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  • Lutte contre le racisme : un rapport parlementaire propose un musée de la colonisation

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

    Le combat fait consensus. Les moyens de le mener sont éruptifs. Un rapport publié ce mardi par une mission d’information à l’Assemblée nationale s’attaque à un sujet sensible : la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. Dans ce texte de plus de 250 pages, le groupe de députés mené par Robin Reda (LR) et Caroline Abadie (LREM) se penche sur “l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme” et les “réponses à y apporter”. Le sujet est abrasif, tant le pays est secoué par des tensions identitaires. Tenants de l’universalisme républicain et du multiculturalisme s’affrontent à longueur de débats, s’accusant mutuellement de dévoyer la lutte contre la haine.

    Réponse pénale, racisme dans la police, lutte contre les discriminations… Le rapport embrasse une série de sujets. Les députés avancent sur un chemin de crête : tout en rappelant leur attachement au “modèle universaliste”, ils insistent sur l’importance de la “transmission de la mémoire”. Avec une proposition majeure : la création d’un musée de l’histoire de la colonisation.  […]

    L’Express via fdesouche

  • La Femme selon le journal La Provence

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

    Voilà comment le journal La Provence prétendait rendre hommage à la Femme, hier 8 mars 2021, à l’occasion de la journée de la femme. En plaçant en une la photo en gros plan d’une militante communiste kurde manifestant en France.

    Personnellement, si nous dirigions un journal qui s’appelle La Provence et que nous voulions rendre hommage à la Femme, nous aurions plutôt choisi un cliché comme celui ci-dessous.

     

    Source : medias-presse.info

  • Les assassins sont de sortie

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

    Les assassins sont de sortie

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    Le président du groupe La République en marche (LREM) à l’Assemblée nationale, Christophe Castaner, réclame depuis plusieurs semaines une réunion avec le Premier ministre, Jean Castex, pour « connaître la position du gouvernement » sur l’euthanasie, suite au dépôt de plusieurs propositions de loi. Sans succès.

    Un peu plus de la moitié des députés LREM ont manifesté leur soutien à la proposition de loi de leur collègue Jean-Louis Touraine en faveur de l’euthanasie.

    La lettre A révèle que des députés LREM prêts à s’allier au groupe Liberté et Territoire sur le texte sur l’euthanasie :

    En même temps, 10 membres d’une association pro-euthanasie, Ultime liberté, ont été mis en examen dans une enquête sur un trafic de Pentobarbital, un barbiturique interdit en France et parfois utilisé pour l’aide au suicide. Ils ont été mis en examen pour «propagande en faveur de produits permettant de donner la mort», «complicité d’importation, détention et acquisition de plantes classées comme psychotropes» et «complicité d’importation en contrebande de marchandises dangereuses pour la santé publique». Trois d’entre elles ont également été mises en examen pour «acquisition, détention et importation de plantes classées comme psychotropes» et «importation en contrebande de marchandises dangereuses pour la santé».

     

    Source : lesalonbeige

  • Europe Écologie Les Verts (EELV) : derniers dinosaures de l’écologisme radical ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

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    Alors que certains écologistes européens commencent à modifier leur approche du nucléaire ou des OGM, EELV semble s’arque-bouter sur des positions caricaturales et désastreuses pour l’avenir de la France. Extrait d’une tribune de Nathalie MP Meyer :

    « (…) nos élus Europe Écologie Les Verts sont en bonne voie de devenir les derniers dinosaures d’un écologisme ridicule et radical dont d’autres partis verts européens commencent à s’éloigner, notamment sur les questions fondamentales du nucléaire et des OGM.

    Tout ragaillardis d’avoir fait déferler l’apparence d’une vague verte historique sur les élections européennes de 2019 et municipales de 2020, nos écologistes français ont brillamment réussi à installer l’écologie nationale dans tout ce qu’elle a de plus bouffonnement dogmatique, à grand renfort de mesures d’affichage plus navrantes les unes que les autres sur la fin de « l’arbre mort » de Noël à Bordeaux ou l’instauration d’un « budget genré » à Lyon. Il va sans dire que derrière ces distrayantes galéjades municipales, les grandes luttes de l’écologisme radical qui donnent des raisons de vivre à José Bové, Nicolas Hulot et Barbara Pompili sont plus que jamais d’actualité.

    Pour nos écologistes de combat, c’est-à-dire pour tous ceux qui répètent en boucle et en substance : « le climat est en danger, les abeilles sont en danger, la fin du monde est proche et il faut d’urgence sauver ce qui peut encore l’être »rien n’est pire que le nucléaire, les OGM, le glyphosate et, naturellement le terrible CO2 qui détermine le non moins effroyable réchauffement qui va tous nous engloutir à brève échéance dans les eaux tumultueuses des océans ou la fournaise accablante de terres en désertification croissante.

    Petit problème de cohérence cependant, qui trahit la nature essentiellement idéologique de ce combat : il se trouve que l’électricité nucléaire est justement une énergie idéalement décarbonée et pilotable qui devrait intéresser quiconque aurait le projet sérieux de faire baisser la part des énergies fossiles dans le mix énergétique sans compromettre la sécurité de l’approvisionnement électrique des entreprises et des ménages. De plus, les catastrophes nucléaires sont rares, même si Greenpeace France persiste à citer faussement comme tel le tsunami de Fukushima, et le traitement des déchets est de mieux en mieux appréhendé, même si le même Greenpeace et EELV s’opposent furieusement à la technique de l’enfouissement des plus radioactifs d’entre eux en couche géologique profonde.

    Quant aux OGM, il se pourrait bien qu’ils soient tout indiqués dans une optique d’améliorations génétiques des plantes afin de leur permettre de résister à la chaleur et à la sécheresse annoncées, sans compter leurs multiples avantages pour le développement humain, par exemple le riz doré pour combattre les carences graves en vitamine A (…)

    Il apparaît aujourd’hui que le nucléaire comme les OGM sont jugés dignes d’être reconsidérés à l’aune des vrais objectifs poursuivis par deux partis écologistes européens de premier plan – l’allemand pour les OGM et le finlandais pour le nucléaire. Donc en juin 2020, plusieurs élus de premier plan du parti Vert allemand ont publié une tribune commentée par la Süddeutsche Zeitung demandant à leur parti de repenser son attitude trop bloquée vis-à-vis du génie génétique et aussi en ce qui concerne l’interprétation du principe de précaution. Faute de quoi, ont-ils écrit, « l’avenir sera discuté sans nous. » (…) Puis en novembre 2020, ce sont les Verts finlandais qui ont fait part de leur intérêt pour l’énergie nucléaire. L’idée serait de sortir du charbon à l’horizon 2030 en faisant passer le nucléaire de 30 % à 50 % de la production d’électricité.

    S’ils restent opposés aux installations les plus vastes telles que l’EPR en cours de construction par Areva, ils ont expliqué qu’ils « n’étaient pas catégoriquement contre la construction de petits réacteurs nucléaires comme moyen de lutter contre le changement climatique ». Plusieurs candidats verts aux élections municipales d’avril prochain encouragent même le remplacement du chauffage urbain au charbon ou au fuel par des mini-centrales nucléaires modulaires. Quant aux déchets hautement radioactifs, pas de problème, ils sont d’accord pour qu’ils soient enterrés en couche géologique profonde sur le site d’Onkalo (à proximité de l’EPR d’Areva) dont la construction devrait démarrer sous peu.

    Pendant ce temps, en France, l’influence des écologistes a abouti à la situation inverse :

    • Fermeture définitive des deux réacteurs de la centrale de Fessenheim, équipement financièrement amorti et en parfait état de marche, quitte à avoir dû rallumer cet automne nos quatre centrales à charbon pour compenser ce manque, ainsi que l’absence de vent ayant réduit nos éoliennes à l’inactivité.
    • Réduction du nucléaire de 75 % à 50 % de l’électricité à l’horizon 2035, soit 14 réacteurs au total, au profit du solaire et de l’éolien, énergies très intermittentes, non pilotables et pas si écologiques que ça.
    • Enlisement du projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires qui a tourné en outre à la catastrophe budgétaire étatique.
    • Et, comble de la démagogie, mise sur pied d’une Convention prétendument citoyenne sur le climat qui recrache bien gentiment tous les poncifs écolos les plus rétrogrades dans des effusions d’autoritarisme des plus inquiétantes.

    Le constat final est tristement évident : la France et ses Verts vont finir par prendre un retard considérable par rapport à des pays qui sont en train d’inscrire leur préoccupation écologique dans une perspective de développement compatible avec les évolutions scientifiques et technologiques les plus avancées. Ça promet.

     

    Source : lesalonbeige

  • Passeport sanitaire : le monde de demain existe déjà…en Chine

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

    Passeport sanitaire : le monde de demain existe déjà…en Chine

    Récit terrifiant de ce qui se passe en Chine et qui se prépare tranquillement en France : perte de toute liberté, traçage des déplacements…et ce, malgré la disparition du Covid.

    C’est le rituel dont en Chine il est désormais difficile de s’affranchir: scanner un code-barres avec son téléphone et montrer patte blanche, avec une appli qui délivre un laissez-passer “vert”, synonyme de bonne santé.

    A l’entrée d’un immeuble, d’un commerce ou d’un parc; pour prendre l’avion, le train ou un taxi; ou tout simplement pour rentrer chez soi, mieux vaut ne pas avoir sa batterie déchargée. Les applis de traçage n’ont jamais été aussi envahissantes, dans une Chine pourtant largement remise du Covid depuis le printemps dernier. Les nouveaux cas recensés chaque jour s’y comptent désormais sur les doigts de la main. Mais le nombre de contrôles des « codes santé » atteint lui un niveau sans précédent.

    Combien de fois par jour dois-je me plier à l’exercice?  Je ne les compte plus, tant les codes QR et leurs mosaïques à scanner sont omniprésents (…)

    Réservations de billets ou d’hôtels, géolocalisation, lieux de paiement: le téléphone portable s’avère un redoutable mouchard sanitaire, qui peut virer au rouge s’il borne près d’un foyer de contamination. Le gouvernement central peut ainsi disposer de données collectées sur l’ensemble des lieux visités, par quartiers, sur 14 jours.

    (…) C’est cette application qui va générer un code QR que je devrais montrer pour pouvoir accéder à un certain nombre de lieux. Si le code est vert, je peux passer. En revanche s’il est rouge, je devrais rebrousser chemin et être mis 14 jours en quarantaine. L’application calcule mon statut en fonction des lieux où je me suis rendu. Le fait par exemple d’avoir été près d’un foyer de contamination peut faire de moi une persona non grata. Elle a mille usages. On peut y consulter un historique des tests de dépistage. Si le dernier résultat est positif, mon QR code sera donc rouge. L’application mentionne aussi une éventuelle vaccination contre le Covid-19.

    Scanner un code QR à l’entrée d’un immeuble n’est pas sans conséquences: à Pékin, l’appli est directement associée à mon numéro d’identité. Et chaque fois que je scanne, je laisse une trace numérique de mon passage.

    En Chine, chaque résidence est surveillée et fait en principe l’objet de contrôles sanitaires (prise de température et parfois formulaire à remplir). Mes déplacements, les plus anodins soient-ils comme le fait de rendre visite à un ami, sont donc connus.

    Personne ne me force à avoir une appli de traçage. Mais dans les faits, il est devenu impossible de vivre sans. J’en ai fait l’expérience un jour à l’entrée de l’immeuble qui abrite les bureaux de l’AFP à Pékin(…) En Chine, les (rares) personnes qui ne disposent pas de téléphone ou les enfants en bas âge se voient remettre un code QR… à accrocher autour du cou. Il contient toutes les informations sur leur identité ainsi que leur adresse. Lors d’un contrôle, les autorités peuvent ainsi s’assurer que les individus ne proviennent pas d’une zone dite à risque.

    Dans l’un des pays les plus connectés au monde et où les questions de vie privée autour des données rencontrent peu d’intérêt, les géants du web et les opérateurs téléphoniques n’ont aucun mal à suivre à la trace les déplacements des Chinois.

    Le système a permis aux voyages d’un bout à l’autre du pays de reprendre. Mais les vacances ont des allures de parcours du combattantAvant d’embarquer sur un vol intérieur, les compagnies aériennes exigent un code santé spécifique. Lors d’un transit, il faut parfois en présenter un autre et à l’arrivée un troisième code est demandé. A chaque fois, il faut remplir sur son téléphone un formulaire électronique (…)

    Voyager en Chine est désormais un “casse-tête administratif”, peste un expatrié. J’ai parfois l’impression que l’épidémie a considérablement renforcé la surveillance en Chine.  Un clic sur mon code santé et les autorités peuvent déterminer avec une relative précision les endroits que j’ai fréquentés au cours des 14 derniers jours (…)

    Mais sous couvert de lutte contre le virus, les applis de traçage couplées au tentaculaire réseau de caméras du pays peuvent devenir pour le pouvoir un redoutable outil de surveillance.  Au printemps dernier, la presse avait rapporté le cas d’un homme en fuite depuis 24 ans et qui avait fini par se rendre aux autorités : sans smartphone ni appli de traçage, il lui était devenu impossible de se déplacer, d’entrer dans un magasin ou d’être embauché sur des chantiers (…) »

     

    Source : lesalonbeige