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  • Genderofolie : il dit non au changement de sexe de sa fille, il risque la prison

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    Tandis que la coronafolie actuelle polarise sur elle l’attention de la majorité des humains, les autres plaies de l’univers post-moderne grossissent progressivement et continuent d’infecter le corps social dans son ensemble.

    Sur le front de la déconstruction des identités, le progressisme va bon train. La genderofolie contemporaine gagne des batailles juridiques contre la famille et la nature biologique dans une indifférence quasi-unanime d’une humanité globalement soumise à la peur de mourir du covid.

    Au Canada, un père de famille risque la prison pour s’être opposé au changement de sexe de sa fille de 14 ans. Rob Hoogland  a décidé de ne pas signer le « consentement éclairé » pour que sa fille de 14 ans subisse un traitement de changement de sexe, qui comprend, entre autres procédures, l’administration de bloqueurs de puberté.

    Le juge a statué que le père ne pouvait pas discuter publiquement de cette affaire, ni s’adresser à sa fille ou à quelqu’un d’autre en parlant d’elle avec son prénom féminin. Il doit utiliser le nom Quinn ou les pronoms masculins.

    Rob n’a pas obéi et le 16 mars il devra faire face à un premier procès qui pourrait le conduire à 10 jours de prison et en avril à un deuxième procès, pour une accusation plus grave, toujours concernant l’interdiction de parler en public : la sentence en cette affaire pourrait aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement.

    Le Canada est depuis longtemps le laboratoire des pires ‘avancées’ idéologiques lgtbqi+. Malheureusement, via l’Union Européenne, cheval de Troie de la genderofolie en Europe, ces régressions civilisationnelles n’attendent pas bien longtemps pour s’imposer de l’autre côté de l’Atlantique.  Demain, ce seront la France, l’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne n’en est pas loin déjà, qui édicteront de telles sentences homosexualistes liberticides contre des parents normaux.

    La gaystapo arc-en-ciel veut mondialement interdire aux parents conservant un certain bon sens dans ce monde d’inversion et d‘invertis leurs libertés d’éducation et d’expression. Le vieil adage révolutionnaire contradictoire Pas de liberté pour les ennemis de la liberté dans toute sa sombre splendeur !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Violation du Code de Nuremberg, Israël mis en accusation

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    Cela peut paraître improbable et pourtant : la cour pénale internationale vient d’accepter une plainte accusant le gouvernement israélien de violer le code de Nuremberg. La raison derrière cette plainte concerne le plan de vaccination massive de la population israélienne mis en place par Netanyahou :

    « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été faite en violation du Code de Nuremberg » déclare Ruth Makhachovsky, l’un des avocats du collectif People of Truth, artisan du dépôt de plainte.  

    « L’organisation comprend des avocats, des médecins, des militants publics et le grand public, qui ont choisi d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir de traitement médical expérimental (vaccin Corona), et se sentent soumis à de grandes et sérieuses pressions illégales de la part du gouvernement israélien, parlementaires et ministres, hauts représentants du public, maires, etc. » souligne People of Truth.

    « Le premier principe du Code de Nuremberg est la volonté et le consentement éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à  une expérience », ont écrit les avocats Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski, du cabinet A. Suchovolsky & Co.

    « L’organisation, souligne le média israélien I24 News, demande entre autres que soit arrêtée la campagne de vaccination, qui viole le principe du consentement éclairé du patient, et que soit abandonnée l’initiative visant à la création du « passeport vert », qui nuit selon elle aux valeurs démocratiques.

    « Elle précise que le dépôt de la plainte devant la Cour pénale internationale a été motivé par le fait qu’ils (des avocats, des médecins, des militants publics et le grand public) ‘se sentent soumis à de grandes et sérieuses pressions illégales de la part du gouvernement israélien, parlementaires et ministres, hauts représentants, maires, etc’.

    « Le Code de Nuremberg – un code d’éthique médical issu de la Seconde Guerre mondiale – constitue la base de la loi sur les droits des patients en Israël. »

    « Nous attendons maintenant une décision », a ajouté l’avocate Ruth Makhachovsky à Israel News.

    Aujourd’hui, plus de quatre millions d’Israéliens (45% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin Pfizer.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info