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  • Une infirmière belge de 30 ans perd définitivement la vue de l’œil droit quelques heures après sa vaccination anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    L’information rapportée par Sudpresse ce samedi est confirmée par le ministère belge de la Santé. À Liège, quelques heures après avoir été vaccinée contre le Covid, Catherine, une jeune infirmière âgée de seulement 30 ans, a été victime d’une thrombose d’origine artérielle à la suite de laquelle la jeune femme a perdu l’usage de son œil droit. Les dégâts seraient irréversibles.

    Cette infirmière avait reçu le vaccin AstraZenaca de plus en plus décrié. Catherine s’était présentée le 1er mars au centre de vaccination de Bierset pour y recevoir la première dose du vaccin.

    Sudpresse livre quelques détails :

    Quelques heures plus tard, elle se réveille en pleine nuit et se rend compte qu’elle ne voit plus de son œil droit. Au CHU du Sart Tilman, les médecins lui diagnostiquent une thrombose d’origine vasculaire. « Ils me rassurent en disant que c’est momentané et que ma vue va revenir dans les prochains jours, explique Catherine. Mais trois jours après, je ne voyais toujours pas. » Elle retourne à l’hôpital et des examens plus poussés indiquent alors une thrombose d’origine « artérielle ».
    Au cabinet du ministre Vandenbroucke, on nous confirme que deux cas de thrombose ont été « rapportés », dont un à Liège, entendez signalés à l’Agence fédérale des médicaments (AFMPS) après un vaccin AstraZeneca. « Ce qui ne signifie pas qu’il y a par ailleurs un lien de cause à effet », nous dit-on.

    Alors qu’une dizaine de pays européens ont déjà décidé de suspendre le vaccin AstraZeneca pour compléments d’étude suite à des cas de thrombose suspects, la vaccination avec AstraZeneca continue en Belgique comme en France.

     

    Source : medias-presse.info

  • Système et Islam : ces deux Totalitarismes mortels qui nous menacent, et se ressemblent tant...

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    islam,république,système,totalitarismeLes similitudes sont évidentes entre l'Islam et le Système que nous subissons, hérité de la Révolution française et qui se proclame "république" alors qu'il n'en est pas une : il n'est rien d'autre qu'un Totalitarisme, une Nouvelle Religion Républicaine idéologique...

    1. Islam et République ou (Système) font débuter l'Histoire avec eux-mêmes : pour les musulmans, nous sommes en 1442, car l'Histoire commence pour eux avec l'Hégire (fuite de Mahomet de La Mecque vers Médine, en 622); les terroristes républicains dataient leurs premiers décrets criminels de "l'an I de la République"; parlaient des "soldats de l'An II" etc... Si leur puéril calendrier républicain n'a pas tenu bien longtemps, il n'en demeure pas moins que, pour eux, la France commence en 1789, ce qui est, évidemment, une aberration... 

    2. Islam et République ont fait disparaître le plus possible de témoignages antérieurs à eux-mêmes, dans cette volonté insensée de ré-écrire l'Histoire : ainsi, la République nous a-t-elle privée du tiers de notre patrimoine historique, monumental ou artistique, entre la Révolution et la démolition des Tuileries en 1883, ou la vente des Diamants de la Couronne en 1887. Pour ce qui est de l'Islam, on connaît moins son vandalisme en Europe, mais la destruction des Bouddhas de Bâmiyân en mars 2001 ou d'une partie des ruines de Palmyre en 2017 ont marqué les esprits du monde entier, et relèvent de la même logique...

    3. Islam et République sont, tous les deux, "un bloc" (l'expression, pour la France, la Révolution et la République qui en est issue, est de Clemenceau.) On ne peut composer ni avec l'un, ni avec l'autre. Et, du reste, ni l'un ni l'autre ne souhaitent composer. Soit on les rejette intégralement, soit ils s'imposent intégralement. Le révolutionnaire sanguinaire Saint Just (celui qui disait "Je ne juge pas je tue", ou "Une Nation ne se régénère que sur un monceau de cadavres") disait également : "Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé." (Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse). Ces deux blocs sont tous les deux un Totalitarisme, qui ne veut et ne peut rien accepter d'autre en dehors de lui-même, qui doit tout régir. Même si l'Islam professe un Dieu au-dessus des hommes, sa Charia - qui règle la totalité de la vie de la totalité de la Société - induit le Totalitarisme, de fait.

    4. Au début, la France n'était menacée, dans son Être profond, que par le premier de ces Totalitarismes : la Révolution. Mais le Système, en quoi la République issue de cette Révolution a dégénéré, mène depuis 1976 et les scélérats décrets Chirac sur le regroupement familial une suicidaire politique d'immigration massive et incontrôlée, dans le but de diluer et faire disparaître tout ce qui lui résiste encore, un siècle et demi après son instauration en 1875. Il a donc volontairement et délibérément implanté l'Islam en France, et comme greffé de nouvelles populations, absolument allergiques à nos moeurs, coutumes, traditions, façons d'être, de vivre et de penser etc...

    Voilà comment un second risque mortel pour la survie et l'avenir de notre Peuple, de sa Culture et de sa Civilisation nous menace aujourd'hui...

    Ce nouveau danger mortel a été pensé, voulu et imposé sur notre sol par le Système, dans le but de détruire notre Passé, notre Héritage.

    Le seul combat utile à mener aujourd'hui est celui qui est "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

     

    Source : lafautearousseau

  • Mascarade camphrée.

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    Entre-soi, guévarisme mondain, frelatage culturel, tunnels de déclarations bien-pensantes ou larmoyantes à effet ipéca garanti, sketchs sédatifs... Depuis quarante-cinq ans la cérémonie des César nous bassine avec des films sans spectateurs, des metteurs en scène sans talent et des acteurs sans étoffe.
    Marquée par la fausse provocation — dérisoire tant la nudité est devenue banale — du déshabillage sinistre d'une histrionne gauchiste, féministe et donc nécessairement moche, l'édition 2021 de ce pensum se déroulait — situation sanitaire oblige — sans public, c'est à dire sans les représentants de la caste ciné-médiatique en celluloïd. Le public, le vrai, a, quant à lui, depuis longtemps fuit cette mascarade camphrée.
    JFT.
    Peut être une image de une personne ou plus
     
     
     
     
     
     
  • Islam Le pari de François

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    © Antoine Mekary / Godong 

    On me permettra de prolonger la réflexion que j’ai commencée lundi dernier, à propos du voyage du pape en Irak. Lui-même nous invite à méditer l’événement, ce qui l’a précédé et ce qui devrait le suivre, non sans se référer aux critiques que sa volonté de rapprochement avec certains responsables de l’islam peut susciter. 

    hérésie,islam,pape françoisAux journalistes présents dans l’avion du retour, François a ainsi déclaré : « On doit avancer avec les autres religions. Le concile Vatican II a permis un grand pas. L’institution catholique a suivi. Mais il faut prendre des risques et donc subir des critiques : “Le pape n’est pas courageux, il est inconscient, il marche hors de la doctrine catholique. Il est à un pas de l’hérésie !” Ce sont des risques mais ces décisions d’avancer se prennent toujours par la prière, dans le dialogue en demandant conseil. C’est une réflexion et non un caprice, c’est aussi la ligne de Vatican II. »

    En contraste avec une telle déclaration, on pourrait s’interroger sur l’énorme polémique qui concerne ce qu’on appelle l’islamo-gauchisme. Le pape ne serait-il pas à côté de la plaque, alors que nos pays d’Occident sont confrontés à un véritable problème de civilisation et que leurs universités mêmes sont le lieu d’un bouleversement culturel majeur, à cause précisément de la présence de l’islam ? Et lorsque l’un de nos meilleurs spécialistes de la question, Gilles Kepel, dans son dernier livre [1] met en cause la quatrième mutation du virus djihadiste, on pourrait se demander si l’Église n’est décidément pas hors course.

    Le pape, cependant, a pu constater de visu le caractère incroyable de la cruauté djihadiste. Il ne devait donc rien ignorer du défi. Mais il parie sur la possibilité de trouver des alliés chez certains dirigeants musulmans. Ce pari est-il risqué ? Je suis payé pour savoir que parmi les plus hauts responsables de la hiérarchie, il est l’objet d’un débat sérieux.

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 10 mars 2021.

    [1Gilles Kepel, Le prophète et la pandémie, Du Moyen-Orient au jihadisme d’atmosphère, Gallimard, Paris, 2021.

    Sources : https://www.france-catholique.fr/

    https://radionotredame.net/

  • COMMUNIQUE BOUMENDJEL ANFANOMA : GUERRE D’ALGERIE D’AVEUX EN AVEUX, LA COU(L)PE DEBORDE !

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

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    Fi de la volet de bois vert qui a accueilli le rapport de l’Historien B. Stora (qui se targue sans pudeur de son engagement algérien), le Président de la République recevait le 2 mars la famille de Me Ali Boumendjel pour reconnaître que l’avocat « ne s’est pas suicidé. Il a été torturé puis assassiné ».

    Cette déclaration repose sur la relation édulcorée de son « Conseil ». Dès le 5 mars, M. Stora déclarait « C'est la première fois qu'un Président de la République en exercice reconnait qu'un crime a été commis pendant la guerre d'Algérie, par l'armée française ». Ce faisant, l’Historien, il est vrai « spécialiste de l’Histoire contemporaine de l’Algérie » et non de celle de la France, se trompe. Le même Président avait déjà, le 13 septembre 2018,  reconnu que Maurice Audin, « le militant communiste avait été torturé puis exécuté ou mort sous la torture ». Soulignons au passage « torturé puis exécuté ou mort sous la torture »… « Ce doute, toujours ce doute! »… C’est une récidive et, souhaitons-le, la dernière. Les militaires qui, voici plus de 60 ans ont agi, tant bien que mal, l’ont fait pour protéger des civils français choisis pour cibles parce qu’  innocents. Ces faits se sont déroulés dans un contexte de violence extrême à laquelle le Président-Chef de nos Armées - qui œuvrent aujourd’hui  en Afrique pour préserver un ordre fragile et qu’il serait prudent de ne pas décourager -  n’a pas (encore ?) été confronté.…

    A Alger, le Président Tebboune se frotte les mains, fait dire le 6 mars qu’il qualifie l’initiative de « louable » et, patient, qu’il attend la suite…  La réconciliation est le fruit d’une démarche menée simultanément, tendant vers la compréhension mutuelle. Ces conditions ne sont à l’évidence pas remplies. D’ailleurs, entre Etats, les sentiments n’ont pas  place et seule compte la conjonction d’intérêts communs. C’est de leur coordination que les Présidents Macron et Tebboune doivent se préoccuper. Gérer le présent, anticiper l’avenir, c’est déjà beaucoup ! Leur mission n’est pas de juger le passé. Les Historiens, les vrais, sont seuls compétents pour l’explorer.

    Toute guerre est par essence violente et cause de débordements. Celle d’Algérie n’a pas échappé à la règle, que ce soit du côté français et moins encore du côté « algérien ». Hélas, les  excès franco-français n’ont pas manqué : Fusillade rue d’Isly le 26 mars indéniable crime de guerre commis à la face du Monde, « mission spéciale » des « Barbouzes » secret de polichinelle… Les défaillances non plus : massacre le 5 juillet à Oran, troupes françaises consignées ! Où en est la réconciliation ?

     

    A Paris, le 7 mars 2021

    Le Président de l’ANFANOMA, Yves Sainsot

     

    Source :lafautearousseau