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crise

  • L'éolien en mer est en pleine crise

    Publié par Guy de Laferrière le 04 octobre 2023

    lafautearousseau

    Bonne nouvelle ! L'éolien en mer est en pleine crise, les projets actuels iront ils jusqu'à leur aboutissement ? C'est sur BFM/TV : PROJETS SUSPENDUS, APPELS D'OFFRE SANS CANDIDATS: L'ÉNERGIE ÉOLIENNE EN PLEINE CRISE... :

    https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/energie/projets-suspendus-appels-d-offre-sans-candidats-l-energie-eolienne-en-pleine-crise_AD-202309260134.html

     

  • Crise en Grande-Bretagne: des gens « mangent des aliments pour animaux ou chauffent leurs repas à la bougie »

    Publié par Guy de Laferrière le 05 décembre 2022

    lesobservateurs

    Le responsable d'une soupe populaire se dit choqué par certaines situations qu'il rencontre à l'heure où des familles sont confrontées à des factures de nourriture et d'énergie en constante augmentation.

    1.12.2022

    À cause de la crise du coût de la vie, des gens mangent des aliments pour animaux et essaient de chauffer leurs repas à la bougie, a dit le responsable d'une soupe populaire.

    L'inflation au Royaume-Uni a atteint son plus haut niveau depuis 41 ans, le coût des denrées alimentaires et des boissons non alcoolisées ayant augmenté de 16,4 % au cours de cette année jusqu'en octobre, ce qui constitue la plus forte hausse depuis 1977.

    En plus de la flambée des factures d'énergie, les ménages sont contraints à des choix difficiles entre se chauffer et manger - et certains auraient même eu recours à des mesures plus extrêmes:

    "Je suis toujours choqué par le fait que nous avons des gens qui mangent de la nourriture pour animaux, des gens qui essaient de chauffer leur nourriture sur une bougie ou un radiateur", a déclaré à la BBC Mark Steed, qui dirige le Pantry dans le quartier de Stowbridge à Cardiff.

    "C'est choquant mais c'est la vérité, nous le savons par des personnes de confiance qui ont fini par nous en parler en larmes. Cela ne devrait pas exister."

    Les prix ont augmenté à leur rythme le plus rapide depuis quatre décennies, tandis que les salaires au Royaume-Uni devraient continuer à stagner, ce qui représente une perte de pouvoir d'achat de 6,2 % au cours des deux prochaines années, selon le Trades Union Congress (TUC), ce qui représente la contraction la plus forte de tous les pays du G7.

    De plus en plus d'employés du secteur public, dont l'enseignement et la santé, sont contraints de recourir aux banques alimentaires à mesure que la crise s'aggrave, et des grèves massives ont lieu parmi les enseignants, les soignants et les cheminots pour réclamer de meilleurs salaires.

    Des dizaines de milliers d'enseignants d'Angleterre et du Pays de Galles votent pour la première fois en dix ans sur l'opportunité de se mettre en grève, et un nombre important d'enseignants du primaire exerceraient un second emploi - par exemple dans un café et dans une ferme, dans une même école - juste pour pouvoir s'offrir l'essentiel.

    Même le personnel universitaire a organisé ce qui a été présenté comme la plus grande grève de son histoire ce mois-ci, et les infirmières s'apprêtent également à organiser leur toute première grève à l'échelle du Royaume-Uni dans les semaines à venir, rejoignant les travailleurs des transports et des postes.

    S'adressant à la BBC, M. Seed - un travailleur communautaire de 20 ans d'expérience - a déclaré : "Cardiff est une ville prospère, mais il y a des poches de pauvreté qui sont tout simplement inacceptables.

    Les gens ne sont pas payés suffisamment pour se permettre les choses essentielles, souligne-t-il, car la crise fait grimper les prix de manière vertigineuse "de sorte que tout le monde est serré ou n'a tout simplement plus les moyens."

    "Ce qu'ils nous disent, c'est qu'ils travaillent chaque heure qu'ils peuvent."

    Source et liens: The Independent

    Traduction: Cenator

  • Croire que l’obligation vaccinale va nous sortir de la crise est un leurre

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2021

    synthesenationale

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    Yves Coppietters *

    Avant d’instaurer une obligation vaccinale, il convient de se poser plusieurs questions éthiques et pratiques. La proportionnalité de la mesure, son bien-fondé, la transparence des décisions et l’équilibre entre deux grands principes : l’autonomie individuelle versus la protection collective... Une obligation vaccinale serait- elle proportionnelle à la situation ? Elle le serait si elle garantissait une efficacité en termes de meilleur contrôle de la pandémie ou de sortie de crise. Or, je ne suis pas sûr de ce bien-fondé.

    Car quel serait l’objectif, le bénéfice, d’une vaccination obligatoire ? Protéger les non-vaccinés des formes graves pour désengorger les soins intensifs ? L’argument n’est qu’à moitié convaincant, les personnes les plus à risque de forme grave étant déjà largement vaccinées. Est-ce alors d’empêcher de retomber malade ? L’obligation ne changerait rien, le vaccin n’empêchant pas la récidive. Enin, troisième objectif, donner un coup de frein à la circulation du virus ? Là, à nouveau, on voit que même avec une population largement vaccinée, cette circulation ne diminue pas, si l’on se fie au taux d’incidence actuel. En fait, le vaccin sert essentiellement à protéger des formes graves. Il n’est pleinement efficace que sur cette composante-là. Croire que l’obligation vaccinale va nous sortir de la crise serait donc un leurre. Ou du moins ne serait pas honnête scientiiquement.

    Dès lors, le vaccin obligatoire deviendrait un choix plus politique que scientiique. Mais en santé publique, il faut un minimum d’adhésion de la population. Et ce que je crains, non en tant que scientifique, mais en tant que citoyen, c’est qu’une telle décision n’accentue les clivages. Instaurer une obligation va rajouter une couche de mécontentement, de frustration, chez une partie de la population déjà méfiante. Ce qu’il faudrait plutôt, c’est essayer d’aller chercher une partie – les plus extrêmes étant impossibles à convaincre – des 6 millions de Français pas encore vaccinés. Sinon, la frustration créée par l’obligation risque d’amener à une sorte de radicalisation et d’entraîner un relâchement de tout (les gestes barrières, le port du masque...). Et là ce serait une catastrophe, car le vaccin n’est qu’un des garde-fous de l’épidémie.

    Et pratiquement, comment appliquer une obligation à l’ensemble d’une population ? Comment irait- on chercher les récalcitrants ? Comment les sanctionner ? S’il fallait vraiment une vaccination obligatoire, pourquoi ne pas imaginer qu’elle ne concerne que les personnes fragiles, les + de 65 ans n’ayant pas encore reçu d’injection, par exemple, ou celles avec comorbidité ? Mais si une vaccination « sectorielle » est plus facile à maîtriser, elle crée, néanmoins, de la discrimination.

    Recueilli par Alice Le Dréau

    (*) Médecin épidémiologiste, professeur de santé publique

    Source : La Croix 6/12/2021

  • On achève bien… la classe moyenne !

    Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2021

    On achève bien les chevaux est le titre d’un roman écrit pendant la Grande Dépression, qui décrit ces classes moyennes ruinées, obligées de se donner en spectacle dans d’exténuants « marathons de danse » pour tenter de survivre. En 2021, c’est la classe moyenne française qui est au bord de la rupture.

    classe moyenne persécutée,criseQue l’on voie un complot ou pas derrière tout cela, force est de constater que tout converge pour démolir les classes moyennes, en particulier actives et indépendantes.

    C’est le cas des restaurateurs, mais aussi des commerçants et artisans soumis à un suspense continuel pour savoir si le gouvernement va daigner les autoriser à travailler. Pendant ce temps-là, n’en doutez pas, certains commerces, eux, prospèrent : les points de deal restent ouverts, sans avoir à demander de dérogation, et bénéficient toujours de leur régime fiscal préférentiel… Mais peut-être qu’en 2021, la dope est devenue « essentielle », même aux yeux des autorités ?

    La question va d’ailleurs bien au-delà de cela. Ce sont les valeurs de la classe moyenne – travail, indépendance, effort, créativité – qui, au travers des événements actuels, sont profondément atteintes. Plus que d’ordinaire, puisque en réalité, cela fait vingt ans au moins que cela dure. Pendant que ceux qui travaillent d’arrache-pied sont persécutés depuis longtemps, bien avant le Covid-19, d’ailleurs, les voyous prospèrent sur le laxisme de l’État. À la télé, les « stars » de la télé-réalité, choisies sur casting pour leur vacuité et leurs seules apparences, s’égaient dans des villas et des voitures de luxe : quelle est donc la hiérarchie des valeurs que la jeunesse peut déduire de tout cela, dans une société qui laisse faire les racailles, place la nullité et la fainéantise sur un piédestal pendant que leurs parents s’éreintent à honorer leurs impôts et charges et paient les pots cassés de la crise sanitaire ?

    La classe moyenne française est la grande persécutée de cette crise. Elle en sortira lessivée, la proie des grands groupes financiers qui s’enrichiront en ramassant les morceaux à la casse. Le « monde de demain » s’annonce le paradis de la superclasse mondiale, de la racaille et des valets écervelés à son service. Mais pas celui des gens éduqués dans les valeurs morales et le sens de l’effort… Le grand reset est en marche : après avoir puissamment œuvré à l’inversion des valeurs de la société, il s’annonce comme le transfert massif des biens, activités et patrimoines des classes moyennes vers une élite mondiale hors-sol, qui manipule les esprits depuis des décennies pour préparer le terrain, avant de donner le dernier coup de semonce…

     

    Olivier Piacentini

    Ecrivain, politologue
     
  • La CGT en crise

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    cgt,criseLa CGT en crise

    Deux articles nous indiquent que la CGT est au plus mal. A quand l’euthanasie de la centrale marxiste ?

    La Lettre A :

    Virginie Gensel-Imbrecht, membre du bureau confédéral de la CGT, a annoncé sa démission dans une lettre datée du 23 février. La syndicaliste, chargée de la com’ et la presse, y dénonce les méthodes de Philippe Martinez et les conflits à répétition avec la direction du syndicat.

    Le Canard :

     
    Source : lesalonbeige