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La présence avérée de milices djihadistes en provenance de Syrie venues se joindre aux forces d'Azerbaïdjan dans leur offensive activement soutenue par la Turquie contre le Haut Karabakh montre clairement que l'enjeu pour la république musulmane de Bakou n'est pas seulement territorial mais s'inscrit dans la suite du combat millénaire entre l'Islam et la chrétienté.
Assez de paroles vaines! Macron qui n'ignore pas que, malheureusement, la France ne compte aujourd'hui pas dans cette region, Trump qui joue, comme l'ont fait tous ses prédécesseurs, de l'appartenance de la Turquie à l'OTAN, et Poutine qui œuvre sur les deux tableaux en vendant des armes aux uns et aux autres, ont, d'une même voix d'apparence, exigé l'arrêt des combats. Ils doivent rapidement sortir de l'ambiguïté et passer à un autre registre.
C'est un soutien total aux Arméniens du Haut Karabach, comme à ceux d'Erevan qui doit être affirmé. Si nous laissons faire, les positions de l'islam conquérant seront renforcées, un nouveau massacre ethnique et religieux aura lieu, et la Turquie, déjà forte de son influence croissante dans le monde musulman, de son contrôle des routes énergétiques, de ses investissements économiques et politiques au Maghreb, et du double chantage qu'elle exerce sur l'Europe par l'arme migratoire et le levier de sa diaspora aura la voie libre dans la reconstitution de l'empire ottoman, ennemi juré et déterminé de notre civilisation.
« Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement. » Francis Blanche
Je n’ai jamais adhéré à la personnalité du chef de l’état. J’ai cherché longtemps un qualificatif pour lui et son gouvernement. Je pense, après mûre réflexion, que le meilleur terme est malsain. Élu, quoiqu’on puisse en dire par une large minorité de la population, il n’a eu de cesse que de prendre des décisions dont le moins qu’on puisse dire qu’elles ne suscitent pas un enthousiasme féroce. Le plus souvent basées sur des présupposés douteux quand ils ne sont pas faux, elles contraignent le pays à s’engager sur des chemins qui ne mènent nulle part et qui obèrent considérablement ses capacités actuelles et futures ainsi que notre vie quotidienne. Certes, il a hérité d’une situation budgétaire désastreuse mais strictement rien ne l’obligeait à poursuivre dans cette voie si ce n’est une certaine facilité et une fascination pour le court-terme.
Les atteintes continuelles aux plus élémentaires libertés individuelles, une complaisance affichée pour des idéologies mortifères comme l’écologisme, un mépris ouvert pour ceux qui font marcher dans l’ombre la machine France que ce soit dans la fonction publique ou dans le monde privé sont proprement sidérants. Il ne se passe pas un jour sans qu’on nous annonce la mise en œuvre ou un projet qui impacte directement nos vies et nos libertés individuelles. La technique est bien rodée. Ça commence généralement par un article où une autorité quelconque, personnalité politique, artiste, ne lance dans un interview une idée généralement d’une bêtise sans égal. Parfois, l’idée est reprise dans un article sans évidemment qu’aucune contradiction ne soit apportée. Devant le tollé soulevé, une idée conne reste une idée conne, l’intéressé fait machine arrière mais, comme on dit, c’est pour mieux rentrer par la petite porte et là, on ne rigole plus du tout. C’est ainsi que sont nées des choses aussi stupides que les 80 km/h (alors que personne ne remettait en cause les 90), des taxes aussi ridicules que destructrices (taxes sur les voyages aériens, les grosses voitures, etc,…). Je crois qu’on atteint le fond avec la pseudo-concertation où 150 imbéciles, soi-disant représentatif de la population, ont planché sur un panel de propositions qui feraient rire si le mamamouchi en chef n’avait pas déclaré les adopter. Autrefois, Paris valait une messe. Au XXIème siècle, la satisfaction d’un égo va nous valoir la ruine de notre pays. Ça atteint un tel niveau que je me demande si Macron et sa bande ne déroulent pas une feuille de route préparée ailleurs, par qui et pourquoi ? Déjà, les gueux de la campagne n’ont plus le droit de se chauffer au fuel et très rapidement, ils ne vont plus pouvoir utiliser leur vieille voiture : https://www-auto–moto-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.auto-moto.com/actualite/environnement/radar-anti-voiture-ancienne-quil-faut-savoir-250165.html/amp.
Soit nous parions sur le fait qu’ils sont tous des machiavels en puissance, réfléchissant à trois ou quatre coups en avance, soit ils sont cons comme des manches. La réalité, et en particulier la pitoyable gestion de la crise COVID, a bien du mal à corroborer la première hypothèse mais si jamais la commission européenne adopte le texte dit loi Avia, nous saurons qu’ils sont, en plus de remplir les critères de la seconde hypothèse, dotés d’une méchanceté franchement machiavélique pour le coup. Bien qu’elle s’en défende, cette union européenne qui n’en finit plus de mal mourir sera devenu l’archétype du totalitarisme peut être mou mais diablement efficace. Paré de toutes les vertus d’un modèle démocratique, ce pays deviendra une prison à ciel ouvert où, n’en doutons pas, se manifesteront rapidement nombre de Fouquier-Tainville et autres Saint-Just pour ramener les esprits égarés dans un chemin prétendument droit. Si on peut trouver un point positif dans la crise sanitaire que nous traversons, c’est bien d’avoir mis à nu bien des personnalités douteuses. Les intéressés le savent et c’est peut-être à cause de cela qu’ils sont nombreux à rivaliser de flagornerie et de malhonnêteté intellectuelle pour appuyer la politique désastreuse et mensongère suivie par le pouvoir. Cette dernière pourrait, je dis bien pourrait être justifiée si le nombre de mort imputable au COVID (la faute est intentionnelle) était en totale corrélation avec le nombre de cas dit « positif » enregistré. Mais rien, il n’y a rien. Tirez-en vous-même les conclusions.
Tout ceci risque de se terminer très mal. Attention, tant va la cruche à l’eau qu’à la fin, elle se casse.
Le président polonais récemment réélu a réitéré son engagement à soutenir la famille traditionnelle dans des commentaires liant la protection de la famille à la survie de la nation polonaise.
Le président Andrzej Duda, 48 ans, a accordé une interview à EWTN alors qu’il était reçu au Vatican la semaine dernière.
«Il n’y a pas de nation, pas d’État sans une famille qui a des enfants, ce qui à son tour provoque le renouvellement des générations, ce qui signifie que la nation demeure et qu’elle peut créer un État», a déclaré Duda.
«Donc, si quelqu’un se considère comme un patriote polonais, si quelqu’un pense que la Pologne devrait rester, que notre nation devrait continuer à exister, alors il ne devrait y avoir aucun doute que la famille dans tout cela a une signification fondamentale. C’est comme ça que j’aborde ça.»
Le président polonais a également rappelé à EWTN que la protection de la famille traditionnelle, la définition du mariage comme une union entre une femme et un homme et le droit des parents d’élever leurs enfants selon leurs convictions sont inscrits dans la Constitution polonaise.
«Et je n’hésite pas à en parler à l’Union européenne. Mais je travaille, je sers la Pologne, c’est mon devoir. Et comment les politiciens d’autres pays, d’autres présidents abordent cela, c’est leur prérogative. Et ce sont leurs sociétés qui les tiennent responsables. C’est ma démarche. Et c’est aussi une approche chrétienne.»
Le président Duda s’est engagé dans sa récente et fructueuse candidature à protéger la famille polonaise de ce que certains politiciens polonais ont appelé une idéologie LGBT «étrangère» ou «occidentale». Dans sa «Family Card» (liste de politiques), Duda a promis d’empêcher l’adoption d’enfants par des homosexuels et de maintenir la «propagande de l’idéologie LGBT» hors des institutions publiques. Il a également insisté sur le droit des parents de décider de «l’esprit» qui façonnera leurs enfants et a promis un soutien à l’instruction des enfants à la maison.
Nos amis de l’International Organization for Family ont lancé une pétition contre la diffusion par Netflix du film “Cuties” (littéralement “mignonnes”) qui met en scène de façon pour le moins équivoque des très jeunes filles – c’est-à-dire un film à la lisière de la pédomanie. C’est un énorme débat aux Etats-Unis, mais il serait bon que Netflix sache qu’en Europe aussi, des téléspectateurs sont écoeurés par ce type de film.
C’est un attentat qui a profondément marqué les esprits à Marseille. En pleine journée le 1er octobre 2017, deux étudiantes, deux cousines ont été tuées au couteau sur le parvis de la Gare Saint-Charles à Marseille. L’assaillant avait été tué par des militaires d’une patrouille de l’opération Sentinelle. L’acte, revendiqué par l’Etat Islamique, a été qualifié d’attentat.
Une plaque commémorative est depuis installée sur le parvis pour rendre hommage à ces deux jeunes filles de 20 ans.
Laura Paumier, 21 ans, et Mauranne Harel, 20 ans, sont les dernières victimes de la lâcheté collective face au totalitarisme islamique. Laura était élève infirmière, engagée dans le scoutisme. Mauranne était étudiante en médecine.
Les deux cousines ont été l’une égorgée, l’autre éventrée, dimanche, gare Saint-Charles, à Marseille. Le tueur, Ahmed Hanachi, criait «Allah akbar» en plongeant son couteau. Il a été abattu par un réserviste en patrouille. L’État islamique l’a reconnu comme un de ses «soldats».
Le Tunisien de 29 ans vivait clandestinement. Il avait été arrêté sept fois depuis 2005 pour de la petite délinquance, sans avoir jamais été expulsé. Deux jours avant qu’il n’assassine, la canaille avait été interpellée pour vol, à Lyon, puis relâchée. Laura et Mauranne sont mortes des renoncements de la République et des belles âmes à protéger les citoyens de l’immigration de peuplement et de l’islam conquérant qu’elle amène.