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  • Blanc, seul et très malade

    Publié par Guy Jovelin le 27 février 2021

    synthesenationale

    blanc,noirs,publicités

    Alain Sanders

    Nous avons déjà eu l’occasion, à différentes reprises, de relever ces désormais innombrables publicités (tant à la télé que dans les journaux et les magazines) qui mettent systématiquement en scène un homme noir et une femme blanche (généralement blondasse). Et jamais, sinon très rarement, le contraire. On ne fera croire à personne, et pas à moi en tous les cas, qu’il ne s’agit pas d’une démarche idéologiquement délibérée.

    Est-ce à dire que tous les publicitaires sont idéologiquement vérolés et des fourriers du Grand Remplacement ? Ce serait donner beaucoup de crédit à leurs facultés intellectuelles... Reste qu’ils se couchent avec zèle et empressement devant la doxa racialiste. « Les capitalistes finiront par nous vendre la corde pour les pendre », disait Lénine.

    Cette propagande racialiste, qui touche aussi les annonces gouvernementales (télé et presse papier là encore), a fini par tout envahir. Un exemple récent qui pourrait paraître anecdotique s’il n’était, tout au contraire, symptomatique de l’effacement progressif – à la sournoise naguère, aujourd’hui totalement assumé – des Blancs (mais pas des Blanches...).

    En page « économie » du Parisien donc, un article intitulé : « Gare au poids de l’assurance dans votre endettement ». De quoi s’inquiéter, si j’ai bien compris, mais là n’est pas le sujet. Ce qui l’est, en revanche, c’est que ledit article est illustré, histoire de nous informer mieux, par un dessin parlant (comme on disait jadis). Il représente un couple d’un côté, et un célibataire de l’autre. Le couple ? Classique : un Noir et une Blanche. « En bonne santé », précise-t-on. Le célibataire ? Un Blanc. Pas en bonne santé, lui : « Diabète type 2 et surpoids ». Blanc, seul et très malade, n’en jetez plus la cour est pleine...

    Vous pensez que c’est par hasard que l’infographiste et Le Parisien ont fait un tel choix plutôt que l’inverse : deux Blancs en bonne santé et un célibataire noir subclaquant ? T’as qu’à croire...

    Il y a déjà quelques années, en 2011, nous avions été quasiment les seuls à dire la nocivité du film Intouchables alors que la France entière lui faisait un triomphe. Derrière les bons sentiments et les scènes lacrymales, on montrait quoi ? Un vieux Blanc acariâtre, tétraplégique, cloué dans un fauteuil roulant, un peu « vieille France » sur les bords, désuet, compassé, encombré d’une famille convenue et convenable. Et qui pour le tirer de là ? Un lascar des quartiers ethniques, un jeune Noir (l’imbuvable Omar Sy) qui sort de prison, pétant de santé, créatif, taquin et virevoltant. On était au-delà du cliché et de plain-pied dans une fable dont la leçon n’échappera qu’à ceux qui ne veulent pas voir : une France en fin de vie, réoxygénée par un Sénégalais un peu filou, mais tellement sympathique (comme le diraient ces boulangères et autres nonos qui font la grève de la faim pour qu’on leur laisse leurs migrants épatants...)

    La semaine dernière, sous le titre : « La chasse aux Blancs est ouverte », nous donnions quelques exemples de cette curée déclenchée par Hollywood, Netflix, les BLM, les GAFAM, leur armée d’esclaves leucodermo-masochistes, etc. Eh bien voilà une nouvelle salve épuratrice avec le film de Brenda Chapman, Come Away, proposé par Amazon Prime Vidéo.

    Soit donc un couple dans les années 1860 aux Etats-Unis. Un Noir (David Oyelowo), bien sûr, et une Blanche (Angelina Jolie), évidemment... Ils ont trois enfants : David, Peter, Alice. David meurt. Peter se console avec le Pays imaginaire. Alice passe de l’autre côté du miroir. On est là dans le détournement pervers (car pourquoi racialiser ces deux contes sinon ?) de deux histoires emblématiques de la civilisation occidentale en général, et britannique en particulier. Les chefs d’œuvre de J. M. Barrie (Peter Pan) et de Lewis Caroll (Alice au pays des merveilles), un écrivain écossais et un écrivain anglais. Deux Blancs. Dont les héros, Peter et Alice, sont des Blancs. Transformés, par une manip raciale incongrue, en petits mulâtres balancés dans une histoire qui n’est pas, qui n’est plus, la leur...

    Ce Come Away (par ailleurs nullissime et sirupeux) a provoqué cette réflexion d’un internaute qui a tout compris : « Bientôt on aura Blanche-Neige en noire et les Schtroumpfs en je ne sais quelle couleur sauf bleue. »

    Source : Présent 25/02/2021

  • le "pass"

    Publié par Guy Jovelin le 27 février 2021

    Vaccinal ou sanitaire, le "pass" auquel vient de se rallier Macron sous la pression de l'UE et des futurs tchékistes de la République orwellienne est un outil de fichage soviétoïde qui, une fois mis en place, ne disparaîtra pas avec la fin du COVID. Il fait partie du "monde d'après"... Après la fin de nos libertés, il est vrai déjà bien relatives dans cette démocratie totalitaire, post-nationale, progressiste, globaliste et égalitariste.
    JFT.
    Peut être une image de une personne ou plus
     
     
     
     
  • Elle a enseigné à l’Université Paris Est Créteil : Fatima Khemilat animera une conférence interdite aux femmes blanches

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    Qui est l’intervenante ?

    Fatima Khemilat est Doctorante en Sciences Politiques et a enseigné à l’Université Paris Est Créteil.

    Elle  mène des travaux de recherches sur le rapport entre le culte musulman  et les institutions publiques françaises. Ses travaux ont donné lieu à  de nombreuses publications et communications la plaçant aujourd’hui  comme l’une des spécialistes de l’Islam en France.

    Sociologue et  chercheuse, Fatima travaille également sur les questions de genre, de  race et de sexualité. Elle se sert de son parcours pluridisciplinaire  pour apporter un éclairage décolonial et intersectionnel aux questions  liées au développement personnel et à la sexualité des femmes racisées.

    Evénement limité à 15 Personnes, exclusivement réservé aux femmes racisées.

    TantQueJeSeraiNoir via fdesouche

  • «Ça hurle toute la nuit» : des riverains du nord-est parisien excédés par le non-respect du couvre-feu

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    Entre la Chapelle et Stalingrad, des dizaines de vendeurs à la sauvette et de toxicomanes squattent l’espace public chaque soir. Au grand dam des habitants.

    Station de métro La Chapelle, au nord-est de Paris, dans le 18e arrondissement. Il est plus de 18h30, mardi 23 février, et les rues ne désemplissent pas. Des vendeurs de cigarettes sont postés à la sortie de la station et devant le square Louise-de-Marillac. Un peu plus loin, des jeunes hommes errent en petits groupes mobiles, aux aguets. Ils s’apostrophent, en langue étrangère, et semblent s’échanger discrètement de la marchandise.

    Sur la place de la Chapelle, quatre policiers regagnent leur véhicule stationné sur la chaussée. Les agents semblent bien seuls face aux dizaines de vendeurs à la sauvette qui grouillent tout autour d’eux. Dans la rue Marx Dormoy, des individus proposent des baskets, des lunettes ou encore des montres sur des stands de fortune. Les véhicules de police qui passent à intervalles réguliers, sans s’arrêter, ne semblent pas les effrayer. […]

    Le Figarovia fdesouche

  • Jacques Attali demande une allocation de 1.200 euros pour les étudiants

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    L’économiste et haut fonctionnaire Jacques Attali est l’invité jeudi de “Ça fait du bien”, pour son livre “Histoires des médias. Des signaux de fumée aux réseaux sociaux, et après”. Interrogé sur la situation liée au Covid-19, il demande à ce qu’une allocation soit versée “immédiatement” aux étudiants, et qu’elle perdure après la fin de la crise sanitaire.

    S’il y avait une priorité pour moi, c’est de donner une allocation aux étudiants. Parce que c’est un scandale que de ne pas les aider à continuer leurs études“, explique ainsi Jacques Attali. Et il prend exemple, dans cette demande, sur d’autres pays d’Europe. “Je suis pour que l’on fasse comme les Danois et les Norvégiens, qui donnent aux étudiants l’équivalent de 1200 euros tout compris, en tenant compte de tout le reste.

    Cette allocation n’est pas, selon Jacques Attali, une forme de revenu universel. “Je suis contre ce principe, parce que le revenu universel, c’est ce qui est donné sans contrepartie” distingue-t-il. “Or, là, il y a une contrepartie : c’est le travail. Étudier est un travail, c’est une vraie profession.”

    Europe 1via fdesouche