Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021
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Dans les colonnes du Journal Officiel du régime autrement appelé JDD, le ministre de l'Intérieur, Gérard Darmanin, annonce une énième loi anti-terroriste, cette fois dotée de terribles mesures répressives de nature à faire trembler les islamistes : suivi des libérés ayant purgé une peine "lourde" (par "lourde", il faut entendre quelques années de prison...), et détection renforcée des radicalisations. Pour la vraie loi anti-terroriste — celle qui mettra fin à la déferlante migratoire, organisera la remigration, rétablira la peine de mort et multipliera les camps de rétention administrative, il faudra attendre un petit peu.Comme il faudra attendre l'Etat national pour edicter la grande loi permettant de juger les vrais coupables de tout celà.JFT
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Timing parfait : Élise Lucet consacre un « Envoyé spécial » aux violences policières !
Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021
Encore une journée marquée de rouge, quelque part en France. Une de plus, qui vient s’ajouter à plusieurs dizaines qui ont vu le terrorisme islamique ensanglanter les rues de nos villes et anéantir la vie de centaines d’innocents. « Nous ne céderons rien », a dit Emmanuel Macron. Si nous n’avions rien cédé, nous n’entendrions plus parler depuis longtemps de tout cela. Au contraire, nous commençons à nous habituer à l’horreur, nous courbons l’échine, fatalistes et soumis, devant cette défaite qui s’annonce sans que nous n’ayons jamais esquissé la moindre réaction d’envergure.
Car la défaite est programmée, tout s’acharne à nous y résigner. Si nous étions ne fût-ce qu’un seul instant en guerre contre le terrorisme islamique, nous placerions cette cause tout en haut de nos priorités et sacrifierions bien des choses pour triompher. Mais est-ce le cas ? Certaines coïncidences sont particulièrement significatives : jeudi soir, Élise Lucet a consacré son numéro d’« Envoyé spécial » aux violences policières. Avec, en guest star, M. Zecler, producteur passé à tabac il y a quelques mois par des policiers. Car il est de notoriété mondiale que la police, en France, c’est la Gestapo. La violence policière, c’est véritablement LE sujet qui terrorise la France entière : croiser une patrouille de police, en France, c’est risquer sa peau, surtout si elle est basanée, dixit Assa Traoré et Camélia Jordana. C’est ce leitmotiv qu’Élise Lucet a cherché à nous assener, lors de l’émission de jeudi, et ce, malgré les traditionnelles précautions de langage, censées cerner une « infime minorité de brebis galeuses ».
Il y a plusieurs manières de travestir la réalité, quand on est journaliste. On peut mentir, on peut passer sous silence des sujets ou taire des vérités. On peut aussi focaliser les projecteurs sur un sujet secondaire, par choix idéologique, et négliger l’essentiel. Sur les cinq dernières années, ce sont plus de cent policiers qui ont été tués, un chiffre sans rapport avec les bavures qu’ils auraient, eux, commises, toujours de trop, mais très rares. Ils sont plus de dix mille, chaque année, à être blessés suite à des violences. Faites donc des micros-trottoirs, dans n’importe quel pays d’Europe : ce sont bien les images des policiers achevés à terre par des terroristes, celles de voitures obligées de reculer face à la racaille déchaînée, d’agents insultés et violentés qui ont sidéré les esprits ; certainement pas la prétendue violence ou le racisme de notre police, reconnue partout comme l’une des plus humaines du monde.
En hystérisant le sujet des violences policières, alors que les policiers sont devenus des cibles vivantes, Élise Lucet a fauté. Quelques heures après la diffusion de ce reportage, où M. Zecler a été hissé au rang de martyr pour quelques jours d’ITT, c’est Stéphanie, policière depuis vingt-huit ans, qui aura sacrifié sa vie pour défendre celle des autres. La vôtre, la mienne, celle des délinquants même, celle des gauchistes qui leur crachent dessus à longueur de temps, celle de Zecler et celle d’Élise Lucet également. Mme Lucet, vous a-t-il effleuré l’esprit, ne fût-ce qu’une seconde, que l’opprobre médiatique contre la police, à laquelle vous avez apporté votre contribution, favorise ce type de drame ? Ne ressentez-vous donc, aujourd’hui, aucun remords d’avoir à ce point participé, certes à votre corps défendant, à ce sinistre choc des actualités ? On ne peut pas faire la guerre à la fois au terrorisme et à la police. C’est l’un ou l’autre, il faut choisir son camp.
Olivier Piacentini
Source : http://bvoltaire.fr
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Pourquoi y a-t-il plus d’attentats djihadistes pendant le Ramadan ?
Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021
24/04/21
Le mois sacré chez les musulmans est pour les extrémistes islamistes, Daech et al-Qaida en pôle, celui du djihad, la «guerre sainte». Ils accélèrent leurs actions violentes dans le monde entier pendant cette période.
Le ramadan a commencé il y a une dizaine de jours en France. Et pour les forces de police et de gendarmerie, c’est aussi le mois de tous les dangers. «Les dispositifs de sécurité sont à un niveau élevé car la menace l’est toujours», confie-t-on place Beauvau. Dans un télégramme transmis à la mi-mars aux préfets, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a demandé un renforcement de tous les lieux de culte à l’approche des différentes fêtes religieuses. Concernant les musulmans, le membre du gouvernement a demandé une attention particulière à partir du coucher du soleil, moment de la rupture du jeûne, «potentiellement susceptible de générer des rassemblements importants de personnes sur la voie publique et aux abords des mosquées». Mais ce vendredi, c’est une fonctionnaire administrative du commissariat de Rambouillet (Yvelines) qui a été tuée par un trentenaire tunisien, radicalisé pendant le confinement. L’homme aurait, selon nos informations, visionné des vidéos de djihadistes avant […]
Le Figaro via fdesouche -
Toulouse : 150 personnes disent « stop » à l’islamophobie
Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021
24 Avril – “Toulouse marche contre l’islamophobie“. Cette banderole a été déployée par plus d’une centaine de manifestants, hier, après-midi au niveau de l’arrêt métro Capitole à Toulouse. Le collectif Palestine vaincra, Attac 31, le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), CGT Educ’action31 ainsi que d’autres associations et collectifs ont lancé cet appel à mobilisation. Ces manifestants se sont rassemblés pour dénoncer “une islamophobie ambiante en France” et exiger le retrait du projet de loi séparatisme.
Tour à tour, au micro, les différents représentants de ces collectifs, associations et mouvements politiques ont pris la parole et ont fait état des nombreuses mesures qui vont à leur sens à l’encontre de la laïcité en France avant de faire un écho sur le drame qui s’est noué, ce vendredi, à Rambouillet où une fonctionnaire de police a été tuée dans une attaque terroriste. En milieu de journée, la mobilisation s’est terminée, dans le calme.
La Dépêche via fdesouche
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Ce n’est pas la faute de l’islam, c’est la faute au confinement
Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021
Ils ont toujours beaucoup d’imagination pour éviter de remettre en cause la politique immigrationniste ou l’islam :
Jamel G., selon les papiers d’identité retrouvés sur lui, était un ressortissant tunisien de 36 ans. Originaire de la région de Sousse, dans l’est de la Tunisie, il était arrivé en France en 2009 et avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié, puis d’une carte de séjour en décembre 2020, valable jusqu’en décembre 2021, selon le Parquet national antiterroriste (Pnat).
Selon une source proche de l’enquête, ce chauffeur-livreur de profession vivait depuis quelques années dans une maison excentrée de Rambouillet. D’après un proche de sa famille en Tunisie interrogé par l’AFP, il habitait chez sa tante et avait au moins deux frères, dont un jumeau. Une source policière a toutefois confié au Figaro que le trentenaire résidait chez son père, qui se trouve d’ailleurs actuellement en garde à vue.
L’homme avait résidé auparavant à Thiais, dans le Val-de-Marne. L’un de ses anciens voisins, interrogé par l’AFP, qui l’a connu à cette adresse deux mois en 2017, se souvient d’un homme «musulman» mais «pas pratiquant», vivant seul et travaillant dans le bâtiment. Il était inconnu des services de police et de renseignements, comme l’a confirmé une source policière au Figaro.
«C’était quelqu’un de calme, pas particulièrement pieux», a indiqué à l’AFP un cousin, Noureddine, qui reconnaît ne pas avoir pas vu Jamel G. depuis longtemps. L’un de ses beaux-frères a indiqué à un correspondant de l’AFP qu’il était revenu deux semaines en Tunisie récemment. Une cousine trentenaire, Sameh, le décrit comme un homme dépressif, elle indique qu’il était suivi par un psychiatre en France.
Sur sa page Facebook, le trentenaire, aux cheveux plutôt courts comme sa barbe, écrit être originaire de M’saken, ville de 60.000 habitants sur la côte est de la Tunisie. Pendant plusieurs années, ses posts publics sont consacrés en nombre à la dénonciation de l’islamophobie ou des propos de différents polémistes.
Mais à partir d’avril 2020, au moment du confinement, il ne publie plus que de pieuses prières et des versets coraniques. Le 24 octobre, huit jours après l’assassinat du professeur de collège Samuel Paty par un islamiste, il avait changé sa photo de profil et rejoint une campagne intitulée: «Respectez Mohamed prophète de Dieu». Les enquêteurs sont en train d’analyser tous ses supports numériques (téléphones, ordinateurs…). Ils cherchent également à déterminer si Jamel G. a bénéficié d’un soutien, matériel ou idéologique.
Au moment de l’attaque, l’assaillant aurait crié «Allah Akbar» avant de poignarder mortellement la fonctionnaire de police. Cet élément ainsi que «des éléments de repérages», la qualité de la victime – une fonctionnaire de police, conformément aux mots d’ordre récurrents du groupe djihadiste État islamique (EI), ont conduit le parquet antiterroriste à se saisir de l’enquête après «une évaluation (…) par la Sous-direction antiterroriste (Sdat)», a justifié le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard.
Le mode opératoire, une attaque à l’arme blanche, a également motivé cette saisine. L’enquête a été confiée conjointement à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
En attendant d’en savoir plus, le sinistre de l’Intérieur a fait savoir que la sécurité allait être renforcée devant les commissariats et les gendarmeries du pays.
Source : lesalonbeige