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  • Doc Gyneco en garde à vue pour violences conjugales. Le parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance (MàJ : il a reconnu les faits)

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2021

    11/03/21

    Selon une information du Parisien. Le parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi.

    Les policiers remarquent que la femme présente un œdème au niveau de l’œil, qui continue de gonfler. Elle relate alors une dispute, sur fond de jalousie de la part de Doc Gynéco, qui il lui aurait mis quatre gifles. Le chanteur a reconnu les faits et son épouse a été conduite à l’hôpital. Elle ne souhaite pas porter plainte. Quant à l’enquête, elle a été confiée au commissariat du XVIIIe arrondissement.

    Placé en garde à vue, il n’a, selon nos informations, opposé aucune résistance. Le chanteur n’était par ailleurs pas alcoolisé.

    […]

    Le Parisien


    10/03/21

    Le chanteur a été interpellé et placé en garde à vue ce mercredi soir pour des soupçons de violences conjugales. Son épouse, frappée au visage, a été conduite à l’hôpital.

    Le rappeur et producteur Doc Gynéco, de son vrai nom Bruno Beausir, a été interpellé à son domicile, ce mercredi soir, et placé en garde à vue en fin d’après-midi pour violences conjugales, selon une information du Parisien.

    Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi après-midi.

    L’épouse du chanteur, qui aurait reçu des coups au visage lors d’une dispute dans l’après-midi, a été conduite à l’hôpital. L’enquête a été confiée au commissariat du XVIIIème arrondissement de Paris.

    Le Parisien

  • Marc-Olivier Fogiel et Christophe Barbier dans des restaurants ouverts clandestinement : preuve qu’ils ne croient pas ce qu’ils disent du Covid

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2021

    Auteur : 

    J’avais signalé ici les révélations du Canard enchaîné sur un dîner dans un restaurant ouvert clandestinement dans le quartier du siège parisien de BFMTV et réunissant une vingtaine de convives : journalistes de la télévision, “experts” médicaux pour la télévision ainsi qu’un officier des sapeurs-pompiers, lui aussi “expert” pour la télévision.

    Ceux-là même qui cherchent à conserver la population dans la crainte du Covid-19 faisaient un bon gueuleton, bien au-delà du couvre-feu, sans bien évidemment respecter les fameux gestes barrières qu’ils nous recommandent de respecter scrupuleusement.

    Depuis lors, le nom de l’un des vingt convives a été dévoilé : pas moins que Christophe Barbier, chroniqueur sur BFMTV et directeur de la rédaction du magazine L’Express. Voilà qui ne manque pas de sel.

    On se souviendra en effet que cette petite graine de Pol Pot ne manque pas une occasion de pointer du doigt les “complotistes” et tous les mauvais Français qui rechignent à suivre bien sagement les recommandations de Big Pharma et les diverses restrictions sanitaires. Christophe Barbier répète en boucle que ceux qui refusent le vaccin anti-Covid devront être privés de la possibilité de se rendre au restaurant, au théâtre, etc.

    Le Canard enchaîné en remet une couche cette semaine, avec un nouvel article. Cette fois, c’est Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFMTV, qui a été surpris en train de déjeuner dans un restaurant ouvert clandestinement.

    Je répète ce que j’écrivais la semaine dernière : tout ceci est la démonstration que ces gens-là ne croient pas à ce qu’ils disent à la télévision ou écrivent dans la presse sur la gravité de l’épidémie de Covid et sur l’impérieuse nécessité d’obéir aux consignes gouvernementales.

    En complices du système, ils cherchent simplement à nous manipuler et nous conditionner. Et en privilégiés du système, ils s’arrogent le droit de faire tout ce qui est interdit au Français moyen.

    Maintenant qu’ils ont été pris la main dans le sac, ces gens-là devraient démissionner et se terrer honteusement.

    Quant aux Français, preuve est faite qu’ils ne doivent plus accorder la moindre confiance à ce que disent les médias du système. Ni craindre une épidémie qui n’est pas plus dangereuse que la grippe.

    Alain Escada, président de Civitas

     

     

    Source : medias-presse.info