Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2021
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Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2021
Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2021
En 2019, l’association Techno Plus a reçu, sur proposition de Mme Anne Souyris, adjointe au maire de Paris, chargée de la santé publique, des relations avec l’AP-HP, de la santé environnementale et de la réduction des risques, 80 000 euros pour financer un « drug truck » :
Chaque année cette association touche des milliers d’euros de subventions de Paris, soit près de 200 000 € en 6 ans :
Dans un communiqué du 1er janvier, l’association Techno Plus s’honore d’accompagner la Rave party à Lieuron en Bretagne, où elle mène des actions de santé pour réduire les risques liés au Covid-19. Mais Techno Plus n’est pas seulement une association d’aide et de prévention. C’est aussi un organisme militant, soutenant des actions illégales. Elle avait ainsi ouvert un espace de consommation de drogues, héroïne comprise, au Teknival de 2013. En 2017, Techno Plus a ouvert à Paris, avec Aides et Asud, un éphémère magasin de vente de drogues.
Tout ceci explique-t-il l’inertie du régime à clore cette rave party ?
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2021
Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2021
Dans la région, les centres d’hébergement sont littéralement saturés. À tel point que sur les 130 000 places destinées à l’accueil de personnes dans le besoin, près de 40 % sont des chambres d’hôtel, indique Le Parisien dans une enquête au format long. Depuis quelques années, les chiffres demeurent en constante augmentation. Tandis qu’en 2015, 35 000 personnes étaient accueillies dans des hôtels de la région parisienne, le nombre quotidien de nuitées s’est établi à plus de 53 000 en octobre dernier. […]
[…] « Les dimensions sont devenues énormes », assène Christine Laconde, directrice générale du Samu social de Paris qui a mis en place un service dédié, baptisé Delta, où une centaine de personnes travaillent à temps plein pour rechercher des chambres d’hôtel disponibles, gérer les réservations pour plusieurs départements franciliens et s’apprête à l’assurer pour l’ensemble de l’Ile-de-France dès le mois prochain. […] « Au 26 octobre 2020, le nombre total de nuitées hôtelières s’élevait à 53 545 en Île-de-France », calcule la préfecture de région qui chiffre le « coût moyen d’une nuitée à 21 euros » à Paris, 18 euros en moyenne dans la région. Note globale à régler auprès de 643 hôtels d’Ile-de-France : près d’1 million d’euros chaque nuit, 300 millions d’euros à l’année. […]En moyenne, les personnes logées à l’hôtel y restent deux ans et demi. Mais « la moitié y est depuis plus de deux ans, martèle Christine Laconde. La raison majeure, c’est l’accès au logement qui est un parcours du combattant. Les gens font face à des galères sans nom pour avoir des situations de séjour régularisées et des papiers pour pouvoir prétendre au logement. […]
Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2021