et donc des comportements différents, un rapport différent à la violence, notamment, la novlangue progressiste édulcore : ce sont des incivilités, commises par des « jeunes », victimes de conditions sociales défavorables. Ce sont les victimes de la colonisation à la fois comme descendants de colonisés et comme « indigènes » colonisés en France même.

    Ce discours délirant accuse les forces de l’ordre de violences ciblées et exige que la France désarme sa police aujourd’hui et se repente de son passé colonial et esclavagiste d’avant-hier. On comprend que le gauchisme déstabilisateur ne néglige aucun mensonge historique ou judiciaire, mais la passivité de l’État devant ces excès laisse pantois. Curieusement, le technocrate sans expérience qui habite l’Élysée se révèle davantage comme un idéologue progressiste, sensible aux arguments gauchistes dès qu’il ne s’agit pas d’économie : il avait demandé à son garde des Sceaux de recevoir Assa Traoré ; il a osé parler de crime contre l’humanité à propos de la colonisation ; il confie maintenant, selon son bon vouloir, la mission mémorielle sur l’Algérie à l’historien le plus partisan et le plus hostile à la France. Comment veut-on lutter contre l’ensauvagement si on nie son existence, en parlant d’incivilités, et si on alimente ainsi les prétextes de l’insoumission à l’ordre républicain ?

    Nous vivons la chute de notre pays, sur le plan économique mais aussi intellectuel avec la fin des idées claires et distinctes qui caractérisaient la pensée française, cartésienne. Nous vivons la submersion de la civilisation chrétienne par le matérialisme hédoniste et consumériste.

    Nous subissons une évolution démographique mortelle pour notre identité. Démographie ! Un autre gros mot ! Depuis des décennies, en même temps qu’on encourageait l’immigration de familles nombreuses y compris polygames, porteuses d’une autre culture, comme des faits divers récents viennent de le souligner, on démantelait systématiquement la famille française, lieu privilégié de la transmission, pour réduire la population autochtone en « particules élémentaires » sous prétexte de satisfaire les caprices de groupes de pression ultra-minoritaires. Au cœur de cet été du Covid-19, le pouvoir inepte qui sévit en France fait passer en catimini la PMA pour les lesbiennes en jurant ses grands dieux que la GPA est une ligne rouge… Ce sera pour le prochain mandat !

     

    Source : lesalonbeige

  • Le Professeur Luc Montagnier dénonce les mensonges sur le Covid 19 : “Même les scientifiques sont achetés”

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    Auteur : 

    Virologiste et Prix Nobel, le Professeur Luc Montagnier revient sur les folies de notre temps concernant le Covid 19, création humaine répète-t-il. Et il assène : “Même les scientifiques sont achetés”…

     

  • Cuties, le film de Netflix sexualisant les enfants, a été récompensé par un pédophile

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    La campagne promotionnelle de Netflix, géant du streaming, pour le film Cuties a déclenché un tollé mondial. De l’Amérique latine à l’Inde, en passant par les Etats-Unis et l’Europe, dans toutes les langues, les réseaux sociaux ont grouillé de messages scandalisés dénonçant la sexualisation des enfants véhiculée par ce film.

    Le film Cuties (en France, le film est intitulé Mignonnes) qui bénéficie d’une énorme campagne de promotion par Netflix montre des fillettes de 11 ans dans des attitudes sexualisées, notamment au cours de danses comme le «twerk».

    Le film est “français” et co-produit par France 3 ! Il raconte l’histoire de Amy, 11 ans, une jeune musulmane sénégalaise qui vit dans un quartier pauvre de France et qui rejoint un groupe d’autres fillettes qui passent leur temps à des danse sexualisées dans des tenues indécentes.

    La description originale du film par Netflix disait : «Amy, 11 ans, est fascinée par une équipe de danse twerk. Dans l’espoir de les rejoindre, elle commence à explorer sa féminité, défiant les traditions de sa famille

    «Ce film est dégoûtant car il sexualise un enfant de ONZE ans pour le plaisir visuel des pédophiles et influence négativement nos enfants! Il n’y a pas besoin de ce type de contenu dans ce groupe d’âge, surtout lorsque le trafic sexuel et la pédophilie sont si répandus ! Il n’y a pas d’excuse, c’est un contenu dangereux », a réagi une pétition signée par des centaines de milliers de personnes.

    La réalisatrice du film, Maimouna Doucouré, dit avoir été incitée à faire le film après avoir assisté à une fête locale et avoir vu «un groupe de jeunes filles âgées d’environ 11 ans, monter sur scène et danser de manière très sensuelle en portant des vêtements très révélateurs».

    Réfléchissant à cet événement dans une interview à Cineuropa, Maïmouna Doucouré déclare: «(…) je me suis demandé si elles étaient conscientes de l’image de disponibilité sexuelle qu’elles projetaient».

    La réalisatrice se défend contre les critiques en déclarant que le film faisait partie de ses efforts pour susciter un débat sur la tendance croissante des jeunes filles à attirer un grand nombre d’adeptes des médias sociaux en publiant des photos sexualisées d’elles-mêmes en ligne.

    «J’ai vu que certaines très jeunes filles étaient suivies par 400 000 personnes sur les réseaux sociaux et j’ai essayé de comprendre pourquoi. Il n’y avait pas de raisons particulières, à part le fait qu’elles avaient posté des photos sexy ou du moins révélatrices : c’est ce qui leur avait valu cette «renommée» », déclare Doucouré.

    Mais faut-il, pour lancer un débat, en produire un film sexualisant de jeunes enfants ? Au contraire, beaucoup voient en ce film une banalisation de la sexualisation des enfants. Quantité d’enfants de par le monde, voyant ces images, seront incités à faire de même.

    Sur les réseaux sociaux, des messages du monde entier ont dénoncé le rôle de normalisation de la pédophilie joué par ce film. Sur Twitter, des hashtag très en vogue associent depuis plusieurs jours dans toutes les langues Netflix à la pédophilie.

    Devant l’ampleur des critiques, Netflix a tenté de sauver la face en modifiant sa description du film.

    La description mise à jour est en fait beaucoup plus trompeuse : «Amy, onze ans, commence à se rebeller contre les traditions de sa famille conservatrice lorsqu’elle est fascinée par une équipe de danse à l’esprit libre».

    Quelques lignes sur les réseaux sociaux ont aussi fait office de simulacre d’excuses de la part de Netflix pour tenter d’apaiser l’opinion publique.

    Et Netflix n’a aucune intention d’annuler la diffusion de ce film scandaleux.

    Netflix refuse de condamner la pédophilie

    Plus inquiétant encore, cet échange sur le Netflix Customer Service. Un utilisateur demande si Netflix soutient la pédophilie. Réponse de Netflix : «Nous ne pouvons pas vraiment commenter cela, mais alors que nous croyons en la liberté créative, chez Netflix nous respectons toutes les religions et leurs cultures, traditions et valeurs».

    Film récompensé par un pédophile

    Il faut ajouter un fait extrêmement révélateur. Le film Cuties / Mignonnes a été récompensé d’un prix décerné par le Sundance Film Festival dont le co-fondateur Sterling Van Wangenen a été condamné à six ans de prison pour pédophilie !

    Terminons par une «coïncidence» troublante. Le minable communiqué faisant office de simulacre d’excuses de Netflix était suivi sur Twitter d’un message de promotion pour la saison 5 de la série Lucifer.

     

  • Des drones photographient les personnes non-masquées à Melbourne

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    Australie – Suivant l’exemple de la Chine communiste, la police australienne se tourne vers l’utilisation de drones pour faire appliquer les mesures de dictature sanitaire prises au motif de lutter contre le coronavirus et contrôler la population.

    La presse de Melbourne a rapporté, comme ici, que la police de l’État de Victoria se préparait à utiliser des drones pour photographier les personnes qui ne portent pas le masque, pour photographier aussi les plaques d’immatriculation des conducteurs qui parcourent plus de 5 kilomètres et pour s’assurer que les parcs de skate et les terrains de jeux pour enfants sont vides. 

    Ces drones peuvent voler à une hauteur de 7 kilomètres et prendre une photo claire d’une plaque d’immatriculation à 500 m. 

    Les médias australiens ont également rapporté que la police de Victoria avait demandé aux forces armées australiennes des drones militaires, demande qui a été refusée. 

    Le commissaire adjoint de la police de l’État de Victoria a défendu l’utilisation de drones pour aussi espionner les espaces publics comme les plages. 

    Ces mesures de surveillance rappellent la vidéo publiée en janvier par le Global Times, contrôlé par le gouvernement chinois, montrant une dame âgée de Mongolie intérieure regardant avec étonnement un drone équipé d’un haut-parleur. Une voix parlant à travers l’engin lui criait de rentrer chez elle et de se laver les mains. Au Royaume-Uni, une vidéo de drone de la police a été publiée en mars pour s’en prendre aux randonneurs du Peak District en Angleterre. Toujours en mars, le Financial Times a rapporté qu’un service de police californien utilisait également des drones pour faire appliquer le confinement. Tout comme en France et en Belgique.

    En mai, en France, une décision de justice a donné raison aux militants de «La Quadrature du Net» et de la Ligue des droits de l’homme contre la police parisienne et a jugé que l’utilisation de drones pour appliquer les règles de confinement était une violation de la vie privée. La décision a interdit à la police française d’utiliser des drones volant à basse altitude équipés de caméras pour identifier des personnes.

     

    Source : medias-presse.info