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  • Covid, l’excuse de l’UE pour imposer l’agenda Lgbt

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    Crime européen d’homophobie, reconnaissance des « mariages » homosexuels dans tous les États membres, utilisation d’une partie du Fonds de relance pour financer les activités LGBT, arrêt du financement des États qui ne s’inclinent pas. La Commission européenne a annoncé un plan visant à imposer l’agenda Lgbt à tous les pays. En violation des traités européens.

    L’Union Européenne défend les revendications de la Gaystapo. Le 12 novembre, la Commission de l’Union européenne a publié une communication annonçant la volonté de préparer un plan pour que tous les pays de l’UE deviennent de plus en plus arc-en-ciel.

    En fait, la Commission veut introduire un crime d ‘« homophobie » au niveau européen et entend lutter contre les « stéréotypes de genre » à l’école. Elle insiste également pour que chaque État reconnaisse les « mariages » homosexuels célébrés dans d’autres États européens et le statut de l’homoparentalité reconnu dans d’autres systèmes juridiques. Enfin, les technocrates bruxellois ont exprimé leur désir d’attribuer un financement spécifique aux initiatives Lgbt, y compris une part du Fonds de relance, mis en place pour faire face à l’urgence sanitaire actuelle pour le covid.

    Le point sensible de cette décision n’est pas seulement le contenu, promouvoir davantage l’agenda Lgbt en Europe mais aussi de méthode : il s’agit d’une ingérence indue dans les affaires de chaque État membre, c’est-à-dire d’une invasion injustifiée de ce thème dans des domaines de compétence nationale et non de la responsabilité de la Commission. Cette dernière cherche à dissimuler cette violation de la souveraineté nationale en évoquant la volonté d’offrir de simples « orientations politiques », de ne vouloir que « coordonner les actions des États membres, suivre la mise en œuvre et les progrès, apporter un soutien grâce aux fonds européens et promouvoir l’échange de bonnes pratiques entre les États membres ». Tout cela sonne bien, mais il y a quelque chose de pourri en dessous.

    Et le pourri a été clairement identifié par une analyse publiée par le Centre d’Etudes Livatino. Ce dernier souligne tout d’abord que le Parlement européen et le Conseil européen ne peuvent pas instituer le crime d’« homophobie » parce qu’ils échappent à leurs compétences. En fait, l’art. 83 du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne indique précisément les matières sur lesquelles l’Union Européenne peut « établir des règles minimales relatives à la définition des infractions et des sanctions dans des domaines pénaux particulièrement graves qui ont une dimension transnationale ».

    Ces sujets sont : « terrorisme, traite des êtres humains et exploitation sexuelle des femmes et des mineurs, trafic de drogue, trafic d’armes, blanchiment d’argent, corruption, contrefaçon des moyens de paiement, cybercriminalité et criminalité organisée. » La discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et la soi-disant identité de genre ne figure pas sur la liste. Le Centre d’Etudes Livatino souligne en effet que l’intention exprimée par la Commission de modifier l’article 83 susmentionné afin d’inclure également le crime d’« homophobie » dans la liste, d’une part, n’est pas justifiée par la ratio du même article qui prévoit une intervention réglementaire de l’UE uniquement pour les crimes transnationaux, c’est-à-dire pour les comportements susceptibles d’affecter plusieurs États à la fois, comme le trafic d’esclaves et/ou le commerce des armes où par exemple une fille est « achetée » dans un pays, puis « revendue » dans un autre, ou lorsqu’un stock d’armes de contrebande entre dans un État pour être ensuite revendu dans un autre. Sur les autres fronts, le pouvoir législatif ne relève certainement pas de la compétence de la Commission.

    La reconnaissance mutuelle entre les Etats des « mariages » entre duos homosexuels et du statut des parents homosexuels, ainsi que la lutte contre les « stéréotypes de genre » dans le milieu scolaire, en somme les domaines matrimoniaux et parentaux, ainsi qu’éducatif, concernent la législation nationale et l’Europe ne peut pas se substituer aux États membres en matière de famille et d’école. En particulier en ce qui concerne la question « famille », le jeu que la Commission européenne voudrait jouer est facile à comprendre : si l’État X a légitimé le « mariage » gay, obliger l’État Y à reconnaître le « mariage » entre deux hommes célébré dans l’État X représente la première étape pour que l’État Y légifère en faveur du « mariage » gay.

    Enfin, nous arrivons au chapitre sur le financement des initiatives arc-en-ciel. La Commission veut faire chanter les États membres de l’UE : soit ils soutiennent les politiques Lgbt, soit les robinets du financement public se ferment. Mais la règle du do ut des dans le domaine financier, rappelle toujours le Centre Livatino, n’est en aucune manière envisagée par le traité précité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Vouloir ensuite aspirer les ressources fournies par le Fonds de relance et destinées aux commerçants, entrepreneurs, industriels, familles, patients, hôpitaux et centres de recherche pour les allouer à des initiatives arc-en-ciel car, écrit la Commission, « la crise du covid-19 […] a frappé de manière disproportionnée les personnes Lgbtqi vulnérables », est incroyable.

    En fait, d’une part, il est bon de rappeler que le pourcentage d’homosexuels est d’environ 1 à 4% en Europe, en tenant également compte des bisexuels, et celui des transsexuels autour du point zéro. C’est donc un groupe absolument restreint, si petit que cela ne justifie pas un financement ad hoc. Pour tenir compte de cette logique, il devrait y avoir un financement européen pour les jardiniers et les arbitres de football touchés par le covid. Au contraire, la Commission aurait dû suggérer d’introduire un soutien financier pour les familles, les travailleurs et les employeurs.

    Une deuxième raison de perplexité est le fait que la Commission n’apporte aucune preuve que le covid a frappé particulièrement durement les homosexuels et les transsexuels. Nous connaissions les personnes âgées et les patients atteints de pathologies multiples, mais personne n’a jamais entendu parler des homosexuels et des trans. Si le virus affecte également les gays et les personnes trans, c’est parce qu’il touche presque tout le monde. En ce sens, les lobbies Lgbt et la Commission européenne doivent être sereins : le coronavirus ne discrimine personne, il ne fait pas de distinction par orientation sexuelle et « identité de genre ». C’est un virus très inclusif.

    En fin de compte, le fonctionnement de la Commission européenne a clairement une empreinte idéologique : des ressources pour embaucher des médecins et des infirmières sont retirées avec l’intention de les allouer à l’organisation de la gay pride.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Mgr Eric de Moulins-Beaufort a fait preuve d’audace, mais il a vite fait repentance…

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    Auteur : 

    Mon cher cousin,

    J’ai grande souvenance de la subite allégresse qui m’a saisie lorsque les dépêches m’ont appris que cinq évêques du royaume de France avaient osé franchir le Rubicon et déposé un recours devant le Conseil du Hiérarque Emmanuel 1er.

    Cinq c’est bien peu, me direz-vous, sur plus de cent mitrés pour simplement requérir la liberté de célébrer la Sainte Messe en leurs cathédrales, églises, monastère et couvents. Je vous l’accorde, mais c’est déjà beaucoup plus que lors de la première fronde de mars courant où aucune crosse ne s’était dressée, tel le bâton de Moïse, pour défendre l’honneur de Notre Seigneur.

    L’espoir aidant, j’ai aventureusement envisagé que la rencontre entre le Grand Chambellan de Prades et les ambassadeurs des synodes diocésains – c’est ainsi qu’ils se considèrent de nos jours – allait tourner à l’affrontement entre les forces du Bien et celles du Mal.

    J’ai même déposé un cent de cierges aux pieds de sainte Rita afin que l’Esprit Saint enflammât le cœur et l’âme de nos Ordinaires si peu enclins à en découdre face à leurs ennemis.

    Hélas, mon cousin, trois fois hélas, ma prière n’a pas été entendue. J’ai même grande crainte que mes oraisons auprès de la patronne des causes désespérées ont eu un effet néfaste aux yeux de la sainte médiatrice car ma foi en la pertinacité de nos mandants ne devait pas être assez crédible.

    En effet, à l’issue de ce « conclave » maçonnique, Monsieur de Moulins-Beaufort a déclaré que les contempteurs de la Sainte Eglise avaient toutes les raisons « sanitaires » de refuser le culte public rendu à Dieu. Il s’est fait, rapporte sournoisement les gazettes, le « porte-parole » du ministre Darmanin, le même qui a menacé les fidèles de leur envoyer la troupe s’ils bravaient l’interdiction de prier lors des manifestations pour réclamer le droit d’assister à la messe.

    Mgr de Moulins-Beaufort, repentant et contrit de son audace du mois de mars, argue que ces rassemblements de fidèles relèvent « d’une atteinte à la loi de Séparation et que nous devrions, nous évêques, pouvoir nous accorder pour estimer que la prière ne doit pas servir à porter des revendications politiques. »

    Pauvre Mgr qui a fait repentance en rase campagne ! Son plat de lentille pour un tel abandon ? : l’espoir de pouvoir célébrer la messe de Noël, silencieusement, sans joie, ni enthousiasme, ni chants qui pourraient déclencher l’ire de ses nouveaux maîtres.

    Le temps mauvais est revenu, cher parent, puisque le représentant de la fille aînée de l’Eglise s’est misérablement incliné, tels les soldats romains obligés à passer, courbés et les mains liées dans le dos, sous un joug formé de fourches et lances dressées par le vainqueur barbare en l’an 321 avant l’avènement de Notre-Seigneur.

    A chacun ses fourches caudines Monseigneur. Celles sous lesquelles vous acceptez de passer, vous les avez choisies et vous les revendiquez. Honte à vous !

     

    Source : medias-presse.info

  • Selon le CSA il y a près de 17 millions de non-Blancs en France et la présidente de France Télévisions expose son combat contre les Gaulois

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2020

    La gauchiste Delphine Ernotte vient de se voir offrir, avec l’argent des Français, un deuxième mandat à la tête du groupe France Télévisions.

    Dans un entretien au Monde (journal négationniste du Grand Remplacement), elle affirme sans ambage son principal projet :

    « […] Nos publics revendiquent d’être mieux représentés, en matière de parité, de couleur de peau, de handicap, d’origine géographique et sociale. La distorsion entre la réalité et sa représentation à la télévision est trop grande. Nous allons donc évaluer la représentation à l’antenne afin de nous fixer des objectifs pour 2021. D’après le CSA, les personnes « perçues comme non blanches » représenteraient environ 25 % de la société française, contre 15 % à la télévision. On a un énorme rattrapage à faire. Ce sera le fil rouge de mon nouveau mandat.

    Comment l’imposer aux producteurs ?

    Ma méthode, c’est compter, partager, changer. Aux Etats-Unis, on dit : « No diversity, no commission. » On ne finance pas un projet quand la diversité n’est pas représentée.

    Comptez-vous adapter les structures de l’entreprise à ce nouvel objectif ?

    Dès 2021, je recruterai 200 alternants issus de la diversité. C’est important d’être représenté devant, mais aussi derrière la caméra. Il faut faire rentrer de nouveaux profils. […] »

    Tout cela est fort intéressant.
    1) En France, les statistiques ethniques sont interdites (afin de pouvoir nier le Grand Remplacement et la criminalité qu’il fait exploser), sauf quand cela permet de cracher sur les Gaulois (comme Macron qui nie l’ethnie française et tout à coup parle des « Gaulois réfractaires » ou les combattre.
    2) Le CSA, instance officielle de censure idéologique, se permet de compter et confirme publiquement le changement de peuple imposé à la France : 25% de « non-Blancs », soit 17,5 millions de personnes, à la démographie bien sûr bien plus vigoureuse que celle des Français.
    3) La télévision publique va conduire une politique de discrimination raciale contre les Français ethniques et donc de remplacement.
    4) Quand Ernotte parle de « représentativité », ce n’est évidemment pas honnête : les productions qu’elle diffusera présenteront toujours les criminels comme étant des Gaulois – à rebours de la réalité des prisons françaises par exemple, et du vécu des Français – et les héros, le plus possible, comme des non-Gaulois.

     

    Source : contre-info