Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2021
Source : synthesenationale
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Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2021
Source : synthesenationale
Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021
Stéphane Ravacley, boulanger de Besançon, en grève de la faim depuis le 3 janvier, se bat contre l’expulsion de son apprenti guinéen. Le 12 janvier, il a été “pris en charge peu avant 09H00 par les sapeurs-pompiers qui l’ont conduit au CHU de Besançon“, a confirmé la préfecture du Doubs. Contacté en milieu d’après-midi par France 3, Stéphane Ravacley affirme être sorti des urgences vers 15 heures. Il rentre chez lui et va se reposer. “”Je suis très fatigué, mais ça va” dit-il, mais il veut continuer sa grève de la faim. “Non, je continue. C’est un combat”, dit-il.
(…) Raphaël Glucksmann, Omar Sy, Leïla Slimani, Nicolas Hulot, Edgar Morin, Laurent Berger, Marion Cotillard et plusieurs maires EELV et PS ont appelé lundi 11 janvier, le Président de la République à “aider le boulanger de Besançon en grève de la faim !”, dans une tribune signée dans le Nouvel Observateur.
Un boulanger de Besançon a entamé dimanche une grève de la faim pour garder son apprenti guinéen, jeune majeur visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et menacé d’expulsion.
(…)
“J’ai 50 ans, j’ai fait trois embolies pulmonaires en trois ans, mon médecin me dit que je suis fragile, mais je m’en fous, je sais que j’ai raison”, a expliqué mardi Stéphane Ravacley, déterminé à tout faire pour que son apprenti, Laye Fodé Traore, continue à travailler avec lui.
(…) Stéphane Ravacley dénonce “la politique à court terme” du gouvernement : “ces gamins, on les accueille, les habille, les nourrit, on les forme jusqu’à leur majorité et à 18 ans, plus rien. Ils se retrouvent à la rue, aux mains des passeurs”. Il entend ainsi soutenir “cette nouvelle génération de migrants qui arrive et peuple les boulangerie et les restaurants”.
Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021
Le maire, Pierre Hurmic, est opposé à l’équipement en armes létales des policiers municipaux. Du côté des intéressés, cette position n’est pas partagée
Depuis son élection comme maire de Bordeaux, et même pendant la campagne, Pierre Hurmic a toujours été clair sur le sujet : il est opposé à l’équipement en armes létales des policiers municipaux. « J’y suis hostile. Pour assurer la tranquillité publique, la police municipale n’a pas besoin d’être armée. Certains disent que c’est un obstacle au recrutement de policiers municipaux, je n’en suis pas persuadé. D’ailleurs, ils ne sont pas démunis à Bordeaux, ils sont équipés de Taser », indiquait-il l’été dernier, lors d’une conférence de presse, après une série d’agressions à l’arme blanche dans le centre-ville.
(…) Mais qu’en pensent les policiers municipaux bordelais ? Partagent-ils cette position ? « A une écrasante majorité, non, assure Christian (1), en activité depuis plus de dix ans. Près de 90 % des agents souhaitent être armés. Les 10–15 % restant sont ceux qui arrivent en fin de carrière. » Représentant syndical CGT et policier municipal, Jérôme Désorthe confirme. « L’armement est de plus en plus attendu par les agents. La police municipale d’aujourd’hui n’est plus celle d’il y a quinze ans. Nos missions ont évolué. Nous sommes tout le temps sur le terrain. Souvent, nous sommes les premiers intervenants. »
Mais pourquoi vouloir des armes qui peuvent tuer ? « Pas pour tuer, mais pour notre protection et celle des Bordelais », avance Christian. « Depuis deux ans, on vit une hausse de la violence et un durcissement de la délinquance. Sur la voie publique, on est exposé de la même manière que des policiers nationaux. On intervient sur des agressions, du deal, des infractions au Code de la route. On tombe régulièrement sur des personnes très agressives, alcoolisées, armées de couteaux. Une arme serait une mesure de sécurité », pense-t-il. Actuellement, les policiers municipaux bordelais sont équipés de gilets pare-balle, matraques, gazeuses lacrymogènes et Tasers.
Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021
Le compagnon de Fadela Benrabia, la préfète d’Eure-et-Loir sur le départ, a été interpellé, en novembre, après un accident de la circulation et une course-poursuite avec la police, dans les Hauts-de-Seine. Ce policier circulait au volant d’une voiture de la préfecture d’Eure-et-Loir.
Un policier de la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure), un service de renseignements, basé dans les Hauts-de-Seine, a été interpellé par d’autres policiers, jeudi 17 novembre, après un accident de la circulation survenu dans les Hauts-de-Seine, suivi d’une course-poursuite avec les forces de l’ordre, selon des sources concordantes.
Ce policier circulait au volant d’un véhicule appartenant à la préfecture d’Eure-et-Loir. Il se trouve être le compagnon de l’actuelle préfète d’Eure-et-Loir sur le départ, Fadela Benrabia.
(…) Il est également poursuivi « pour conduite en ayant fait l’usage de stupéfiants, mise en danger par violation manifestement délibérée, et défaut de maîtrise », a précisé, ce mardi, le parquet de Nanterre.
Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021
A Bruxelles, les Belges ne sont plus qu’une petite minorité.
Politiquement correcte, on l’appelle “diversité”, mais moins correctement, on l’appelle “colonisation”. A Bruxelles-Ville, où les chiffres du coronavirus montent en flèche, près de 80% de la population a une origine étrangère.
C’est la première fois que Statbel, l’agence belge des statistiques, cartographie ainsi l’origine de la population belge. Le recensement a été fait non seulement en comptant les nationalités actuelles, mais aussi celles des parents. Si la première nationalité – avec laquelle vous ou au moins un de vos parents avez été inscrit au registre national – n’était pas belge, vous n’étiez pas considéré comme “Belge belge”.
Il y a dix ans, 74,9 % des habitants de toute la Belgique étaient encore des “Belges belges”. Aujourd’hui, c’est 67,9 %. (…)
Traduction de l’article Pmagazine.be
Au 1er janvier 2020, la population du royaume se composait à 67,9% de Belges d’origine belge, à 19,7% de Belges d’origine étrangère (c’est-à-dire les Belges ayant un ou deux parents de nationalité étrangère ou les Belges dont la première nationalité enregistrée est étrangère) et donc à 12,4% de non-Belges. Cela représente respectivement 7.806.078, 2.259.912 et 1.426.651 habitants.
La diversité d’origine au sein de la population vivant en Belgique est en augmentation car il y a 10 ans, en 2010, la part de Belges d’origine belge était de 74,3%, celle des Belges d’origine étrangère de 15,5% et celle des non-Belges de 10,2%.
(…) La part de Belges d’origine belge augmente par ailleurs avec l’âge. En Belgique, elle atteint 54,3% chez les 0-17 ans, 66,3% chez les 18-64 ans et 87,3% chez les plus de 65 ans.