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  • Limoges : après l’agression d’une médecin, des praticiens ont fermé leur cabinet médical vendredi pour dénoncer l’insécurité galopante. “On ne se sent plus en sécurité”

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2021

    Il y a une semaine, une médecin du cabinet médical de Beaubreuil, à Limoges, a été agressée par un homme armé. Ce vendredi 22 octobre, les praticiens de son cabinet ont décidé de laisser les portes closes pour protester contre les tensions montantes dans le quartier.

    C’est l’agression de trop. Vendredi dernier, alors qu’elle sort de son cabinet vers 20h30, Christine Bessaudou, médecin, est agressée par un individu armé, qui lui vole sa voiture. Une semaine plus tard, dans le quartier de Beaubreuil à Limoges, où les faits se sont déroulés, le docteur Bessaudou ne recevra aucun patient et aucun de ses sept collègues praticiens du cabinet n’exercera ce vendredi 22 octobre.

    Les patients trouveront porte close et une affichette explicative. Mais ce n’est pas contre eux que l’action est dirigée. « Il y a des gens formidables dans ce quartier, des gens très sympathiques, assure Christina Alvès, infirmière libérale qui y exerce depuis 16 ans. Mais ce quartier s’est dégradé, et lorsqu’on commence tôt ou qu’on finit tard, on ne se sent plus en sécurité. »

    Le trafic de drogue monte en puissance

    La montée en puissance du trafic de drogue est la cause de ces tensions désormais permanentes. (…)

    Les jeunes occupent les parkings, les halls de certains immeubles et font que les praticiens appréhendent de traverser le quartier, ou même d’intervenir à domicile. « D’ailleurs, dans certains immeubles, on n’y va plus après 18 heures, reprend l’infirmière, qui a elle-même subi une agression il y a une dizaine d’années. Les pompiers hésitent à venir, SOS médecins ne passe plus dans ces immeubles-là. »

    (…) Le Populaire via fdesouche

  • La majorité sénatoriale renonce à défendre la famille

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2021

    La majorité sénatoriale renonce à défendre la famille

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    Pourtant classé à droite, le Sénat vote à gauche pour l’adoption d’enfants par des couples pacsés et concubins. La majorité sénatoriale abandonne la défense de l’orphelin et laisse passer le détournement de l’adoption au profit des commanditaires d’enfants par GPA. La Manif Pour Tous s’indigne :

    Permettre à des couples non mariés d’adopter est contraire à la finalité même de l’adoption qui implique d’une part un engagement pour la vie, et qui d’autre part s’appuie nécessairement sur l’existence de dispositions prévues en cas de séparation du couple. Or ce n’est le cas ni dans le contexte du PACS, ni dans celui du concubinage. Alors même que le nombre de couples agréés pour adopter est nettement plus important que le nombre d’enfant à adopter, il faut chercher ailleurs l’objectif de cette proposition de loi. Comme l’ont clairement dit Olivier Véran et Coralie Dubost, ce texte permettra à la compagne ou au compagnon du père biologique d’un enfant né de GPA à l’étranger d’adopter l’enfant. Certes, cette possibilité existe déjà pour les couples mariés, mais l’ouvrir aux couples non mariés ne peut que favoriser le développement de l’exploitation des mères porteuses.

    Comme tout le marketing des agences de GPA en atteste, le fait de pouvoir faire établir sa filiation est un enjeu majeur pour les candidats à la commande d’enfants : dès lors que tous les couples pourront se faire reconnaître comme parents – l’un comme père, l’autre comme adoptant – le nombre de GPA pratiquées, et donc l’exploitation des femmes et le trafic international d’enfants, sera exponentiel.

    Ludovine de La Rochère dénonce :

    « Hélas, malgré nos alertes répétées, aucun amendement de suppression ou d’amélioration du texte n’a été déposé en vue de la séance publique. La majorité sénatoriale a laissé passer une mesure portant gravement atteinte au besoin de sécurité et de stabilité des enfants, plus encore lorsqu’ils sont déjà blessés par la vie. C’est plus que regrettable ; c’est une faute politique. Ce décalage entre les tambouilles politiciennes et la réalité ne peut qu’accentuer la fracture démocratique et la défiance entre les 18 millions de familles et ceux qui prétendent les défendre ». « Ils en paient aujourd’hui le prix fort dans l’opinion. Ils doivent se ressaisir. Et vite ! » poursuit-elle.

     

    Source : lesalonbeige

  • Un secret intouchable : celui de la franc-maçonnerie.

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2021

    Auteur : 

    Le secret maçonnique est-il « plus fort que la loi de la République » ?

    Une polémique au sujet du secret de confession vient de faire ces dernières semaines les choux gras des médias. Qu’a-t-on reproché à Mgr de Moulin-Beaufort[1] ? D’avoir affirmé sur le plateau de Franceinfo que « le secret de confession était plus fort que les lois de la République »[2], ce qui est une évidence si l’on a l’humilité et le bon sens de reconnaître que la République française n’est pas Dieu et que ce régime gouvernant la France, apparu il y a un peu plus de deux siècles dans les circonstances que l’on sait, doit comme toute œuvre humaine respecter et prendre en compte des lois divines qui la dépassent [3]. Tel n’est pourtant pas l’avis du gouvernement, puisque par la bouche de son porte-parole M. Gabriel Attal, celui-ci a enfoncé le clou en affirmant qu’ « il n’y a rien de plus fort que les lois de la République. » [4] Rien de plus fort, vraiment ? On peut en douter tant il est vrai que l’on n’a jamais vu la République oser s’attaquer à un certain type de secret : celui de la franc-maçonnerie. Cette secte tant de fois condamnée par les papes paraît pourtant être l’une des plus pernicieuses au bien de la société toute entière…

    Rien à cacher ?

    Il est courant de voir dans des journaux, illustrés et émissions de toutes sortes des mises en scène fort avantageuses des diverses obédiences maçonniques. Telle, par exemple, celle parue le samedi 16 octobre 2021 dans le quotidien régional Presse-Océan qui relate une réunion de « l’Association fraternelle d’études sociales », un regroupement de 26 loges maçonniques. Son président nous apprend qu’« au total nous sommes environ 2000 francs-maçons en Loire-Atlantique » et la pratique, si l’on peut dire, est active puisque l’association vient d’inaugurer dans la périphérie de Nantes un nouveau temple de 5000 m2. Pas moins de cinq grand-maîtres furent présents à cet évènement [5]. Le président en profite pour nous assurer « qu’il n’y a rien de secret dans la franc-maçonnerie », que nous avons affaire là à des rites qui « partagent le même idéal d’universalisme et d’humanisme ». Circulez, il n’y a rien à voir. Trop honnête, le journaliste ne peut s’empêcher de noter tout de même : « mais difficile de leur faire dire ce qui se passe lors des réunions ».

    Des articles comme celui-ci ne manquent pas, toujours on y met en exergue la philanthropie des francs-maçons, toujours on prend soin d’éloigner les soupçons de secte en présentant la franc-maçonnerie comme une respectable école de pensée. La main sur le cœur, Catherine Lyautey, grande maîtresse de la Grande Loge féminine de France, se veut rassurante, « nous ne sommes pas une société secrète mais discrète. La preuve : régulièrement nous ouvrons les portes de nos temples, nous publions nos travaux, nous nous exprimons. Le secret c’est de l’initiation, il n’est pas communicable, c’est de l’ordre de l’intime. » Les loges de son obédience travaillent, dit-elle, « sur la défense des droits des femmes, du principe de laïcité, et sur les questions d’éthique et de bioéthique. Les parlementaires sont parfois amenés à nous interroger… »[6]

    N’en croyez rien ! 

    Tel est le cri d’alarme lancé par l’Eglise, avant évidemment que n’arrive le funeste concile Vatican II. Loin d’être naïve, voici ce qu’elle nous dit par le pape Léon XIII[7] au sujet des loges et de leur secret : « Bien qu’à présent elles aient l’apparence de ne pas aimer à demeurer cachées, bien qu’elles tiennent des réunions en plein jour et sous les yeux de tous, bien qu’elles publient leurs journaux, toutefois, si l’on va au fond des choses, on peut voir qu’elles appartiennent à la famille des sociétés clandestines et qu’elles en gardent les allures. Il y a, en effet, chez elles, des espèces de mystères que leur constitution interdit avec le plus grand soin de divulguer, non seulement aux personnes du dehors, mais même à bon nombre de leurs adeptes. A cette catégorie, appartiennent les conseils intimes et suprêmes, les noms des chefs principaux, certaines réunions plus occultes et intérieures ainsi que les décisions prises, avec les moyens et les agents d’exécution. A cette loi du secret concourent merveilleusement : la division faite entre les associés des droits, des offices et des charges, la distinction hiérarchique savamment organisée des ordres et des degrés et la discipline sévère à laquelle tous sont soumis. La plupart du temps, ceux qui sollicitent l’initiation doivent promettre, bien plus, ils doivent faire le serment solennel de ne jamais révéler à personne, à aucun moment, d’aucune manière, les noms des associés, les notes caractéristiques et les doctrines de la Société. C’est ainsi que, sous les apparences mensongères et en faisant de la dissimulation, une règle constante de conduite, comme autrefois les manichéens, les francs-maçons n’épargnent aucun effort pour se cacher et n’avoir d’autres témoins que leurs complices. »

    Le but de ce secret est de cacher ce qu’est véritablement la franc-maçonnerie. Un paravent de respectabilité vient couvrir des objectifs connus par les seuls initiés : « Leur grand intérêt étant de ne pas paraître ce qu’ils sont, ils jouent le personnage d’amis des lettres ou de philosophes réunis ensemble pour cultiver les sciences. Ils ne parlent que de leur zèle pour les progrès de la civilisation, de leur amour pour le pauvre peuple. A les en croire, leur seul but est d’améliorer le sort de la multitude et d’étendre à un plus grand nombre d’hommes les avantages de la société civile. Mais à supposer que ces intentions fussent sincères, elles seraient loin d’épuiser tous leurs desseins. En effet, ceux qui sont affiliés doivent promettre d’obéir aveuglément et sans discussion aux injonctions des chefs, de se tenir toujours prêts sur la moindre notification, sur le plus léger signe, à exécuter les ordres donnés, se vouant d’avance, en cas contraire, aux traitements les plus rigoureux et même à la mort. […] Or, vivre dans la dissimulation et vouloir être enveloppé de ténèbres ; enchaîner à soi par les liens les plus étroits et sans leur avoir préalablement fait connaître à quoi ils s’engagent, des hommes réduits ainsi à l’état d’esclaves ; employer à toutes sortes d’attentats ces instruments passifs d’une volonté étrangère ; armer pour le meurtre des mains à l’aide desquelles on s’assure l’impunité du crime, ce sont là de monstrueuses pratiques condamnées par la nature elle-même. La raison et la vérité suffisent donc à prouver que la Société dont Nous parlons est en opposition formelle avec la justice et la moralité naturelles. »

    Ce secret a une finalité ultime bien définie : « Il s’agit pour les francs-maçons, et tous leurs efforts tendent à ce but, il s’agit de détruire de fond en comble toute la discipline religieuse et sociale qui est née des institutions chrétiennes et de lui en substituer une nouvelle façonnée à leurs idées et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntées au naturalisme. »

    Trop occupé à remettre en cause la loi divine du secret de confession, le gouvernement semble ignorer totalement le danger ô combien plus réel pour la société que représente le secret maçonnique. Cela s’expliquerait-il par quelques collusions en haut lieu ? Une question qui assurément dérange…

    Abbé Gabin Hachette, prêtre de la FSSPX

    Source : La Porte Latine du 21 octobre 2021

    Notes de bas de page

    1. Président de la Conférence des Evêques de France.
    2. Intervention sur Franceinfo le mercredi 6 octobre 2021.
    3. « Selon eux, les lois divines doivent régler la vie et la conduite des particuliers, mais non celle des Etats ; il est permis dans les choses publiques de s’écarter des ordres de Dieu et de légiférer sans en tenir aucun compte ; d’où naît cette conséquence pernicieuse de la séparation de l’Église et de l’État. Mais l’absurdité de ces opinions se comprend sans peine. Il faut, la nature même le crie, il faut que la société donne aux citoyens les moyens et les facilités de passer leur vie selon l’honnêteté, c’est-à-dire selon les lois de Dieu, puisque Dieu est le principe de toute honnêteté et de toute justice ; il répugnerait donc absolument que l’État pût se désintéresser de ces mêmes lois ou même aller contre elles en quoi que ce soit. » Léon XIII, Lettre Encyclique Libertas Praestantissimum du 20 juin 1888.
    4. Jeudi 7 octobre, conférence de presse d’après-Conseil des ministres.
    5. Grand Orient de France, Grande Loge de France, Droit Humain, Grande loge féminine de France, Grande loge traditionnelle et symbolique Opéra
    6. Quotidien Presse-Océan du samedi 16 octobre 2021.
    7. Léon XIII, Lettre Encyclique Humanum Genus du 20 avril 1884.
  • Un peu avant Mai 68, à Toulouse, une soirée avec Georges Brassens

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2021

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    De Bernard Antony :

    J’ai été très heureux ce matin de lire les papiers du Figaro et de Valeurs actuelles consacrés au centenaire de la naissance de Georges Brassens.

    Grand et bel article dans Valeurs, d’Olivier Moulin, et dans le Figaro, outre les deux pleines pages sous le titre « Chanteur indémodable », le bel éditorial du jamais décevant Étienne de Montety : « Le bonhomme Brassens ».

    Ont remonté mes souvenirs de la fantastique soirée que nous avions passée jadis avec le merveilleux bonhomme d’abord reçu par nous dans les locaux de notre Fédération des étudiants de Toulouse puis, au Capitole, pour l’introniser « damoiseau d’honneur» dans notre « Gaie confrérie des damoiselles et damoiseaux du Languedoc ».

    Faut-il préciser que notre « gaie confrérie », créée en 1967 était tout sauf… une confrérie de « gays ».

    Ceux qui veulent savoir à quoi nous ressemblions n’ont qu’à aller feuilleter le cahier photos du premier tome de « Bernard Antony raconte ». Ils y verront comment l’extraordinaire et très inventif Philippe Duchet, futur époux de Ghislaine de Cadoudal et beau-père de Marie Le Morvan, avait imaginé les habits de cérémonie (toge, faluche traditionnelle, épée…) de cette confrérie aussi truculente que réactionnaire, se voulant à la fois dans l’esprit des troubadours de notre midi et des escholiers chantés par François Villon. Philippe en était le grand-maître, j’en étais le « porte-gonfanon ». Il va de soi que nous étions totalement, radicalement, aux antipodes de la triste engeance soixantuitarde qui, tel un abcès de peste bubonique, purulerait tristement dans certaines facultés à partir de tristes groupuscules néo-bolcheviques.

    Nous, de plus en plus nombreux, nous investissions certes, à l’occasion, toujours joyeusement et gentiment, en chantant le chant des « majos » ou « la coupo santo », les amphis de profs trop misérablement idéologues.

    Faut-il le préciser ici, nous n’avions qu’affection pour nos chers et vénérés professeurs, Louis Jugnet (philosophie politique) et Pierre Montané de la Roque (droit constitutionnel) qui, volontiers, nous tendaient leur micro pour quelques minutes de communion dans l’Amitié Française.

    Je ne sais plus comment Philippe Duchet (qui a rejoint la maison du Père) avait pu réussir à s’entretenir avec Georges Brassens et le persuader de venir parmi nous après un récital, pour une soirée dans notre siège du 11 rue des Gestes, à deux pas du Capitole.

    Toujours est-il qu’en une heure déjà avancée d’une belle soirée d’avril, Philippe, avec le mélange de déférence et d’aimable simplicité qu’il savait adopter en pareil cas, fit entrer ce bon anar de Brassens un peu intimidé parmi une soixantaine de damoiselles et damoiseaux qui ne l’étaient pas moins.

    Et puis, déroulant comme un parchemin, il lut le discours d’accueil qu’il avait ciselé, pas trop long, à la fois respectueux, admiratif et désopilant. Ses mots déclenchèrent vite le bon rire d’un Brassens répondant simplement : « Je me sens bien avec vous ! », non sans regarder préférentiellement les jolis minois de Luce et de Colette…

    Alors, après avoir étanché sa soif avec un frais pastis, il céda sans trop bougonner aux demandes pour quelques-unes de ses chansons, non sans qu’elles soient entrecoupées de ses questions sur ce que nous pensions. Brassens était certes à sa manière un « anar », mais un bon « anar » et manifestement il appréciait notre non-conformisme véritable.je me souviens de l’émotion de l’assistance quand cet anarchiste nous parla avec admiration de saint Louis, disant : «  Ah, si tous les hommes politiques lui ressemblaient un peu… ».

    Mais la soirée n’était pas terminée. Philippe Duchet lui avait bien dit qu’il allait être intronisé dans notre confrérie et il l’avait volontiers accepté. Mais il ne se doutait pas de la façon dont cela allait se dérouler.

    Duchet pria d’abord l’assistance de sortir et de s’ordonner en cortège à la suite des damoiseaux et damoiselles en faluche, ces dernières préposées à marcher avec le chanteur dans une courte pérégrination vers la cour intérieure du Capitole. Là, à la lueur des torches qui furent allumées, Philippe Duchet se mit à lire (juste devant la plaque commémorant l’exécution en ce lieu du duc de Montmorency condamné par un édit de Richelieu pour crime de duel) un très solennel et aussi très épique et ébouriffant discours d’intronisation.

    C’est alors qu’arrivèrent sur les lieux une patrouille de deux policiers tenant deux chiens en laisse. Que diable signifiait ce rassemblement inaccoutumé, durent-ils se demander et sans doute, que devaient-ils faire ?

    Duchet, nullement démonté, s’adressa ainsi à eux : « Messieurs les archers du guet, mettez-vous au garde à vous ! ». Et ils obtempérèrent, leurs chiens sagement assis à côté d’eux. Des policiers au garde à vous devant Brassens, il fallait le voir pour le croire !

    Et Brassens nous confia ensuite, joyeusement, qu’il n’aurait jamais imaginé pareille scène.

    Duchet termina alors son éloge et puis intima à Brassens l’ordre de tremper ses lèvres dans une coupe de vin de Gaillac, et puis, cela fait, le frappant sur les deux épaules du rouleau de son discours, avant de le lui remettre, le déclara, de sa voix puissante, Damoiseau d’honneur de la Gaie confrérie des damoiselles et damoiseaux du Languedoc.

    Brassens, à nouveau un brin intimidé, exprima sa gratitude pour cette intronisation et émit alors tout simplement le désir d’aller avec nous se désaltérer pour de bon ; non sans saluer gentiment, d’un signe de tête, « les archers du guet » qui certes n’avaient pas attendu notre autorisation pour se mettre au repos mais qui, aimablement, continuaient à veiller sur nous.

     

    Source : lesalonbeige

  • « Suggérer à un garçon qu’il peut facilement devenir une fille et inversement, ceci est déjà à la limite du crime contre l’humanité »

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2021

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    De Vladimir Poutine, le 21 octobre :

    « Les bouleversements socio-culturels qui ont lieu aux Etats-Unis et en Europe occidentale ne relèvent évidemment pas de nos affaires. Nous ne nous en mêlons pas. Certains, dans les pays occidentaux, sont sûrs que l’effacement agressif de pages entières de leur propre histoire, la discrimination inversée de la majorité dans l’intérêt des minorités ou la demande d’abandonner la compréhension habituelle de ce que sont des choses aussi fondamentales que la mère, le père, la famille ou même les différences entre les sexes, constituent, selon eux, les jalons du mouvement vers un renouveau social. Encore une fois, je tiens à le souligner : c’est là leur droit, nous ne nous en mêlons pas, nous leur demandons seulement de ne pas trop s’en prendre à notre maison. »

    « Dans un certain nombre de pays occidentaux, le débat sur les droits des hommes et des femmes s’est transformé en une parfaite fantasmagorie. Ceux qui se risquent à dire que les hommes et les femmes existent toujours et que c’est un fait biologique sont presque ostracisés. “Parent numéro un” et “parent numéro deux”, “parent qui a donné naissance” au lieu de “maman”, l’interdiction d’utiliser l’expression “lait maternel” et son remplacement par “lait humain” – afin que les personnes incertaines de leur propre identité sexuelle ne soient pas contrariées. »

    « Suggérer à un garçon qu’il peut facilement devenir une fille et inversement, ceci est déjà à la limite du crime contre l’humanité et tout ça au nom et sous la bannière du progrès. »

     

    Source : lesalonbeige