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  • Cécilia Attias, ex-épouse de Nicolas Sarkozy, aurait été rémunérée par l’Assemblée quand il était ministre

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvbier 2021

    Selon une enquête du Canard Enchaîné, Cécilia Attias aurait touché 3088 euros net par mois entre 2002 et 2003. Elle aurait officié comme assistante parlementaire de la députée Joëlle Ceccaldi-Raynaud, qui remplaçait Nicolas Sarkozy, devenu ministre de l’Intérieur.

    […]

    Interrogée par le journal satirique, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, récemment mise en examen dans l’affaire dite «des lingots d’or», a déclaré : «Vous remontez loin ! Je n’ai rien à vous dire !» Le Canard Enchaîné explique que pour 75,84 heures de travail par mois, Cécilia Sarkozy aurait touché 3088 euros net.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Figaro

  • Le pape François entérine une autre dérive conciliaire : le “ministère” des femmes

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021

    Par le Motu proprio Spiritus Domini, le pape François entérine « canoniquement » une dérive conciliaire : le “ministère” de femmes.

    Il a inscrit officiellement lundi dans le nouveau Code de droit canonique de 1983 certaines fonctions déjà occupées depuis longtemps par des femmes laïques lors de services religieux, bien que l’ordination des femmes ne soit toujours pas à l’ordre du jour.

    A l’automne 2019, lors du synode consacré à l’Amazonie, les évêques de la région avaient préconisé de reconnaître officiellement aux femmes certains « ministères » qu’elles exercent déjà depuis l’ouverture au monde décrété par le concile Vatican II.

    La modification du « droit canon » publiée lundi par le pape, reconnaît désormais aux femmes deux fonctions précises lors de célébrations liturgiques, qu’elles exercent souvent déjà avec l’aval des évêques. Il s’agit de ce que le monde conciliaire appelle le ministère de « la Parole », qui consiste à lire l’Evangile, et le ministère de « l’Acolytat », une assistance à l’autel.

    Le pape actuel n’a pas osé franchir cependant une autre étape de démantèlement de la discipline ecclésiastique : il n’a pas autorisé l’ordination des femmes comme leur accès au diaconat, idée soutenue par un grand nombre d’évêques d’Amazonie, mais aussi par de nombreux prélats progressistes, en Allemagne notamment.

    Il a donc rappelé lundi, dans une lettre d’accompagnement, les paroles du pape polonais Jean-Paul II selon lesquelles « en ce qui concerne les ministères ordonnés, l’Église n’a en aucune façon la faculté de conférer l’ordination sacerdotale à des femmes ». Mais il ne semble pas y être hostile puisqu’en avril dernier, il a néanmoins annoncé la création d’une nouvelle commission d’étude pour réfléchir à la possibilité d’ordonner des femmes diacres. Une précédente commission instituée en 2016 n’avait pas réussi à trancher la question après avoir examiné le rôle des femmes diacres au début du christianisme.

    « Pour les ministères non ordonnés, il est possible, et aujourd’hui cela semble opportun, de surmonter cette réserve », ajoute l’Argentin Jorge Bergoglio, qui pousse pour une plus grande place des laïcs et des femmes au sein des institutions de l’Eglise.

    Le droit canon de 1983, véritable prolongement du concile Vatican II, « traduction en langage juridique » de la nouvelle ecclésiologie conciliaire, avait déjà ouvert les portes aux ministères des « laïcs »  en spécifiant que ces deux mandats pouvaient être confiés à des « laïcs hommes ». Le pape François a tout simplement rayé cette référence aux hommes.

    Il n’y a là aucune révolution bergoglienne comme pourraient le croire tant les afficionados du pape sud-américain que l’aile conservatrice de l’Eglise officielle mais plutôt une continuité logique de la révolution conciliaire.

    Ce fut Paul VI, le pape du Concile, qui, dans la ligne des décrets conciliaires Gaudium et Spes et Lumen gentium, posa la première pierre de cette laïcisation du ministère sacerdotale : le 15 août 1972, il créait pour les hommes, par le Motu proprio Ministeria quaedam ces deux « ministères » laïcs, celui du lectorat et de l’acolytat. Le droit canon de Jean-Paul II les ratifiait en 1983, le pape François, en poursuivant dans cet axe de sécularisation de l’Eglise et de démantèlement des ordres mineurs, les ouvre aux femmes. Et la boucle est bouclée ! Enfin jusqu’à ce que « l’os à ronger » qu’ont obtenu les progressistes ne leur suffise plus et que la question hétérodoxe du sacerdoce des femmes ne hante à nouveau les couloirs du palais apostolique bergoglien, la Maison Sainte-Marthe.

    Toujours davantage, « la nouvelle Église conciliaire, est en rupture profonde avec la tradition et le magistère de l’Église » (Mgr Lefebvre, Lettre ouverte à Jean-Paul II de Mgr Lefebvre et de Mgr de Castro Mayer du 21 novembre 1983).

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Tarn : Certaines routes retrouvent leur limitation à 90 km/h

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021

     
    90 km/h

    Instaurée en juillet 2018, la limitation des routes départementales à 80 km/h va être peu à peu révisée dans le Tarn.

    Jeudi 7 janvier, le président du Conseil départemental du Tarn, Christophe Ramond, a annoncé lors de ses vœux à la presse que le département allait progressivement enclencher un retour à la limite de 90 km/h. Cette volonté était affichée depuis quelque temps déjà par le président, qui devait cependant faire face à certaines contestations.

    Des conditions strictes

    La loi d’orientation des mobilités (LOM) du 24 décembre 2019, prévoit en effet, en son article 34, la possibilité pour les départements ou les maires de relever la limite de vitesse de 10km/h, à certaines conditions. Une circulaire complète le dispositif, précisant les conditions dans lesquelles le passage à 90 km/h peut être effectué.

    Lire aussi : Toulouse : la politique de transports attaqué devant la justice

    La Commission départementale de la sécurité routière (CDSR) doit être consultée pour tout changement dans la règlementation sur la vitesse. La circulaire précise que les tronçons de route concernés par un éventuel changement dans la limitation doivent faire minimum 10 kilomètres. Les membres de la CSDR devront également donner un avis défavorable si le tronçon comprend des arrêts de transports en commun, si des riverains circulent aux abords de la route, ou si des véhicules agricoles peuvent être présents. Le changement pour 90 km/h sera interdit également si la route est traversée par des pistes cyclables ou des chemins de grande randonnée.

    Des conditions très difficiles, qui rendaient a priori impossible l’application de la dérogation aux routes du Tarn. Le Conseil départemental a cependant adopté la mesure pour trois routes départementales, rejoignant la grosse trentaine de départements ayant choisi de s’opposer au pouvoir central sur le sujet.

    Pas de changement en Haute-Garonne

    Son homologue de la Haute-Garonne, Georges Méric, s’est quant à lui positionné contre l’abandon de l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h. Lors de la cérémonie de présentation des voeux, mardi 12 janvier, il a rappelé que la décision prise en 2018 par le Premier ministre de l’époque, Edouard Philippe, avait été actée « sans aucune consultation des élus locaux et avait suscité une bronca chez les habitants des secteurs périurbains et ruraux ». Cette mesure a été, entre autre, à l’origine de la révolte des Gilets jaunes.  

    Lire aussi : Les routes secondaires de Haute-Garonne « pourraient revenir à 90km/h »

    L’étude des services techniques du Département a révélé que seul « 6% du réseau routier départemental pourrait potentiellement faire l’objet d’un rehaussement de la vitesse limitée autorisée », selon les critères fixés par le gouvernement. « Le fait de relever la vitesse maximale sur ces sections n’aurait donc que très peu d’effet sur les déplacements des Hauts-Garonnaises et des Hauts-Garonnais et leurs temps de parcours », conclut le président du Département.

     

    Source : infos-toulouse

  • Laval (38) : une très ancienne statue de la Vierge exclue de l’ecole suite à un rassemblement en la mémoire de Samuel Paty

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2021

    Pourtant installée là bien avant l’ouverture de l’école, dans les années 1990, sa présence discrète est régulièrement mise en question. La statue fut érigée par l’ancienne propriétaire des lieux, lorsque l’école n’était qu’une simple ferme. […]

    « C’est lors d’un rassemblement en la mémoire de Samuel Paty que la nouvelle directrice de l’école s’est rendue compte que l’emplacement de la sculpture religieuse ne respectait pas le principe de laïcité », raconte Mireille Stissi, l’édile du village. « Il a donc été décidé, fin décembre, que nous la ferions pivoter encore un peu, afin qu’elle tourne le dos à la cour. Et pour la mettre hors du périmètre de l’école, nous avons subtilement décalé la clôture derrière la statue. » La Vierge ne verra alors plus les enfants jouer, seulement les voitures défiler.

    Le Parisien via fdesouche

  • Rire ou sourire un peu... : désolés, on a osé !

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2021

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    Source : lafautearousseau