Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 11

  • Syrie : 200 djihadistes tués par l’aviation russe

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    aviation russe,djihadistes,syrieSyrie : 200 djihadistes tués par l’aviation russe

    D’Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    Il y a bien longtemps que Russes et Syriens subissaient des coups de main islamistes venus du désert. Difficiles à repérer dans ces étendues caillouteuses parsemées de grottes et d’accidents de terrain propices aux caches, plusieurs centaines de djihadistes surgissaient tout à coup pour attaquer barrages ou convois de l’armée syrienne. Depuis début 2020, les Russes ont reconnu deux morts et l’on évalue les pertes iraniennes à 150 morts et les pertes syriennes à 1.200 morts. C’est beaucoup, pour une armée déjà exsangue.

    Les attaques pouvaient se produire aussi bien à l’est qu’à l’ouest de Palmyre, cette dernière étant maintenant parfaitement sécurisée depuis l’installation d’une base russe.

    Des renseignements parvenus ont fait état de projets d’attaques d’envergure élaborés à partir de bases camouflées. Après plusieurs recoupements, le ministère de la Défense russe a annoncé, lundi 19 avril, l’intervention de l’aviation : « Les forces aériennes russes ont effectué plusieurs frappes à la suite desquelles deux abris ont été détruits et environ 200 combattants tués. » Les Russes précisent encore que « 24 pick-up équipés de mitrailleuses lourdes et environ 500 kg de munitions et de composants pour la fabrication d’explosifs improvisés » ont également été détruits.

    L’affiliation de ces djihadistes n’a pas été précisée mais il serait logique qu’il s’agisse de membres de Daech, ceux-ci s’étant réfugiés en nombre dans le désert syrien après les derniers combats perdus de Baghouz, en mars 2019.

    Toutefois, le communiqué russe donne une précision étonnante : il dit que ces combattants ont été formés dans plusieurs régions, « y compris dans la zone d’Al-Tanf qui est contrôlée par les forces américaines ». Rappelons que les Américains occupent en toute illégalité une partie de la Syrie : tout d’abord une vaste zone à l’est de l’Euphrate leur permettant d’exploiter la plupart des puits de pétrole syriens avec leurs alliés kurdes. Ce fait est bien connu.

    Mais les Américains ont également construit, au sud de la Syrie, le long de la frontière jordanienne, une vaste base appelée Al-Tanf. La plus grande discrétion règne sur le sujet et personne ne peut s’approcher de cette base. On sait juste qu’un nombre indéterminé d’ex-« rebelles » y ont trouvé refuge après leur défaite contre l’armée syrienne. Qu’y font-ils ? Mystère. Mais cette accusation russe assez explicite est intéressante. Elle témoigne, bien sûr, d’une montée croissante des tensions entre les deux pays depuis l’élection de Biden, mais aussi, les Russes ne parlant jamais au hasard, d’un possible regain d’intérêt des Américains pour déstabiliser à nouveau la Syrie.

    Décidément, la guerre en Syrie, qui implique un nombre impressionnant de participants extérieurs, peut encore provoquer bien des surprises. Mais deux choses sont certaines : les Russes tiennent la main et ne la lâcheront pas et les Américains n’ont pas l’intention de laisser la Syrie se reconstruire sous la houlette russo-iranienne.

     

    Source : lesalonbeige

  • Vaccinés !

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    centre de vaccination d'épernay,sérum physiologique,vaccinés

    Les soignants du centre de vaccination d’Épernay ont administré du sérum physiologique à 140 personnes mardi 20 avril, à la place du vaccin de Pfizer-BioNTech.

     

    Source : lesalonbeige

  • Homme-singe, premiers embryons chimériques des apprentis-sorciers modernes

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Nos sociétés post-modernes, sans repères, sans foi, sans identité, aux idéologies fluides et déconstructivistes, ouvrent la voie à toute sorte d’expériences sur l’être humain, aussi petit-soit-il qu’un embryon, pour le plus grand danger de l’humanité.

    Sous couvert de faire progresser les thérapies médicales, dont la médecine régénérative, -et en cela aussi la pandémie de covid aura été une aubaine en faisant sauter des verrous éthiques-, une nouvelle transgression vient d’être franchie : des embryons chimériques homme-singe ont été créés. Deux équipes, l’une française, l’autre sino-américaine, ont cultivé durant trois à dix-neuf jours des embryons de macaques, dans lesquels ils avaient ajouté des cellules humaines. Les taux de cellules humaines intégrées dans les embryons de singe, cependant, sont restés très faibles dans la première étude, publiée le 12 janvier dans la revue Stem Cell Reports. Et modestes dans la seconde étude, intitulée Contribution chimérique des cellules souches pluripotentes humaines étendues à des embryons de singe ex vivo et publiée le 15 avril dans la revue Cell.

    « L’article, relate le quotidien italien La Nuova Bussola Quotidianna, rédigé par des chercheurs chinois et américains appartenant à divers instituts ou universités, dont une catholique, rend compte de l’expérimentation suivante. Des cellules humaines adultes ont été prélevées et amenées à régresser à un stade de pluripotence (cellules hPSC), c’est-à-dire à un stade où elles peuvent théoriquement générer de nombreux tissus et organes. Ces cellules reconverties ont été insérées dans des blastocystes de singe (le blastocyste est le niveau de développement embryonnaire 5 à 6 jours après la conception) pour voir comment elles interagissaient. Sur les 132 embryons ainsi manipulés, seuls trois, après 19 jours, étaient encore en vie. Le vingtième jour, ces trois embryons sont également morts. »

    Le journaliste pose alors la question essentielle, existentielle pourrait-on dire, sans jeu de mots :

    « Pourquoi ces embryons de chimères ont-ils été créés ? »

    D’après l’étude, « la première motivation, explique LNBQ, serait d’étudier le comportement in vivo des cellules pluripotentes humaines. Deuxièmement, l’étude a voulu étudier les possibilités réelles concernant la ‘’génération d’organes et de tissus destinés à la transplantation‘’. Enfin, ‘’ces résultats peuvent aider à mieux comprendre le développement humain précoce et l’évolution des primates et à développer des stratégies pour améliorer le chimérisme humain dans des espèces évolutives éloignées‘’.

    Des scientifiques créent des embryons mi-homme, mi-singe

    Les implications éthiques de ces chimères singe-homme sont si graves que même le magazine Cell qui héberge l’article émet des réserves sur l’efficacité pratique de cette expérimentation et sur son éthique.

    Concernant l’utilité de cette expérience, LNBQ souligne que le généticien Giuseppe Novelli, de l’Université de Rome Tor Vergata, demande rhétoriquement :

    « Sommes-nous sûrs que c’est un chemin qui mène à la formation d’organes fonctionnels ? Sommes-nous certains de devoir utiliser des embryons de chimères s’il est possible d’obtenir des organoïdes à partir de cellules souches induites d’une seule espèce ? »

    Sur le plan plus purement moral, le quotidien italien note ces quelques réflexions que nous faisons nôtres :

    « Premièrement, pour éviter toute ambiguïté, ces embryons ne sont pas des embryons humains métissés avec des cellules de singe, mais le contraire. Ce sont des embryons de singe avec du matériel biologique humain.

    « Dans un second temps, revenons à la remarque du Dr Novelli : s’il existe d’autres solutions plus efficaces pour étudier le comportement des cellules souches pluripotentes et obtenir des organoïdes, pourquoi ne pas les poursuivre ? Bref, même si certains objectifs indiqués par l’étude seront nobles, la méthode utilisée n’est pas la plus efficace.

    « Troisièmement – et nous arrivons à la critique la plus importante – prendre des cellules humaines à insérer dans des embryons de singe est la porte d’entrée pour faire le contraire et obtenir un homme-singe. Nous commençons par prendre des embryons humains pour y insérer des cellules de singe, puis nous arrivons à modifier l’ADN humain avec un patrimoine génétique semblable à celui des singes. C’est pourquoi, comme Novelli le souligne encore, ‘’l’introduction de cellules souches embryonnaires humaines dans le blastocyste d’un macaque est fortement interdite par toutes les directives bioéthiques existantes : les cellules chimériques embryonnaires sont potentiellement capables de générer des chimères-embryons – et donc des fœtus – dont on ne sait rien‘’ ».

    « Cette éventualité, rappelle le journaliste italien, s’est déjà produite dans le passé. En 1997, des noyaux de cellules humaines ont été insérés dans des ovocytes de souris et la rencontre entre le patrimoine génétique humain et animal s’est répétée dans les années à venir avec les vaches et les porcs. Il existe de nombreux variants. Par exemple, nous avons ceux qui, contrairement à la qualification indiquée dans cet article, sont désignés par certains chercheurs comme des chimères : des êtres vivants issus de la fusion de deux zygotes pouvant appartenir à la même espèce ou à des espèces différentes [cf. RT TECIRLIOGLU ET AL., Transfert nucléaire de cellules somatiques interspécifiques et données préliminaires pour iSCNT cheval-vache / souris, dans «Stem Cell Rev.», n. 2 (2006), pp. 277-287]. Les organismes transgéniques, en revanche, sont des organismes dont le patrimoine génétique contient des gènes exogènes insérées dans l’ADN nucléaire, intacts ou modifiés. Les hybrides, en revanche, sont des organismes issus de la fusion de deux gamètes de deux espèces différentes [cf. S. CAMPORESI – G. BONIOLO, Craignant un Minotaure inexistant ? Les enjeux éthiques de la recherche sur les embryons hybrides cytoplasmiques, dans «J. Med. Ethics », non. 34 (2008), p. 821]. Chez les cybrides, cependant, la fusion ne concerne pas les gamètes mais une cellule avec un noyau et un ovocyte dénucléé : le patrimoine génétique final de cette fusion dérive donc pour la plus grande part du noyau et pour une petite partie des mitochondries de l’ovocyte. »

    Bref, conclut LNBQ, « les chercheurs jouent à l’apprenti sorcier depuis de nombreuses années. Le plus grand risque, comme mentionné ci-dessus, est celui de mélanger, comme cela s’est déjà produit, le patrimoine génétique humain avec celui animal. De cette façon, nous aurions l’homme vache ou l’homme porc ou l’homme singe, juste pour plaire à Darwin. De telles expériences nous amènent à conclure qu’avant de créer l’homme-bête, l’homme s’est déjà fait bête. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Une nouvelle école hors-contrat à Fabrègues, au sud de Montpellier : les inscriptions sont d’ores-et-déjà ouvertes

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Auteur : 

    Les mères dominicaines enseignantes de Fanjeaux ouvrent une nouvelle école pour la rentrée 2021: le Cours Saint-Dominique-Savio, à côté du Prieuré Saint-François-de-Sales de Fabrègues.

    L’école du prieuré de Fabrègues, fermée il y a dix-huit mois, rouvre ses portes en septembre 2021. Sous une autre forme, toutefois. En effet l’école sera désormais prise en charge à 100% par des sœurs enseignantes, de la Congrégation des dominicaines enseignantes de Fanjeaux.

    C’est une superbe opportunité pour les enfants de maternelle et du primaire. Il leur est garanti un enseignement d’excellence, une éducation chrétienne exigeante et épanouissante, le tout dans une atmosphère profondément catholique et un cadre de vie idéal. Tout cela au prix de 150 euros par mois, durant les 10 mois de l’année scolaire. Le nec plus ultra de l’enseignement catholique dans la région de Montpellier !

    LES INSCRIPTIONS SONT D’ORES ET DÉJÀ OUVERTES. 

    Sur demande, il est possible de recevoir les informations pratiques et les feuilles d’inscription.

    Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter le prieuré de Fabrègues : 1, RUE NEUVE DES HORTS 34690 FABRÈGUES

    Téléphone : +33 9 81 28 28 05

    Email : 34P.FABREGUES@FSSPX.FR

    Source : Abbé Louis-Marie BERTHE, Prieur FSSPX

  • En Estonie, la police humilie les opposants à la dictature sanitaire, allant jusqu’à faire déshabiller un homme âgé en pleine rue

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Estonie – Une manifestation pacifique contre les verrouillages liés au COVID dans la capitale de l’Estonie en Europe de l’Est a été brisée par l’intimidation, l’humiliation et le mépris de la droit. Entre autres actions, la police estonienne a déshabillé un homme âgé jusqu’à ses sous-vêtements et l’a menacé de fouille anale pour avoir utilisé un seau comme un tambour pendant la manifestation. Les faits datent du dimanche 11 avril et n’ont pas été relayés par les médias du système.

    La police a interdit l’utilisation de panneaux et d’instruments. Les policiers ont été très agressifs et ont fait appliquer très strictement la règle de distance 2 + 2.

    La règle 2 + 2 est la formule locale de la distance sociale sous prétexte sanitaire. Les groupes ne peuvent être que de deux, et les deux du groupe de deux doivent être distants de 2 m. Non seulement l’État a déclaré que les protestations ne peuvent être faites qu’en nombre de dix personnes au maximum, mais celles qui y participent doivent également suivre la règle 2 + 2.

    Un autre homme – avec sa femme et sa fille dans un café en bas de la rue – a regardé la police armée entrer dans l’établissement. Ce témoin a raconté comment un policier a même tenté de tirer son enfant loin de sa femme par la force.

    Sur la place de la Liberté, Varro Vooglaid a vu les forces spéciales commencer à harceler et à humilier la population. «Ils harcelaient constamment les gens pour qu’ils s’écartent de 2 mètres, les bousculant avec violence et arrêtant toute personne exprimant son désaccord.» Vooglaid, avocat, est le fondateur de la Fondation estonienne de défense de la famille et de la tradition, une organisation engagée à préserver les valeurs chrétiennes, la famille et la liberté en Estonie.

    L’un des plus gros problèmes, a déclaré Vooglaid, est que la police ignore la loi. Ils disaient à tort aux gens qu’il était illégal de brandir des pancartes ou de jouer de la guitare dans la rue. Désormais, un nouveau projet de loi propose d’accorder à la police estonienne plus de pouvoir pour faire appliquer les restrictions relatives aux coronavirus. Répondant aux questions de médias polonais, Voolgaid a déclaré : « Les nouveaux pouvoirs concerneraient, par exemple, la possibilité d’engager des poursuites judiciaires contre des citoyens, pour ne pas avoir de masque sur le visage. De plus, les agents seraient en mesure de punir plus facilement et plus rapidement ceux qui enfreignent les restrictions relatives aux coronavirus. »

    En raison du recours excessif à la force par la police dimanche, la direction de la police a fait retirer les noms des policiers de leurs uniformes.

    L’ancienne ministre des Affaires intérieures, Marte Helme, a déclaré publiquement: « L’État policier est ici .»

    Non seulement les policiers agissent en dehors de la loi, mais le nouveau projet de loi leur permettrait de le faire dans un anonymat presque complet.

    Le Premier ministre Kaja Kallas nie qu’un usage excessif du pouvoir ait eu lieu. «Lorsque des règles ont été imposées à une société, il est dans l’intérêt de ceux qui les respectent que ceux qui ne les respectent pas soient tenus responsables», a-t-elle soutenu.

    Les signes d’une société en voie de devenir un État policier peuvent être vus partout dans le monde, car les gens sont obligés de subir des privations de libertés qui durent maintenant depuis plus d’un an. Dans le même temps, les manifestations se multiplient.

    Grâce à son compte Facebook, Vooglaid a encouragé tous les citoyens à poursuivre les manifestations pacifiques. Maintenant, cependant, «l’acuité des manifestations doit être dirigée vers le gouvernement et la police et exiger une réelle responsabilité pour leurs actions».

     

    Source : medias-presse.info