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  • Après Sainte-Sophie, Erdogan ordonne la reconversion d’une autre ex-église en mosquée Par perubu le 21/08/2020

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2020

    Par  le 21/08/2020

    Le président turc Recep Tayyip Erdogan a ordonné vendredi 21 août la reconversion en mosquée d’une ancienne église orthodoxe emblématique d’Istanbul, un mois après la réouverture au culte musulman de la basilique Sainte-Sophie. La décision de transformer le musée de la Chora en mosquée intervient un mois après la reconversion similaire et controversée de l’ex-basilique Sainte-Sophie, classée au patrimoine mondial de l’humanité.

    Construite par les Byzantins au 5ème siècle, l’église Saint-Sauveur-in-Chora, aussi appelée église de la Chora, a été convertie en mosquée après la prise de Constantinople par les Ottomans en 1453, puis en musée après la Seconde Guerre mondiale. Outre son histoire millénaire rivalisant avec celle de Sainte-Sophie, l’église byzantine de la Chora est surtout connue pour ses magnifiques mosaïques et fresques datant du 14ème siècle, dont une monumentale composition du Jugement dernier. […]

    Yücel Sahin, un habitant d’Istanbul âgé de 45 ans, est venu «avec excitation» dès qu’il a appris la nouvelle. «Nos ancêtres (…) sont devenus les propriétaires de ces lieux après la conquête» de Constantinople, estime-t-il, rejetant l’idée d’un manque de respect envers les fidèles d’autres religions en Turquie. «Il y a (de nombreuses) églises et synagogues à Istanbul, mais une poignée d’entre elles seulement sont ouvertes à la prière», ajoute-t-il. […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Coronavirus : le professeur Toussaint nie toute deuxième vague sur le plateau de Cnews

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2020

    Invité de l’émission L’Édition du soir diffusée sur CNews le 18 août dernier, le professeur Toussaint, professeur de physiologie de l’Université Paris-Descartes, Directeur de l’IRMES, Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport à l’INSEP, ose l’inconcevable pour les pouvoirs publics et les médias du système : nier toute deuxième vague et reprise d’une épidémie de coronavirus.

    « Nous ne sommes plus du tout dans la gravité, dans l’urgence, du printemps, de celle de février, de mars et d’avril » déclare-t-il avant de continuer avec  des paroles dures envers le gouvernement et le conseil scientifique :

    « Nous sommes dans une utilisation des indicateurs, un changement, une instrumentalisation, qui fait que nous allons avoir pour les semaines à venir des changements de comportements, des orientations qui sont décidés par un conseil scientifique qui ne regarde plus la réalité du risque mais qui souhaite probablement imposer d’autres schémas de pensée. »

     

    Des mots qui laissent pantois le pauvre présentateur, ne sachant plus quoi dire ni comment riposter :

    « Là j’ai très peur, dit-il. Je suis en train de me dire, déjà un est-ce qu’on fait peur aux gens pour rien ? La deuxième chose, c’est à charge aussi pour les politiques et pour les personnes qui sont au plus haut sommet de l’état qui aujourd’hui nous disent qu’il faut porter le masque en extérieur ? En septembre le conseil scientifique dit qu’à l’automne on risque d’avoir une seconde vague ? »

    Une perche saisie par le professeur Toussaint qui n’hésite pas à condamner le comportement des scientifiques qui imposent leurs confinement, masques et autres distanciations sociales à la moitié de l’humanité :

    «  Le conseil scientifique, lorsqu’il nous annonce une énième seconde vague, un certain nombre de ses membres sont sur le site de vacances. Si je le dis, c’est qu’ils l’annoncent sur les radios ».

    Et de continuer en dénonçant ces mêmes scientifiques qui, tout en décrétant toutes ces mesures restrictives et en annonçant de terribles catastrophes sanitaires, – plus de 500000 morts pour la Grande-Bretagne ou la France- ne croient pas eux-mêmes aux recommandations qu’ils préconisent.

    Une charge puissante contre le pouvoir de ces scientifiques qui susurrent aux oreilles des gouvernements des mesures qui maintiennent la peur au sein des populations.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Racialisme noir et racisme anti-Blancs : l’exemple de Globule Noir

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2020

    Les lois contre le racisme et la discrimination interdisent depuis de nombreuses années à un employeur de publier une offre d’emploi réservée aux Français. L’employeur qui diffuserait en France une offre d’emploi réservée aux Blancs serait immédiatement envoyé devant les Tribunaux.

    Pourtant, le 29 juillet dernier, le compte Twitter de Globule Noir, se décrivant comme un “groupe de soignantes racisées, luttant contre la négrophobie et les discriminations au sein des institutions hospitalières” publiait une offre d’emploi pour une infirmière à domicile “racisée” pour des soins à domicile dans le 13ème arrondissement de Paris. Et de préciser le sens de “racisée” : “#SoignantNoir“.

    L’annonce a entraîné de nombreuses réactions de mécontentement sur les réseaux sociaux et Twitter a fermé le compte de Globule Noir.

    Mais ceci témoigne du développement en France d’un communautarisme noir, foncièrement racialiste et profondément raciste anti-Blancs. Les mouvements indigénistes peuvent à présent compter sur l’effet Black Lives Matter ainsi que sur les turbulents racistes de la Ligue de Défense Noire Africaine.

    Si la France se respectait, les gens de Globule Noir devraient être identifiés et renvoyés en Afrique. D’ailleurs, l’Afrique a bien besoin de personnel soignant. Ces racialistes noirs, s’ils étaient cohérents, ne devraient pas rester un jour de plus en France. Leur peuple les accueillera à bras ouverts. Et le nôtre sera débarrassé de propagateurs de haine qui n’ont rien à faire chez nous.

     

    Source : medias-presse.info

  • L'apartheid homme/femme est un projet commun de l'islamisme et de l'extrémisme féministe.

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    L'hystérie féministe qui étend son emprise vient, en effet, en complément de toutes les autres offensives auxquelles nous sommes confrontés : destruction des valeurs, submersion migratoire, contagion islamique.

    L'apartheid homme/femme est, au demeurant, un projet commun de l'islamisme et de l'extrémisme féministe. La différence est que le premier veut l'asservissement des femmes, le second celui des hommes.

    Mais les deux se retrouvent dans une volonté de destruction des principes et des moeurs qui ont fait l'Occident et participent de l'ordre naturel des choses de ce monde.

    Et les deux créent petit à petit les conditions de la mort de tout ce qui fait notre civilisation.

    Jean-François Touzé.

    L’image contient peut-être : une personne ou plus et personnes debout, texte qui dit ’TIGNES TIGNES NT S’
     
     
     
  • Toulouse : l’été plombé par les fusillades

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2020

     
    fusillades
    © Pixabay

    A Toulouse, l’été s’annonçait chaud sur les thermomètres. Il l’est également dans les rues de la ville. Plusieurs fusillades ont éclaté dans la ville rose, visant tour à tour des dealers, le frère d’un joueur de football et des bandes. 

    Quatre morts des une dizaine de blessés. C’est le terrible bilan de l’été à Toulouse où les coups de feu ont retenti dans différents quartiers de la ville. Des Izards à Saint-Simon, en passant par le Stadium ou les Minimes, les règlements de compte ou les agression par arme à feu se sont multipliés depuis le mois de mai. 

    Déconfinement : prémisse d’un été de plomb

    Alors que la France vivait sa dernière semaine de confinement, à Bagatelle, les armes étaient déjà sorties de chez elles. Le jeudi 7 mai au soir, un homme d’une trentaine d’années a été la cible de « deux détonations », selon des témoins. Une agression qui pourrait être mise sur le compte « de faits de vols ou de rackets auprès des commerçants du quartier », indique La Dépêche. La victime s’est présentée d’elle-même aux urgence, sa cuisse traversée par un projectile. Le suspect court toujours. Quelques heures plus tard, c’est un rodéo dans le secteur du Mirail qui a occasionné des coups de feu entre participants. Aucun blessé n’a été signalé.

    Le week-end du 25-26 avril avait déjà occasionné une série de quatre fusillades, à Bagatelle, La Reynerie, Croix-Daurade et Empalot. Cette fois sur fond de trafic de drogue d’après les enquêteurs. Plusieurs blessés avaient été pris en charge. 

    Lire aussi : 14 juillet : 9 voitures brûlées, des feux de poubelles, pas de trêve sanitaire pour les délinquants

    Le 23 mai au soir dans le quartier des Arènes, un rodéo sauvage a failli mal tourné. Appelé par des riverains après avoir entendu « des coups de feu », les policiers se sont retrouvés face à des chauffards, n’hésitant pas à leur foncer dessus. L’une des voitures est passée à « quelques centimètres » d’un fonctionnaire de police. Une personne a été arrêtée et jugée en comparution immédiate. 

    Le 23 juin, c’est dans le quartier d’Empalot que les armes refont parler d’elles. Un individu a tiré à la chevrotine sur un homme. Blessé au dos et à l’abdomen, il a été transféré à l’hôpital de Rangueil dans un état grave. Les policiers d’élite du Raid ont été appelé pour appréhender le tireur, aperçu dans un immeuble du quartier quelques minutes après les faits. En vain, la personne interpellée n’était pas le forcené qui court toujours.

    Juillet sanglant 

    Le 13 juillet, le frère du footballeur de Tottenham (Angleterre) Serge Aurier, Christopher, a été tué dans un établissement de nuit du secteur Saint-Simon. Touché à l’abdomen, il est décédé des suites de ses blessures à l’hôpital. Un homme s’est rendu aux policiers, quelques jours plus tard, expliquant avoir agit sur fond de jalousie. 

    Trois jours plus tard, le corps d’un homme a été retrouvé sans vie à proximité du Stadium, sur l’île du Ramier. Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime était âgée de 16 ans et aurait reçu une balle dans le flanc, avant d’être achevé d’une balle dans la tête. 

    Pas de trêve en août 

    Le mois d’août a été chaud. Un soir de canicule, le 8 août sur la place des Pradettes, un homme de 25 ans a été grièvement blessé par un tir aux alentours de 2 heures du matin. Un autre homme qui l’accompagnait a lui aussi été visé par les tirs. Il a réussi à échapper à ses agresseurs, au nombre de deux et équipé au moins d’un fusil, en montant dans une voiture qui l’a conduit à l’hôpital. Quelques jours avant, les policiers avaient déjà été appelés pour des coups de feu, sans qu’aucune trace ne soit retrouvée par les enquêteurs. Le quartier des Pradettes a connu des affrontement entre bandes rivales au début du mois. 

    Dans le quartier des Izards à l’embouchure de la station de métro Trois Cocus, un groupe de jeunes a été la cible d’un tireur. Un homme de 29 ans a été tué et deux autres personnes ont été blessées par des balles de 9mm tiré par un individu, semble-t-il, à pied. Si la victime n’est pas connue des services de police, les deux blessés seraient lié aux trafics de stupéfiants qui gangrènent le quartier. Une dizaine de coups de feu auraient été tiré, au milieu des passants. 

    Lire aussi : « 98% des interpellés sont issus de la communauté maghrébine », selon un policier de Haute-Garonne

    Le jeudi suivant, une seconde fusillade a éclaté dans le même quartier, quasiment au même endroit. Trois coups de feu aurait été tiré sans faire de victime et sans même que des douilles ne soient retrouvées sur les lieux. 

    Dimanche 16 août, c’est dans le quartier des Minimes, cher à Claude Nougaro, qu’un adolescent de 15 ans a été blessé par balles. Touché à la jambe droite, ses jours ne sont pas en danger mais la mauvaise série continue de se dérouler sous les yeux des policiers impuissants. La victime serait un guetteur du quartier, chargé de prévenir les dealers de l’arrivée des forces de l’ordre. Le tireur court toujours après avoir pris la fuite à bord d’une grosse berline noire. 

    Face à cette terrible série, le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, compte rencontrer à la rentrée le Premier ministre Jean Castex, en déplacement ce mardi à Mondonville, pour lui demander des effectifs de police supplémentaire. L’élu estime que 200 nouveaux policiers seraient nécessaire pour calmer les ardeurs des trafiquants et des délinquants qui pullulent dans la ville rose. 

     

    Source : infos-toulouse