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  • Pourquoi le cabinet McKinsey et d’autres sociétés privées ont-ils pu s’emparer de tous les rouages de la campagne de vaccination en France ?

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    Les liens étranges entre le cabinet McKinsey et Emmanuel Macron ont déjà fait l’objet de bien des articles, y compris même parmi la presse subsidiée.

    Au fil des semaines, on s’aperçoit que c’est ce cabinet privé de consultants et quelques concurrents  qui préparent tous les dossiers chauds du gouvernement.

    Ainsi, sur le dossier sensible de la vaccination, un émissaire du cabinet McKinsey anime les réunions au plus haut niveau, aux côtés du ministre Olivier Véran.

    Depuis le mois de mars 2020, sept cabinets de consultants se sont partagés 28 contrats avec le ministère de la Santé.

    A titre d’exemple, le 8 décembre 2020, le ministère de la Santé a signé avec le cabinet McKinsey un contrat de 3,2 millions d’euros pour la “conduite stratégique de la vaccination”.

    Ce ministère de la Santé serait-il à ce point une coquille vide qu’il faille payer cher des cabinets privés pour gérer les moindres des aspects de sa politique ? Le cabinet Citwell a, par exemple, fourni 5 équivalents temps plein “pour la gestion des stocks, la planification et l’envoi des vaccins”.

    Cette mainmise de cabinets internationaux de consultants sur la politique gouvernementale devrait susciter une attention bien plus importante pour permettre d’en comprendre toutes les implications et les conséquences.

     

    Source : medias-presse.info

  • Pape François : pas de tolérance pour les fonctionnaires du Vatican non-vaccinés

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    Au Vatican, pour les sceptiques ou réfractaires à la vaccination anti-covid, il n’y a pas de tolérance, ni d’empathie, ni de portes ouvertes, au contraire c’est devant des portes fermées que les fonctionnaires non-vaccinés risquent de se retrouver.

    Le Vatican bergoglien a choisi d’être rigide avec les employés qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le covid. La vaccination est volontaire, mais… car il y a un “mais” qui rend cette vaccination volontaire une obligation. Un décret du président de la Commission pontificale de l’État de la Cité du Vatican, le cardinal Giuseppe Bertello, prévoit que les employés qui ne peuvent recevoir le vaccin pour raisons de santé (vaccin que le Vatican a mis à disposition) peuvent être rétrogradés ou devront démissionner, avec le maintien du salaire. Et pour ceux qui se refusent de recevoir l’injection “sans raison de santé avérée”, il y a “des conséquences à des degrés divers qui peuvent aller jusqu’à la rupture de la relation de travail”.

    Le décret sur la sécurité sanitaire au Vatican, qui parle des vaccins et rappelle la règle (datant de 2011 et concernant les bilans de santé) sur “la responsabilité et les conséquences” pour les travailleurs qui ne peuvent ou ne veulent pas se faire vacciner, “doit être considéré comme un outil qui n’a en aucun cas un caractère sanctionnant ou punitif” mais il est “plutôt destiné à permettre une réponse souple et proportionnée à l’équilibre entre la protection de la santé de la communauté et la liberté de choix individuel sans mettre en place aucune forme de répression contre le travailleur”.

    Cela a été déclaré dans une note du gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican. Le décret sur les urgences sanitaires a été publié “pour donner une réponse réglementaire urgente au besoin primordial de sauvegarder et de garantir la santé et le bien-être des travailleurs, des citoyens et des habitants de l’Etat de la Cité du Vatican. La prémisse, explique le Saint-Siège, est donc celle de la protection individuelle du travailleur et de la protection collective du milieu de travail en cas d’événement qui pourrait être configuré comme une urgence de santé publique.”

    Pour le Vatican, “apporter une réponse sanitaire, prendre les mesures immédiatement nécessaires pour répondre à la pandémie, tout en ayant ses effets à long terme à l’esprit, est important pour la guérison globale et régénératrice”. Par conséquent, “se faire vacciner est considéré comme la prise d’une décision responsable , étant donné que le refus du vaccin peut également présenter un risque pour autrui et qu’un tel refus pourrait sérieusement augmenter les risques pour la santé publique”. Pour le Saint-Siège, “l’urgence sanitaire doit être abordée pour assurer la santé et le bien-être de la communauté des travailleurs, respecter la dignité, les droits et les libertés fondamentales de chacun de ses membres. Les mesures doivent être adoptées selon le principe de nécessité, compte tenu du risque réel pour la santé publique et suivant les critères de rapidité, d’adéquation et de proportionnalité”.

    La réglementation concerne “toutes les mesures appropriées visant à prévenir, maîtriser et contraster les situations exceptionnelles d’urgence de santé publique et tous les instruments pour une réponse adéquate et proportionnée au risque sanitaire sont largement indiqués. Parmi ces mesures, sur recommandation de l’autorité sanitaire de l’État, le recours à la vaccination peut être jugé nécessaire dans certains contextes : dans les activités professionnelles liées à la fonction publique, dans les relations avec des tiers ou à risque pour la sécurité de la communauté de travail”. 

    Selon le décret, “l’adhésion volontaire à un programme de vaccination doit donc prendre en compte le risque que tout refus de l’intéressé puisse constituer un danger pour lui-même, pour autrui et pour l’environnement de travail. Pour cette raison, la protection de la communauté peut prévoir, pour ceux qui refusent la vaccination en l’absence de raisons de santé, l’adoption de mesures qui d’une part minimisent le danger en question et d’autre part permettent de trouver des solutions alternatives pour que l’intéressé puisse exécuter son travail.”

    Dans cette Rome progressiste, où il est de bon ton de courtiser qui nie Dieu, qui conteste la divinité du Christ, où il est louable d’être bienveillant avec qui apostasie sa religion catholique, ou la morale divine naturelle, de filtrer avec les athées, les bouddhistes, les idolâtres divers et variés, d’écrire des documents confraternels avec des musulmans ou autres sectateurs, de prêcher les ponts et les portes ouvertes, tout y est quasi permis au nom de la “liberté chérie”, enfin presque… une chose n’est pas tolérée, mais vraiment pas du tout, s’abstenir de se faire vacciner contre le covid.

    On vit décidemment une époque renversante !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La CGT en crise

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    cgt,criseLa CGT en crise

    Deux articles nous indiquent que la CGT est au plus mal. A quand l’euthanasie de la centrale marxiste ?

    La Lettre A :

    Virginie Gensel-Imbrecht, membre du bureau confédéral de la CGT, a annoncé sa démission dans une lettre datée du 23 février. La syndicaliste, chargée de la com’ et la presse, y dénonce les méthodes de Philippe Martinez et les conflits à répétition avec la direction du syndicat.

    Le Canard :

     
    Source : lesalonbeige
  • La France bat son triste record de déficit commercial en 2020…

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    « Les chiffres de déficit commercial de la France sont tombés, et ils ne sont guère flatteurs pour notre pays : en 2020, le déficit commercial récurrent de la France s’est encore creusé, à près de 84 milliards, record battu après les 70 milliards de l’année 2019… Nos exportations reculent encore, nos importations se maintiennent, tous les indicateurs sont dans le rouge.

    Ce chiffre traduit à lui seul la décadence totale de notre compétitivité, la disparition accélérée de nos industries. La faute à l’euro ? La faute à la crise sanitaire ? Ces deux facteurs participent sans doute à ce fiasco. Mais ils sont loin d’être les seuls.
    Pour preuve, l’Allemagne continue, elle, d’afficher un excédent de 183 milliards, certes en baisse, mais toujours plantureux. Ses exportations représentent près du triple des nôtres, on ne peut désormais plus se comparer à une Allemagne qui nous a complètement distancés en termes d’industrie.

    Et que dire d’une Italie surendettée que l’on annonce moribonde mais qui affiche un excédent de 64 milliards d’euros, en progression par rapport à l’année précédente ? Si la péninsule est plombée par sa dette, gère mal ses finances publiques, elle est parvenue malgré tout à conserver un tissu industriel compétitif, et ce, malgré un euro qui la pénalise autant que nous.

    L’Espagne est en déficit, certes, mais de 15 milliards – son problème n’est pas du même ordre. Un pays doit attirer notre attention : les Pays-Bas enregistrent un nouvel excédent, 65 milliards, soit l’équivalent de l’Italie avec trois fois moins d’habitants. Ses exportations sont largement supérieures aux nôtres : les Pays-Bas sont un dragon commercial agricole et industriel au cœur de la zone euro, preuve que cela est possible.

    La France paie, à travers ce déficit commercial, quarante ans d’erreurs stratégiques majeures : pays socialiste, qui distribue allègrement aides sociales et postes de fonctionnaires en veux-tu en voilà et n’hésite pas à creuser les déficits et la dette pour cela, elle plombe sa compétitivité à cause des impôts et charges que cela occasionne. Mais l’argent distribué aux ménages est aussitôt consommé en produits étrangers, et repart aussi sec dans les caisses de nos concurrents : nos impôts coulent nos entreprises, ils servent aussi à financer les industries allemandes, chinoises, japonaises, hollandaises ou italiennes… La démagogie socialiste de nos gouvernements successifs nous coûte, cette année, 84 milliards d’euros : si nous avions gardé le franc, nous subirions une terrible dévaluation, et une inflation à deux chiffres qui ruinerait la population. L’euro nous évite cela, grâce aux excédents allemands, italiens ou hollandais, mais il nous empêche de mesurer l’ampleur de notre déclin, de réagir à la situation. Laxisme, démagogie, socialisme peuvent ainsi continuer à détruire notre moteur productif, personne ne s’en rend compte tant que l’euro se maintient et que l’on peut s’endetter pour soutenir le train de vie des Français.

    Il serait temps de réagir, avant qu’il ne soit trop tard, et que nous ne devenions définitivement le mezzogiorno d’une Allemagne qui ne sera guère généreuse dans le futur… »

    Source BVoltaire

  • Auchan entre en guerre contre l’argent liquide

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    Plusieurs grands acteurs (politiques, bancaires, commerciaux) veulent voir disparaître l’argent liquide. Or, celui-ci est un gage de liberté et de protection de la vie privée des citoyens.

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