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  • Etat d’urgence sanitaire prolongé et régime transitoire jusqu’au 31 décembre, la dictature Macron n’avance pas masquée

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    C’est le quotidien du système Libération qui a eu la primeur de l’info et qui la délivre benoitement aux Français : « A défaut d’inscrire tout de suite dans la loi «un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires», le gouvernement prévoit de prolonger un état d’urgence sanitaire strict jusqu’au 1er juin et un régime transitoire jusqu’au 31 décembre 2021 » dévoile l’édition du jour avant d’ajouter :

    « L’exercice est périlleux : remettre sur la table la prolongation de l’état d’urgence sanitaire sans pour autant raviver la polémique tout juste éteinte du projet de loi «instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires» retiré, à peine adopté en Conseil des ministres, avant les fêtes de Noël. »

    On se souvient en effet que Twitter avait fait reculer le 22 décembre dernier le gouvernement Castex qui voulait faire voter en procédure accélérée son projet de loi visant à pérenniser l’état d’urgence sanitaire et transformer ainsi les non vaccinés en citoyens de seconde zone.

    Selon les informations distillés par le journal bobo-radical-chic de la gauche caviar, – cette gauche qui produit tels des cloportes des Lang, Duhamel, Cohn-Bendit, suivez mon regard, ces socialo-libéraux abusant outrageusement de « leur » liberté dans les années passées et exigeant aujourd’hui un confinement covidesque liberticide pour sauver leur vieille peau de libertaires libidineux -,

    « le gouvernement va proposer le 13 janvier en Conseil des ministres un projet de loi visant à repousser l’état d’urgence sanitaire en France du 16 février au 1er juin inclus. Le cadre juridique de l’état d’urgence – qui instaure un régime transitoire – sera quant à lui repoussé du 1er avril au 31 décembre inclus. Ce texte est une priorité pour le pouvoir puisqu’il lui permet de prendre des mesures contraignantes pour la population afin de limiter la propagation du virus (confinement, limitation des rassemblements dans l’espace public, couvre-feu). »

    Une décision qui a fait bondir l’ex-député LREM, Martine Wonner, une des rares voix libre de l’Assemblée Nationale. Dans un tweet, elle s’insurge contre ce nouveau « bâillonnement » des droits fondamentaux des Français et s’interroge :

    « la dictature sanitaire est en marche : report des élections régionales, et présidentielles ? ».

     

    Si cette hypothèse se réalisait dans le futur, nous pourrions avoir là une explication des paroles sibyllines de Macron du 4 décembre dernier :

    «Et peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures, parce que les circonstances l’exigeront, et qui rendront impossible le fait que je sois candidat. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Divorce : le mariage, davantage aligné sur le régime du Pacs, est désormais moins protégé qu’un contrat

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    Divorce : le mariage, davantage aligné sur le régime du Pacs, est désormais moins protégé qu’un contrat

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    Denis Moreau, professeur de philosophie à l’université de Nantes, et Alexandre Stobinsky, magistrat au tribunal judiciaire de Créteil, signent une tribune dans Le Figaro, dans laquelle ils dénoncent la facilitation du divorce :

    […] Toutefois, sans l’accord de l’un des mariés, et hormis une faute caractérisée de l’un d’entre eux, un divorce ne peut être aujourd’hui demandé qu’après deux ans de séparation effective. La réforme a fait passer cette durée à un an. Elle était de six ans avant 2004. Désormais, dans un cas extrême, douze mois après la célébration d’un mariage, celui-ci pourra être rompu de manière unilatérale. On nous objectera légitimement l’urgence ou l’impérieuse nécessité parfois de divorcer sans l’aval de son conjoint. Mais outre le fait que le divorce pour faute est toujours un recours possible, le juge aux affaires familiales peut prendre toute mesure provisoire afin d’assurer la protection de l’un des époux. Et si l’urgence à la séparation avancée par l’un d’eux est à ce point importante, pourquoi alors maintenir un délai, même de douze mois ?

    Ainsi, la réforme conduit davantage encore à aligner le régime du mariage sur celui du Pacs, ce dernier pouvant être dénoncé unilatéralement, sans préavis. Le mariage perd progressivement le caractère institutionnel qu’il a longtemps porté – bien avant sa consécration par les religions monothéistes – et qui faisait de lui la forme la plus aboutie de la conjugalité. Rien n’interdisait d’espérer qu’au contraire, le législateur le renforçât alors que les Français le plébiscitent. Mais soyons complètement honnêtes, l’évolution de la loi autorise davantage de mariages puisqu’elle facilite les divorces. L’économie de la célébration continue de tourner.

    En réalité, le texte de l’ancienne garde des Sceaux ne fait que suivre un mouvement sociétal profond. Nous sommes passés, dans le champ matrimonial, de la logique de l’engagement sur la durée à celle du projet, limité dans le temps et résiliable. Dans bien des cas, l’exceptionnalité du mariage réside moins dans l’engagement dont il témoigne que dans l’événement (la « fête » ) qui le célèbre. Et c’est maintenant parce que le mariage civil est un projet et non plus une promesse qu’il peut être rompu aussi brutalement.

    […]

    Qu’il soit ainsi permis de s’étonner que le mariage – ce qu’on appelle en droit l’état des personnes – soit à présent moins bien protégé qu’un contrat. La rupture d’un contrat, sans manquement à une quelconque obligation, est très sévèrement réprimée par la jurisprudence. Le mariage y échappe : l’article 266 du code civil, qui prévoit des dommages et intérêts lorsque la dissolution de l’union fait subir à un époux des conséquences d’une particulière gravité, est aussi méconnu que peu appliqué. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Le grand remplacement s’organise

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    disséminer les immigrés,grand remplacement

    Le grand remplacement s’organise

    Ou appelez cela submersion migratoire. Il s’agit de disséminer les immigrés, actuellement concentrés sur quelques régions, sur l’ensemble du territoire français. Chaque région doit accueillir des milliers d’immigrés selon le « Schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés 2021-2023« , élaboré par l’ensemble des acteurs de la politique de l’asile.

    Afin de répondre aux difficultés engendrées par la forte polarisation de la demande d’asile au sein de certains territoires, et à l’instar de ce que certains pays européens ont déjà mis en place, notamment en Allemagne, la loi du 10 septembre 2018 a prévu un mécanisme d’orientation régionale directive des demandeurs d’asile.

    Ce nouveau dispositif, une fois pleinement opérationnel et à dynamique migratoire constante par rapport à 2019, est de nature à assurer un rééquilibrage territorial important de la prise en charge de la demande d’asile en orientant mensuellement environ 2 500 demandeurs d’asile depuis l’Ile-de-France vers les autres régions du territoire. Afin d’en garantir la soutenabilité, ce dispositif sera mis en œuvre de façon progressive, sur plusieurs années, dans l’objectif de rompre avec une gestion de l’urgence et d’améliorer les conditions d’accueil des demandeurs d’asile.

     

    Source : lesalonbeige

  • Un vice-président du tribunal de grande instance de Paris humaniste et pro-migrants mis en examen pour proxénétisme

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2021

    Un magistrat parisien mis en examen pour proxénétisme

    Il est décrit comme un magistrat du siège humaniste, passé par plusieurs grandes juridictions de la région parisienne. On le dit très soucieux des droits de l’homme – et notamment des étrangers – et peu friand de la détention provisoire systématique. Mais aujourd’hui, ce vice-président du tribunal de grande instance de Paris, affecté à la deuxième chambre, est dans le collimateur de ses pairs pour des soupçons infamants et aux antipodes de ses valeurs professionnelles.

    D’après des sources concordantes, ce magistrat d’une quarantaine d’années a été mis en examen mercredi par un juge d’instruction de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour « proxénétisme » et placé sous contrôle judiciaire. Il avait préalablement été entendu en garde à vue depuis lundi par les policiers de l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRETH) dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet de Nanterre en mai dernier.

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Le naufrage de la Ligue des Droits de l’Homme

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2021

    Mazas
     

    04/01/2021 – 19h30 Montpellier (Lengadoc Info) – C’est le titre d’un article de Judith Waintraub publié dans les colonnes de Figaro Vox le 24 décembre 2020 et réservé aux abonnés, portant sur la dérive de cette association centenaire. Des droits de l’Homme reconnus en fonction de la couleur politique des individus font taxer aujourd’hui la LDH d’« islamo-gauchiste ».

    L’antisionisme, un antisémitisme de gauche ?

    Judith Waintraub analyse donc l’évolution relativement récente de la Ligue des Droits de l’Homme qui, à partir des années 90, a commencé à prendre de plus en plus fait et cause pour la religion musulmane. Lorsqu’à cette époque Madeleine Rebérioux prit la présidence de la Ligue, l’association « a alors mis toute son autorité morale au service de mouvements d’extrême gauche dont elle a épousé les combats anticapitalistes, anticolonialistes ou propalestiniens. ». C’est cette tendance lourde qui a gangréné les milieux de gauche auparavant plutôt axés sur la défense des intérêts du peuple juif et de la défense de sa mémoire (lutte contre l’antisémitisme, le révisionnisme…). Il est d’ailleurs très intéressant de constater que ce véritable schisme idéologique a complètement rebattu les cartes du jeu politique français en faisant des anciens alliés à gauche des ennemis jurés, et des ennemis d’hier des alliés objectifs.

    En effet, on a pu alors constater à gauche, que les tenants de la cause palestinienne (et les défenseurs de l’Islam) sont désormais désignés prioritairement comme un danger par une majorité de Juifs de France qui assimilent sémantiquement le nouvel antisionisme à un antisémitisme de gauche. A tel point qu’une résolution de loi a été votée à l’Assemblée afin d’assimiler judiciairement les deux termes.

    A droite, c’est du côté du Front National (et aujourd’hui Rassemblement National) que la défense des Juifs de France contre les attaques des islamistes trouve écho. Le parti fondé par Jean Marie Le Pen était qualifié depuis des décennies tout simplement comme un parti « nazi ». Le slogan favori des milices antifascistes de l’époque était bien « Et F comme Fasciste et N comme Nazi ». Aujourd’hui, l’écrivain Eric Zemmour, qui ne cache pas sa judaïté, est le théoricien des patriotes français et c’est une autre ligue, la Ligue de Défense Juive (fille du Bétar, milice juive anti FN des années 80) qui assure la sécurité de Marine Le Pen lors de certains événements.

    Dérive « islamo-gauchiste » de la LDH

    Judith Waintraub effectue donc une recension des divers moments forts -voire choquants- qui ont poussé la Ligue des Droits de l’Homme sur la pente polémique et mortifère de la défense de l’Islam à l’heure où le terrorisme islamiste menace la paix en France. Mortifère parce qu’en prenant la défense de ces nouveaux damnés de la terre que sont censés représenter les Musulmans ou « considérés comme tels », la Ligue des Droits de l’Homme devient l’allié objectif des terroristes islamistes. Et polémique, puisque pour les mêmes raisons, elle s’attaque aux libertés de ceux qui ont le courage de dénoncer ce terrorisme islamiste et les causes qui en sont à l’origine. Nous assistons donc à la transformation d’une association censée défendre nos droits fondamentaux en un monstre aveugle qui terrorise le citoyen lambda en le détruisant socialement et en le faisant passer pour un criminel voire un fou. La bonne vieille technique des états totalitaires auréolée de bons sentiments…

    Ainsi en est-il de la dénonciation de l’islamophobie, avec tous ses effets pervers. La récente dissolution du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui était un cache sexe pour une association accusée par le gouvernement de propager « avec constance une action de propagande islamiste ». La défense par la Ligue des Droits de l’Homme, de l’ « intellectuel » Tariq Ramadan maniant l’art de la Taqîya avec brio et constance même alors qu’il est accusé de plusieurs viols a fait grincer des dents. Un texte interne destiné à sensibiliser le président Emmanuel Macron aux dangers que ferait courir sa loi contre le séparatisme à la population musulmane a été ajournée à la suite de la décapitation de Samuel Paty. Et tout récemment c’est la plainte « contre une prof d’université menacée de mort sur les réseaux sociaux pour avoir qualifié sur le ton de l’humour l’islam et le judaïsme de « religions sexuellement transmissibles » » qui interpelle Judith Waintraub.

    Et Sophie Mazas dans tout ça ?

    Sophie Mazas est la présidente de la Ligue des Droits de l’Homme pour le département de l’Hérault. Elle est également avocate de profession et accapare les micros et caméras de la Presse locale aussi souvent qu’elle le peut. Elle y tient pratiquement une tribune médiatique permanente, toujours très conciliante. Reconnaissable à son éternelle polaire bleu ciel, elle harangue la foule de ses soutiens, toujours prête à pourfendre le Patriarcat et ses représentants. Il est à croire que nombreux sont les hommes à ne pas avoir droit aux fameux Droits de l’Homme. Sophie Mazas se revendique ouvertement antifasciste et les représentants locaux de cette milice ultra violente dite « antifa » savent qu’ils peuvent bénéficier du soutien de poids de Sophie Mazas et de sa « Ligue de défenseurs des droits » auto proclamée « Justice League » dans les manifs antifas.

    Sophie Mazas utilise l’aura que lui confère son statut de présidente de la LDH ainsi que son statut de femme pour organiser des défilés antifascistes non déclarés comme le 25 mars 2018. Ce jour-là, une soixantaine d’antifascistes parmi lesquels des hooligans de Montpellier et des Black Blocs armés de manche de pioche avaient bloqué le passage d’une manifestation de la Ligue du Midi en hommage au colonel Arnaud Beltrame. C’est Sophie Mazas qui dirigeait le cortège en compagnie de Jules Panetier. Le 17 mai 2019, Sophie Mazas avait tenté de perturber une conférence de presse de la Ligue du Midi en usant pendant près d’une heure de provocations diverses, elle s’est même jetée à terre lorsque des participants ont tenté de l’éloigner.

    Outre la ligue du Midi, c’est notre antenne de réinformation qui est une cible de Sophie Mazas qui, en digne défenseuse des droits de l’Homme revient lors de réunions publiques sur la nécessité de poursuivre juridiquement Lengadoc Info. Une conception de la liberté d’expression qui n’étonnera personne et qui illustre parfaitement ce fameux naufrage dénoncé par Judith Waintraub dans les colonnes du Figaro.

    Photos : Lengadoc Info

     

    Source : lengadoc-info