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  • Hausse de la mortalité ou la peur en mode de gouvernement

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2021

    Hausse de la mortalité ou la peur en mode de gouvernement

    Analyse de Jean-Philippe Delsol sur l’IREF :

    Santé publique France a comptabilisé 65.000 morts du Covid pour 2020, auxquels il faudrait peut-être ajouter les décès à domicile représentant « environ 5 % des décès si on s’aligne sur les taux observés à l’étranger » estime l’Institut national d’études démographiques –INED-, soit un peu plus de 68.000 personnes décédées du Covid l’an dernier.

    Pourtant, selon une note de l’Insee établie au regard des donnée disponibles au 15 janvier 2021, 667 400 décès toutes causes confondues ont été enregistrés en 2020 en France. En 2019, le nombre de décès était de 613 243 décès, soit 54 157 de moins qu’en 2020.

    Du 1er janvier au 29 mars 2021 note encore l’Insee dans un relevé provisoire, 176 312 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 9 avril 2021, soit 6 % de plus qu’en 2019 (+ 9 656 décès, soit une hausse de 40 000 ramenée à une année !).

    Ces chiffres confirment que la hausse de la mortalité n’a pas été aussi importante que les autorités de santé le claironnent. D’autant moins qu’il faut tempérer l’analyse par trois observations majeures :

    1. La tendance naturelle de la mortalité est à la hausse

    La réalité est que le nombre de décès augmente significativement en France depuis l’arrivée à l’âge de 65 ans de la génération du baby-boom d’après-guerre. Le nombre de décès était resté stable entre 1996 (544 604 décès) et 2008 (542 575 décès) avant de connaitre quelques augmentations erratiques puis de s’emballer à partir de 2011 (545 057 décès) jusqu’en 2019 (613 243 décès). Entre 2011 et 2019, la France a connu en moyenne 8523 décès de plus chaque année.

    Selon une étude réalisée par l’INED, ce sont environ 13.000 décès qui, en 2020, sont statiquement imputables au vieillissement de la population. Celui-ci « s’observe chaque année en l’absence de gain d’espérance de vie », ce qui entraîne mécaniquement une hausse annuelle du nombre de décès. Indépendamment de tout contexte épidémique, une partie des personnes mortes du Covid en 2020 « seraient de toute façon décédées », soit d’une autre pathologie, soit de vieillesse. Pour l’INED, en 2020, le Covid-19 n’aurait causé « que » 42.000 décès supplémentaires en France.

    2. L’âge moyen élevé de décès « Covid »

    Sur l’ensemble de l’année 2020, note encore l’Insee, la hausse de mortalité a concerné uniquement les personnes âgées de 65 ans et plus et de manière homogène (+ 10 % quelle que soit la tranche d’âge). Elle est un peu plus marquée pour les hommes (+ 10 %) que pour les femmes (+ 8 %). Elle est négligeable en deçà de 65 ans (+ 2 % entre 50 et 64 ans, – 1 % entre 25 et 49 ans et – 6 % pour les moins de 25 ans).

    Le constat est le même pour le début d’année 2021. Si le nombre de décès est supérieur de 6 % en France sur la période du 1er janvier au 29 mars 2021 par rapport à la même période de 2019, il n’augmente que pour les personnes âgées de plus de 65 ans. En effet, le nombre de décès enregistré entre le 1er janvier et le 29 mars 2021 est inférieur à celui constaté sur la même période en 2019 pour les jeunes (- 16 % pour les moins de 25 ans) mais aussi pour les personnes âgées de 25 à 49 ans (- 9 %) et celles ayant entre 50 et 64 ans (- 4 %) qui avaient, à l’opposé, connu une hausse de mortalité en 2020.

    Les décès sont en revanche supérieurs à 2019 pour les 65 à 74 ans (+ 7,5 %) et surtout pour les plus de 75 ans (+ 11,5 % entre 75 et 84 ans). La surmortalité est désormais moins marquée pour les plus de 85 ans (+ 6 %). Au cours du dernier mois toutefois, entre le 1er et le 29 mars, la mortalité des 85 ans et plus n’augmente que de 3 % par rapport à la même période en 2019, ce qui pourrait être le signe des premiers effets de la vaccination, mais pourrait aussi s’expliquer par un effet « moisson ». Celle des 75 à 84 ans reste en revanche encore élevée à + 12 %.

    Selon Santé publique France, entre mai 2020 et avril 2021, l’âge moyen du décès se situe entre 84 et 85 ans et 93 % des personnes décédées avaient 65 ans et plus. Parmi les plus jeunes (moins de 20 ans), seules douze personnes sont mortes de la maladie en France.

    3. Les comorbidités jouent un rôle important

    Mais l’âge n’est pas le seul facteur à prendre en compte, comme le rappelle Catherine Hill, épidémiologiste et bio statisticienne : « l’âge et les comorbidités jouent tous les deux un rôle dans les formes graves du Covid-19 ». Selon Santé publique France, sur 43.000 certificats de décès reçus par le CépiDc, 65 % des personnes décédées étaient déjà fragilisées par une ou plusieurs pathologies. L’hypertension artérielle et les pathologies cardiaques sont les plus mentionnées sur les certificats électroniques.

    Conclusion

    Nous n’imaginons pas un seul instant que les chiffres puissent être truqués. Mais ils sont livrés au public sans précaution et sans analyse, dans l’esprit des autorités publiques et sanitaires, qui, par nature, par idéologie ou par intérêt, élèvent la peur en mode de gouvernement. Comme l’observe Anne Fagot-Largeault dans son dernier ouvrage (Ontologie du devenir, Odile Jacob), la grippe espagnole a fait au début du XXème siècle 50 millions de morts dans le monde alors que la population était 4 fois moindre. Notre seuil de tolérance à la mort s’est effondré. N’est-ce pas vanité ?

     

    Source : lesalonbeige

  • Bolloré s’empare du groupe Lagardère

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2021

    Bolloré s’empare du groupe Lagardère

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    Bolloré a désormais 29 % des actions. Avec ses alliés, le groupe Amber et les Qataris, ils sont pratiquement à 60 %. Selon Le Canard enchaîné, le nouveau conseil d’administration du groupe comprendrait 11 administrateurs, dont Nicolas Sarkozy : trois pour Vincent Bolloré, trois pour Arnaud Lagardère, un pour Amber, un pour les Qataris, un pour Bernard Arnault et deux pour les salariés.

    Arnaud Lagardère conserverait son titre de président pendant cinq ou six ans et il ne sera procédé à aucune cession (journaux, éditions, etc.) durant cette période. Selon Anne Méaux, la communicante de Lagardère,

    « des discussions sont en cours pour déterminer quelles seront les majorités qualifiées au conseil d’administration pour prendre les décisions importantes : changement de président, ventes d’actifs (journaux, édition…)». « A terme, tout est à la main de Bolloré. »

    Bolloré, qui possède déjà notamment Canal+ et Cnews, aura toute latitude pour faire racheter par Vivendi, qu’il dirige, la radio Europe 1, le « JDD » et « Paris-Match », l’éditeur Hachette.

     
     
    Source : lesalonbeige
  • Islamisation

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2021

    Islamisation

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    Sur la commune de Fabrègues (34), la chapelle Saint Baudile, datant du Xème siècle, a été souillée d’un drapeau islamiste.

    Pensez-vous que les médias s’indigneront et que le ministre Darmanin se déplacera pour condamner cette dégradation ? Le degré d’islamisation se mesure aussi à la capacité de réaction de nos gouvernants…

     

     
    Source : lesalonbeige
  • Emmanuel Macron, agent de corrosion nationale

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2021

    Emmanuel Macron, agent de corrosion nationale

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    Nous cherchons depuis longtemps ce qui fait la cohérence profonde de M.Macron comme Président de la République française, son unité en quelque sorte.

    Nous avions déjà repéré son goût pour l’exhibitionnisme et un style oscillant entre Super-Gourou et Clo-Clo.

    Nous avions repéré l’enflure d’un discours hyperpersonnalisé. Avec ses « je ne céderai rien » à répétition, aussi crédibles que des promesses d’ivrogne, nous avions repéré sa capacité à l’imposture, même quand il parle de séparatisme islamiste, même (ou surtout) quand il croit jouer au chef de guerre dans la gestion sanitaire covidienne. Sauf, reconnaissons-le, quand il pratique le quoi qu’il en coûte en particulier dans le domaine des libertés publiques et des empiètements sur tous les domaines relevant des vies privées.

    Nous l’avions entendu dire à la présidente des Associations familiales catholiques que son problème était qu’elle croyait qu’un père est forcément un mâle.

    Nous l’avions entendu dire qu’il pensait que la culture française n’existe pas et souligné que sa culture préférée, c’est celle du MOI JE : ce que nous avions appelé le cloaque d’un égo à ciel ouvert, fertile en diarrhées verbales particulièrement au moment de la parution de son entretien avec l’Express en décembre 2020, l’occasion pour lui d’une nouvelle giclée sphinctérienne.

    Eh bien, tout récemment, M.Macron a eu un nouvel accès de prurit dysentérique mais dans son variant anglais : il a expliqué dans un media américain qu’il devait y avoir en France un

    « dialogue calme et ouvert (a quiet and open dialogue) pour comprendre comment cela s’est passé et d’une certaine manière pour déconstruire notre propre histoire » (« a quiet and open dialogue to understand how it happened and in a certain way to deconstruct our own history »).

    Ce point sur la déconstruction de notre propre histoire a été largement commenté. Ce qui l’a moins été, c’est qu’il s’enchaînait dans un raisonnement (à propos de « comprendre comment cela s’est passé »), où le cela provenait de ce qu’il avait affirmé juste avant et qui est au moins tout aussi fétide :

    « nous avons assurément cette question de la race, qui est au cœur même de notre société » (« we have definitely this question of race, which is at the- at the very core of our society ») !

    Rappelons que M.Macron parle alors de la France !

    Il apparaît au final que la cohérence peut-être essentielle de M.Macron comme Président de la République française est d’être un facteur de corrosion nationale.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’actualité vient confirmer l’alerte de la dizaine de milliers de militaires

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2021

    L’actualité vient confirmer l’alerte de la dizaine de milliers de militaires

    Pendant que le gouvernement s’acharne à condamner les militaires qui ont oser publier une tribune décrivant la grave situation de notre pays, un policier s’est fait lyncher à Bagnolet.

    Dans un entretien au Parisien, le général François Lecointre, chef d’état-major des armées, déclare souhaiter des mesures sévères à l’encontre des signataires de la tribune publiée par Valeurs actuelles, au risque de faire croître le ressentiment au sein des Armées.

    Aujourd’hui, on dénombre 18 personnes en activité – dont quatre officiers – parmi les signataires, sur 210 000 militaires en activité. […] Je souhaite que leur mise à la retraite d’office soit décidée. C’est une procédure exceptionnelle, que nous lançons immédiatement à la demande de la ministre des Armées. Ces officiers généraux vont passer chacun devant un conseil supérieur militaire. Au terme de cette procédure, c’est le président de la République qui signe un décret de radiation. […]

    Et quelles sanctions pour les soldats d’active ?

    Ils recevront des sanctions disciplinaires militaires. On est en train d’étudier avec les chefs d’état-major des trois armées les cas des dix-huit personnes concernées et le niveau de sanction à appliquer. Mon intention est qu’elles soient plus fortes pour les plus gradés et moins fortes pour les moins gradés. Je considère que plus les responsabilités sont élevées, plus l’obligation de neutralité et d’exemplarité est forte.

    Lors de l’interpellation de dealers à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) lundi, un policier s’est retrouvé isolé et a été passé à tabac par plusieurs individus qui voulaient le tuer. Il raconte :

    “Je chute au sol et je prends plusieurs coups de pieds dans la tête, pendant que je me faisais frapper, j’entendais ‘Tuez-le, c’est un sale chien de flic, tuez-le’. “Je me faisais lyncher au sol. Je continue à recevoir des coups de pied type pénalty pleine tête, je ne suis protégé que par mon casque de moto. […] Ma tête faisait des allers-retours gauche-droite sous la violence des coups et j’entends encore ‘on va te fumer, on va te crever, sale fils de pute, sale keuf’“.

    Finalement, un de ses collègues parvient à l’extraire. Le policier souffre de nombreuses plaies au visage, de douleurs aux mains, au genou et d’importantes migraines.

    A Valence (26), faute d’escorte, 3 hommes, qui avaient été incarcérés les jours précédents, pour des faits de trafic de stupéfiant ou de violences conjugales, ont été remis en liberté avant leur procès.

    A Toulouse, le commissariat de Jolimont a reçu une lettre menaçant d’attentats et qui fait référence aux faits survenus à Rambouillet.

    Que disait la tribune des militaires ?

    Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements, des spectateurs passifs.

    Aussi ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.

    Enfin, selon un sondage, une majorité de Français soutient cette tribune. Rien, dans cette tribune, n’appelle au coup d’État ou à la révolte, au contraire. Les généraux sont “disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation”. Les généraux ne menacent donc pas d’un putsch, mais offrent leurs services au gouvernement. Les médias et les politiques ont choisi de regarder le doigt plutôt que la lune.

     

    Source : lesalonbeige