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  • Petit Bateau fait sa petite propagande LGBT

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2020

    Petit Bateau fait sa petite propagande LGBT

    Voilà une marque qui ne fera plus partie des cadeaux de Noël…

    “L’amour n’a pas de goût, pas d’odeur, pas de visage…”

    Quelle déshumanisation…

    Vous pouvez les contacter ici, ou contacter votre boutique locale en la cherchant ici. Un lecteur me signale que la vendeuse de sa boutique locale n’était pas au courant, a dit être très étonnée, et qu’elle en parlerait à ses collègues et à sa hiérarchie.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le fichage d’individus selon leurs opinions politiques, philosophiques ou religieuses autorisé par décret !

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2020

    contre-info


    Ce sont des décrets très graves qui viennent d’être publiés (voir ci-dessous), dans la quasi-indifférence des gros médias et bien sûr sans opposition politique importante.

    Jusqu’à présent, le Régime fichait les gens – les patriotes en particulier –, selon leurs activités réelles, notamment des activités militantes basiques, classiques et innocentes. Et cela pouvait se traduire par une discrimination administrative arbitraire et pénible envers des citoyens parfaitement honorables (interdiction de détenir des armes, de passer des concours, vexations aux frontières, etc.) avec la fameuse « fiche S ».
    Le Régime franchit une étape importante en expliquant qu’il va maintenant ficher largement, simplement en fonction des opinions réelles ou supposées, en espionnant massivement les Français ou étrangers à papiers français.
    En attendant probablement les « internements préventifs ». Il pratique déjà les « arrestations préventives ».

    Comme prévenu, et nous l’expliquons ici depuis 2009, la République a un irrépressible penchant totalitaire (et ce depuis sa fondation, lors de la sanguinaire Révolution française), qu’elle suit à grande vitesse ces dernières années accompagnant l’avancée de l’idéologie mondialiste (facilitée par l’affaiblissement des résistances politiques nationalistes : « la force des méchants réside dans la faiblesse des bons » disait en substance saint Pie X) et aidée par le progrès technique.
    Toujours sous le même prétexte de « sécurité » publique, le Régime entend répertorier les opinions « politiques, philosophiques, religieuses ou syndicales » de ceux qui peuvent menacer – même simplement en puissance, par leur simple « non suivisme » – non pas la sécurité du peuple, mais sa sécurité à lui.
    N’organise-t-il pas justement lui-même, ce Régime, depuis des décennies, sciemment et avec entêtement, la mise en danger des Français par l’immigration de masse ou des pratiques techniques ou agro-alimentaires nocives ?
    Cette République cosmopolite est un colosse aux pieds d’argile, il a de plus en plus peur et va se montrer plus répressif, plus inquisiteur. C’est bon signe : sa fin approche. En attendant, il va pousser au plus loin sa tentative de société orwellienne.
    Mais comment les Français peuvent-ils supporter cela ? Que leur est-il arrivé ?!

    « Opinion politique, activité sur les réseaux sociaux, comportement religieux ou données de santé : autant d’éléments qui pourront désormais être collectés dans les fichiers du renseignement selon trois décrets passés sous les radars de la presse.
    >Recueillir une somme importante d’informations sur l’opinion politique de personnes «pouvant porter atteinte à la sécurité publique ou à la sûreté de l’Etat», des pseudos Twitter, des données de santé, des éléments de comportement religieux : c’est ce que permettent désormais trois décrets du ministère de l’Intérieur publiés dans la matinée du 4 décembre et consultables dans le Journal Officiel.
    S’ils sont passés relativement inaperçus dans la presse (à quelques rares exceptions près), ces textes renforcent pourtant significativement les méthodes allouées au renseignement territorial… et suscitent des questionnements quant aux objectifs poursuivis.
    Portant sur le «Fichier de prévention des atteintes à la sécurité publique» (PASP), la «Gestion de l’information et prévention des atteintes à la sécurité publique» (GIPASP) et les «Enquêtes administratives liées à la sécurité publique» (EASP), ces décrets élargissent considérablement les possibilités de surveillance de toute personne présentant un risque pour l’ordre public, à savoir non seulement les individus radicalisés mais aussi des manifestants violents, ou encore des hooligans, comme l’explique le site spécialisé NextInpact.Cependant l’expression utilisée dans le décret PASP pour désigner ces personnes reste très générale et pourrait concerner, en théorie, de nombreux cas. Les trois décrets font ainsi référence au fichage des individus dont les activités seraient «susceptibles de porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou de constituer une menace terroriste portant atteinte à ces mêmes intérêts». Ficher des individus selon leurs «opinions politiques [et] religieuses» Afin de préserver la «sûreté de l’Etat», les trois textes prévoient également tout un arsenal de mesures de surveillance comme la possibilité de ficher des individus selon «des opinions politiques, des convictions philosophiques, religieuses ou une appartenance syndicale». La nuance est donc importante puisque la précédente version permettait le fichage des individus selon leurs activités, et non pas de leurs «opinions».

    Un autre point qui soulève bien des inquiétudes est la surveillance des «activités sur les réseaux sociaux». Une grande nouveauté qui ne figurait pas dans le précédent décret. Elle permet aux forces de l’ordre de recueillir les identifiants et pseudonymes utilisés sur les réseaux sociaux, par des individus surveillés, à l’exclusion des mots de passe.

    Parmi les autres points énumérés dans le décret de 2020, citons, outre le fichage des liens avec «des groupes extrémistes», les éléments ou signes de radicalisation, ou encore la détention d’armes, la possibilité pour les fonctionnaires du renseignement territorial de répertorier des éléments concernant les «pratiques sportives», la détention «d’animaux dangereux» et même, élément nouveau, des données relatives à des «facteurs de fragilité», comme les «facteurs familiaux, sociaux et économiques» ou les «addictions».  » (source RT France)

  • Plus de deux millions de foyers bénéficiaires du RSA

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2020

    synthesenationale

    état,rsa,seine-saint-denis

    Arnaud Raffard de Brienne

    Pour la première fois depuis la création du dispositif en juin 2009, il y a onze ans, le cap des deux millions de foyers bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA) vient d’être allègrement franchi. Ce seul minimum social – il en existe une dizaine -, remplaçant du Revenu minimum d’insertion (RMI), assure, sous certaines conditions plutôt larges et souples, un revenu forfaitaire, une sorte de revenu universel avant  l’heure, aujourd’hui financé par les départements pour un montant supérieur à douze milliards d’euros par an. Cette ponction devenue insupportable pour les départements, une loi en cours d’examen prévoit une renationalisation du RSA dont l’État assurera le financement. A noter, on se demande bien pourquoi, c’est déjà le cas pour nos chers départements et territoires d’Outre-mer comme la Guyane et la dispendieuse Mayotte depuis 2019, et pour  La Réunion depuis le début de cette année.

    Le Premier ministre Jean Castex, en visite le 25 septembre dernier en Seine-Saint-Denis, l’un des départements les plus pauvres de France, là encore on se demande bien pourquoi, reconnaissait « les difficultés sociales exceptionnelles auxquelles est confronté ce département ». Il venait officiellement présenter, si possible sans rire, la mise en œuvre du plan « L’État plus fort en Seine-Saint-Denis ». De façon plus prosaïque, il s’agissait d’officialiser, sous les yeux énamourés de Stéphane Troussel, Président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, la prise en charge, à titre expérimental du financement du RSA par l’État, dès janvier 2022. Voici des années que diverses personnalités de ce département surendetté, aux sept villes parmi les vingt plus pauvres de France, multipliaient les appels au secours et suppliaient les politiques de leur venir en aide. C’est chose faite.

    Une folle fuite en avant

    En France cette année, avant un prévisible nouveau record en 2021, le RSA fait l’objet de 3 000 nouvelles demandes par jour. L’explosion du nombre de pauvres devrait encore s’aggraver en 2021 mais il s’agit bien entendu, selon les grands médias, d’imputer cette situation à la commode crise sanitaire en cours alors que l’ensemble des indicateurs confirment que nous ne sommes que face à l’aggravation, certes accélérée, d’une situation devenue intenable de longue date et renvoyant très directement à la folle politique ou plutôt absence de politique d’immigration.

    Pendant ce temps, l’État continue à distribuer à tour de bras un argent dont il ne possède pas le premier centime. Sait-on, par exemple, que la prime d’activité bénéficie à 8,9 millions de personnes, soit une augmentation de 42,7% de bénéficiaires depuis 2018 ? Dernière trouvaille, la prime Covid annoncée par Emmanuel Macron le 14 octobre dernier dans le cadre et sans doute pour adoucir l’annonce du couvre-feu, de 150 euros pour les allocataires du RSA, 100 pour ceux de l’Aide personnalisée au logement (APL), agrémentée d’une prime de 100 euros par enfant à charge, ce qui dans certains territoires peut représenter un pactole. Cette démente fuite en avant ne présage évidemment rien de fameux pour les contribuables et épargnants…

    Article paru dans le quotidien Présent cliquez ici