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  • Partis du Maroc, une centaine de migrants clandestins atteignent l’enclave espagnole de Ceuta à la nage

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021

    Des groupes de 20 à 30 personnes sont partis toute la journée de dimanche pour rejoindre l’enclave espagnole. Trois personnes ont été hospitalisées pour hypothermie.

    Plus de sept kilomètres les séparaient de leur destination. Une centaine de migrants sont partis à la nage du nord du Maroc dimanche pour rejoindre l’enclave espagnole de Ceuta, sur la côte nord-africaine, a fait savoir la garde civile espagnole lundi 26 avril.

    Partis des plages marocaines proches de Fnideq (aussi appelée Castillejos), au sud de Ceuta, “certains sont arrivés jusqu’à la plage [de Ceuta] par leurs propres moyens”, a détaillé un porte-parole de la garde civile, tandis que la majorité a dû être secourue et monter “dans nos embarcations” pour rejoindre l’enclave espagnole. “Ce n’est pas habituel, il peut y avoir des groupes de trois, quatre ou cinq, mais autant, non.”

    Des mineurs parmi les migrants

    Aucun mort ni blessé n’a été recensé côté espagnol parmi cette “centaine” de migrants, dont des mineurs, qui sont partis à la nage “durant toute la journée” par “groupe de 20 ou 30”, longeant la côte au loin. Trois personnes ont en revanche été hospitalisées pour hypothermie. Cinq autres personnes sont arrivées à la nage à Ceuta lundi, a indiqué la garde civile.

    Franceinfo via fdesouche

  • Seine-Saint-Denis (93) : une cagnotte pour créer un « Migrant Bus » qui ira à la rencontre des villages en France

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021

     
     

    Parcourir la France pour déconstruire les préjugés. Lundi 19 avril 2021, l’association Migrant•Bus a lancé une cagnotte pour financer son projet : un local itinérant qui sillonnera les routes de France afin de « créer la rencontre » entre les réfugiés et les habitants des villages. 

    […]

    En octobre 2020, elle fonde avec Ludovic Maugère l’association Migrant•Bus. Les deux comparses n’ont pas attendu 2020 pour s’engager en faveur des réfugiés. En 2019, ils s’engagent dans une mission humanitaire en Grèce sur l’île de Lesbos, une des principales portes d’entrée migratoire de l’Europe.

    […]

    Migrant•Bus transportera entre six et huit bénévoles de village en village. « L’idée est d’aller dans des villages pas trop grands pour aller au maximum vers les populations rurales. On s’appuiera également sur le tissu associatif local », explique Emma Griseau. Rendez-vous est déjà pris dans un village de l’Essonne et du Poitou-Charente à la fin août 2021. 

    […]

    Pour voir le projet aboutir, Migrant•Bus collecte 12 000 euros. « Cette somme nous aidera notamment à financer notre local itinérant qui prendra la forme d’une Tiny house [un local itinérant ndlr]. Elle permettra également d’avancer les frais pour mettre en œuvre notre activité », explique Emma Griseau. A l’heure actuelle, près de 2 000 euros ont déjà été collectés. En février 2021, ils ont fait partis des lauréat du prix 2020 de la Fondation Cognacq-Jay dans la catégorie « Vision »

    Actu via fdesouche
  • En marche vers l’Etat d’urgence permanent et la surveillance de masse

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021

    Etat d’urgence permanent et surveillance de masse sont les deux mamelles de la République française, Macron et covid régnant.

    La semaine dernière, deux décisions ont donné un coup de pouce au maintien sine die de la tyrannie ambiante. Elles ont fait peu de bruit, susciter peu de réactions, et pourtant elles engagent l’avenir des libertés fondamentales des Français, déjà mises entre guillemets pour cause de « crise sanitaire ». Des guillemets qui risquent fort de devenir permanents.

    Le site La Quadrature du Net dans un article du 21 avril dernier révèle que le Conseil d’Etat a validé durablement la surveillance de masse : il « autorise, écrit La Quadrature du Net, la conservation généralisée des données de connexion en dehors des situations exceptionnelles d’état d’urgence sécuritaire, contrairement à ce qu’exigeait la Cour de justice de l’UE dans sa décision du 6 octobre 2020 contre la France. »

    « Pour arriver à une conclusion aussi brutale, continue l’article, le Conseil d’État a réinterprété la notion de « sécurité nationale » pour l’étendre très largement au-delà de la lutte contre le terrorisme et y inclure par exemple l’espionnage économique, le trafic de stupéfiant ou l’organisation de manifestations non-déclarées. Ainsi, il peut conclure que la sécurité nationale est systématiquement menacée, justifiant le contournement permanent des garanties protégeant les libertés fondamentales et ce même en dehors des périodes officielles d’état d’urgence, soumises à un contrôle démocratique (aussi théorique soit-il). »

    Mais la surveillance ne s’arrête pas là, ainsi que l’explique le journaliste de La Quadrature du Net :

    « Le Conseil d’État permet la communication des données de connexion à la police pour n’importe laquelle des finalités comprises dans cette notion délirante de « sécurité nationale », alors que la CJUE exige que cette mesure de surveillance soit limitée à la seule lutte contre la criminalité grave. »

    Et de conclure amèrement :

    « Reléguant le droit à la vie privée, à la sûreté ou à la liberté d’expression à une pure déclaration de principe dénuée d’effectivité, le Conseil d’État confère à la sacro-sainte sécurité nationale une définition si monstrueuse qu’elle lui permet d’annihiler le reste des droits fondamentaux. Aujourd’hui, il a durablement inscrit dans le droit français le renversement de principe en matière de surveillance : tout le monde est suspect, de tout. »

    Le même jour, ce 21 avril 2021, quelques titres mineurs se faisaient l’écho brièvement du nouveau projet de loi du gouvernement Macron « relatif à la sortie de la crise sanitaire » qui « prolongerait en réalité l’attribution des mêmes pouvoirs au gouvernement jusqu’au 31 octobre 2021 », d’après France Inter. Rappelons que l’Etat d’urgence sanitaire permet au gouvernement de prendre certaines mesures privatives de libertés sans passer par le Parlement.

    Aussi, si ce projet de loi est voté le 10 mai, l’exécutif pourra continuer d’imposer de nouvelles restrictions aux libertés fondamentales jusqu’à fin octobre mais pas seulement : le « pass sanitaire » est aussi implicitement prévu dans le projet en permettant au gouvernement, analyse de son côté Sputnik, « d’imposer à toute personne souhaitant voyager ‘’à destination ou en provenance‘’ de la France la présentation d’un certificat de vaccination, d’un test négatif ou d’un document attestant d’une contamination antérieure au Covid-19. En d’autres termes, l’exécutif aurait alors l’outillage juridique suffisant pour mettre en œuvre ce fameux «pass sanitaire», dont l’arrivée dans l’Hexagone n’a jamais été aussi imminente. »

    « Censé s’achever le 1er juin prochain, continue le média russe, l’état d’urgence sanitaire devrait être prolongé jusqu’au… 31 octobre 2021. Le site spécialisé Contexte a ainsi dévoilé le projet de loi du gouvernement visant à étendre les pleins pouvoirs de l’exécutif dans la gestion de la crise sanitaire. Le principe d’un ‘’pass sanitaire‘’ et l’imposition d’un lieu de quarantaine pour les voyageurs revenant de l’étranger sont aussi prévus par le texte. »

    Un « tour de force politique absolument pas justifié et totalement disproportionné », tance l’avocat René Boustany, cofondateur du Cercle droit et liberté, au micro de Sputnik :

    « L’idée maintenant, c’est : “on vous rend vos libertés si vous vous êtes bien tenus”. Dans cette logique-là, il n’y a pas de raison de sortir d’un état d’urgence permanent. »

    « C’est liberticide et discriminatoire : certaines personnes ne veulent pas se faire vacciner, ou ne peuvent pas se faire vacciner. Les libertés ne seront plus des droits naturels ou absolus mais conditionnées à un “pass sanitaire” qui sera en réalité un instrument politique et administratif », continue-t-il.

    Entre surveillance de masse et Etat d’urgence quasi-permanent, la tyrannie sanitaire a encore de beaux jours devant elle…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Le Haut Conseil de la santé publique ou la dictature d’un hygiénisme délirant

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021

    Le Haut Conseil de la santé publique ou la dictature d’un hygiénisme délirant

    Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) adapte les recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19. Ainsi, dans un document mis en ligne le 25 avril, le HCSP recommande que

    • Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :

      • toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes graves (âge, comorbidité).
      • Toutes les personnes réunies continuent de respecter l’ensemble des mesures barrières y compris le port de masque lorsque l’une d’elles n’a pas bénéficié d’un protocole de vaccination complet.
    • Dans un cadre collectif en population générale (collectivités et milieux extérieurs ouverts), de :

      • continuer à respecter l’application des mesures barrières dont le port de masque et de limitation des déplacements en accord avec l’évolution des décisions nationales en fonction de l’avancée de la couverture vaccinale ;

      • ne pas participer ni organiser des regroupements de personnes au-delà de ce qui est réglementairement autorisé.

    Ce genre de recommandations nous rend très sympathique la fête improvisée au parc des Buttes-Chaumont à Paris :

     

     
    Source : lesalonbeige
  • Largentière (07) : nuit de caillassage contre les gendarmes dans ce bourg de 1700 habitants

    Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2021

    Ardèche : nuit de caillassage contre les gendarmes à Largentière

    Une nouvelle nuit de caillassage en sud Ardèche, moins d’une semaine après la flambée de violence au quartiers des Oliviers à Aubenas. Cette fois c’est dans la petite commune de Largentière, moins de deux mille habitants, qu’une dizaine de jeunes ont enflammé des poubelles et jeté des pierres sur les forces de l’ordre.

    (…)

    Aucun élément déclencheur ne peut expliquer ces caillassages ci ce n’est un effet de “mimétisme” pour faire comme dans d’autres quartiers de France assurent les autorités.

    www.francebleu.fr via fdesouche