Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021

GJN1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021
12/03/2021
Deux cousins ont été condamnés vendredi 12 mars à Douai à 15 et 20 ans de réclusion criminelle pour la «tentative de meurtre aggravée» en 2015 d’un quadragénaire. Mohamed Ainaoui et Bilal Belgherbi, âgés de 19 et 20 ans au moment des faits, ont été reconnus coupables d’avoir, dans la nuit du 27 au 28 mai 2015, sauvagement passé à tabac un père de famille venu chercher ses chiens dans leur cité de Libercourt (Pas-de-Calais), avant de brûler sa voiture dans un champ de Phalempin (Nord). Un troisième homme, Mohamed Boumaaraf, âgé de 22 ans au moment des faits, a été condamné à un an ferme et quatre ans de sursis pour complicité, a-t-on appris auprès des avocats.
03/03/2021
(…) A l’aube, ce grutier père de trois enfants a pour habitude d’aller faire un footing. Parfois, les chiens s’étant échappés du domicile familial, à Libercourt (Pas-de-Calais), il part à leur recherche. Sa femme a prévenu la police municipale : son époux n’est pas rentré. Et pour cause… Sur son chemin, l’ouvrier a croisé la route de ceux qui ont fait basculer à jamais sa vie et celle de ses proches. A l’origine du déferlement de violence dont Fabien Lherbier a été victime et dont il souffre chaque jour les lourdes séquelles, il n’y aurait, selon un informateur ayant confirmé les éléments d’une lettre anonyme qui orientait vers ses agresseurs présumés, qu’un « mauvais regard ».
Dans le box de la cour d’assises de Douai prendront place, ce jeudi 4 mars et jusqu’au 12, trois jeunes hommes âgés de 24 à 27 ans (l’un comparaît libre). Les deux principaux accusés, Mohamed A. et son cousin Bilal B., aux casiers de petits trafiquants de stupéfiants, n’avaient que 19 ans en 2015.
Ce 28 mai 2015 à l’aube, l’Opel Corsa de Fabien Lherbier s’engage dans une impasse d’une petite cité de Libercourt. Il y a là Mohamed B., qui fume un joint en attendant quelqu’un, et les deux autres accusés qui boivent de l’alcool, décrit-il. Bientôt, il entend que « ça s’embrouille » et des cris. Fabien Lherbier, qui est sorti de sa voiture, aurait d’abord été frappé par Mohamed A. puis à la tête par Bilal B., qui lui aurait asséné un coup de bouteille. Alors que l’homme est tombé, les deux cousins l’auraient roué de coups avant de rouler sur ses jambes en manœuvrant sa voiture.
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021
L’Homme Nouveau a consacré un dossier à la crise de foi, révélée par la crise sanitaire. Anne Bernet, après avoir rappelé dans un article l’attitude de l’Eglise au cours des pandémies de l’Histoire, termine par l’attitude des chrétiens aujourd’hui, face à une pandémie pas vraiment terrible par rapport à la peste ou le choléra :
[…] Il est bien plus inquiétant, en revanche, de constater, autre révélation cruelle de la pandémie, l’effondrement des vérités de la foi dans les rangs catholiques. Si l’on ne peut guère demander à un ministre de l’Intérieur de saisir le sens de la messe, la Présence réelle et la nécessité vitale, pour un croyant, d’avoir accès à l’eucharistie, il faut s’interroger sur ce que la messe et l’eucharistie signifient pour un clergé, un épiscopat, qui les ont si facilement supprimées, sans mesurer la souffrance qu’ils infligeaient aux âmes, accusées d’immaturité par certains hauts prélats sous prétexte qu’elles réclamaient le Pain de vie et criaient leur faim, et pour des catholiques « pratiquants » qui ont adopté une messe virtuelle moins contraignante et une « communion spirituelle » soudain magnifiée alors que, depuis cinquante ans, l’accès au sacrement s’était désacralisé…
Un tiers des « messalisants » n’aurait pas remis les pieds à l’église après le déconfinement, preuve que la messe ne signifiait plus grand-chose pour eux. Quant à ceux que l’Église aurait pu reconquérir, en leur apportant le message évangélique et leur enseignant que le Christ, à la différence des médecins, avait, une fois pour toutes, vaincu la mort, nul n’a songé à s’adresser à eux. Une autre leçon de la pandémie aura été de mettre en lumière l’incapacité d’une partie du monde catholique à fournir à ces gens terrifiés les grandes réponses, les grands remèdes qui fu- rent, toujours, ceux de l’Église. Pourquoi, sinon parce que ceux auxquels il appartient de les enseigner n’ont plus foi dans les moyens et les vérités surnaturelles ?
« Je crois en Dieu, le Père tout- puissant… » Vraiment ? !
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovlin le 12 mars 2021
D’Hervé Rolland, président de la Fondation pour l’école :
Une note de service du 11 mars 2021, confirmée ce matin-même à la Fondation pour l’école par la DGESCO, vient entériner une demande portée à l’attention du Ministère lors de nos derniers rendez-vous sur l’organisation du Bac 2021 pour les élèves du hors-contrat.
En effet, lors de ses entretiens des 22 décembre et 18 février, la Fondation avait, entre autres revendications, demandé à ce que les épreuves ne portent que sur le programme de Terminale (comme c’est le cas pour les élèves du public et du privé sous contrat), et non sur les deux ans de Première et Terminale.
C’est désormais chose faite.
La Fondation salue cet allègement des programmes des épreuves ponctuelles du Bac 2021 pour les candidats des établissements indépendants : histoire-géographie, langues vivantes A et B, enseignement scientifique (pour le bac général), et mathématiques (pour le bac technologique).
Mais le chemin vers l’égalité est encore long.
La Fondation continuera, notamment lors de son prochain RV du 16 mars avec le Ministère, à être force de propositions pour obtenir l’égalité de traitement de tous les candidats au Bac, quelle que soit leur origine (établissement hors contrat, CNED…).
La reconnaissance du livret scolaire de ces élèves et leur accès égalitaire à ParcoursSup restent des sujets déterminants à clarifier. Quant au refus du bénéfice du contrôle continu pour ces élèves, l’incompréhension demeure.
Rappelons-le : quand les élèves du public et du privé sous-contrat passeront la quasi-totalité de leurs épreuves en contrôle continu pour échapper à la possible contamination par la Covid-19 en salles d’examen, les candidats du hors-contrat, eux, les passeront toutes en présentiel.
La santé des élèves des lycées indépendants serait-elle considérée par le Ministère comme moins prioritaire que celle des autres élèves ?
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021