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  • 25 octobre 732 : Charles Martel arrête les Arabes à Poitiers

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    En 711, soit à peine 80 ans après la mort de Mahomet, les musulmans atteignent l’Espagne, qu’ils traversent en 8 ans, et occupent en 719 le Languedoc actuel. Cette province, entre les Pyrénées et le Rhône, s’appelle alors Gothie, en souvenir des Wisigoths, ou Septimanie, d’après ses sept villes principales (sa capitale Narbonne, Agde, Béziers, Nîmes, Maguelone, Lodève et Elne). Arrêtés à Toulouse, en 721, par le duc Eudes d’Aquitaine, ils tournent alors leurs regards vers l’Est et prennent Nîmes, Arles et Autun en 725.

    En 732, ils s’approchent de Tours, la ville de Saint Martin.
    A la demande de l’Eglise, le Duc des Francs, Charles Martel, vient au secours d’Eudes, Duc d’Aquitaine. Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes musulmanes, à Moussais, à proximité d’une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers. Le samedi 25 octobre 732, 1er jour du ramadan, les envahisseurs musulmans se décident à engager la bataille, au nord de Poitiers. Leur chef, Abd al-Rahman, est tué pendant la bataille. Sa cavalerie, légère et désordonnée, se heurte au « mur infranchissable » que forment les guerriers francs, à pied, mais disciplinés et bardés de fer. De son côté, Charles Martel attribue sa victoire à l’intercession de la Vierge Marie et parle des anges combattant aux côtés des Francs.

    C’est son fils, le roi Pépin le Bref, qui va libérer Narbonne et chasser définitivement les musulmans de Septimanie en 759, trois ou quatre décennies après leur arrivée.

     

    Source : contre-info

  • Football : La police ouvre une enquête sur une banderole contre le propriétaire saoudien de Newcastle

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021

    La police ouvre une enquête sur une banderole contre le propriétaire saoudien de Newcastle

     

    Samedi, lors de la réception de Newcastle (1-1), des supporters de Crystal Palace avaient déployé une banderole critiquant la prise de contrôle de Newcastle par un fonds d’Arabie saoudite.

     

    La police britannique a ouvert une enquête sur une banderole déployée par des supporters de Crystal Palace lors de la réception de Newcastle (1-1) samedi, critiquant la prise de contrôle des Magpies par l’Arabie saoudite. Le rachat du club a été financé à 80 % par le Fonds d’investissement public (PIF) d’Arabie saoudite, présidé par le prince héritier Mohammed bin Salman.

    (…)

    La police métropolitaine de Croydon a indiqué sur Twitter avoir ouvert une enquête : « Le samedi 23 octobre, la police a été informée d’une banderole offensante déployée par des fans de Crystal Palace. Les agents évaluent les informations et mènent des enquêtes. Toute allégation d’abus raciste sera prise très au sérieux. »

    www.lequipe.fr via fdesouche

  • La Bibliothèque humaine : on emprunte un immigré ou un trans comme on emprunte un livre, par Marie Delarue.

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021

    C’est une initiative enchanteresse, à en croire les propos élogieux du Monde et de France Info qui fêtent son vingtième anniversaire. Son nom : la Bibliothèque humaine.

    L’idée est née à Copenhague, nous dit-on ; elle a germé dans l’esprit de quatre Danois membres du groupe « Stop the violence ».

    bibliothèque humaine,immigré,livre,transC’est facile : on emprunte un humain comme on emprunte un livre. Mais attention, pas pour la journée ou la semaine. Non, seulement pour une demi-heure, après, cela pourrait être pénible.

    Le principe est simple. Comme on choisit son livre dans le rayon des romans romantiques, de la science-fiction, de l’histoire ou des essais, on sélectionne : gay, immigré, handicapé, trans, alcoolique, femme battue, mari battant, etc. « Dans cette bibliothèque humaine, vous pouvez emprunter un livre humain 30 minutes, discuter dans un espace sûr avec une personne que l’on ne rencontrerait jamais normalement et lui poser toutes les questions, même les plus intimes, concernant le handicap, le deuil, les addictions », dit la pub. C’est chouette, n’est-ce pas ?

    Notez que l’intention est tout ce qu’il y a de plus louable : « Le projet reprend fidèlement le vocabulaire d’une bibliothèque classique mais dans notre cas les livres sont des humains en chair et en os et les lectures des échanges. Le temps d’une conversation, les lecteurs ont la possibilité de faire face aux stéréotypes, aux doutes, aux idées reçues… et surtout d’aller au-delà de leurs différences », lit-on sur leur site. Définition de l’objectif : « La Bibliothèque humaine est une plate-forme de dialogue entre des lecteurs et des livres humains autours de la discrimination dans le but de combattre l’exclusion des personnes parfois marginalisées par notre  à cause de leur différence. »

    L’emprunteur comme l’emprunté ont tout à y gagner : le voyeurisme ET la bonne conscience pour l’un, l’authentification d’un statut de victime pour l’autre. « Il s’agit de contribuer à une  plus ouverte, les témoignages permettant de cultiver moins d’appréhension vis-à-vis de l’autre et de remettre en question ses préjugés. »

    On voit que la « dame patronnesse » tant caricaturée revient par la petite porte… « On a ses pauvres à soi », chantait Jacques Brel. Ici aussi : on choisit la victime d’ ou l’immigré afghan, aujourd’hui l’enfant du placard, demain le physiquement discriminé ; pas trop amoché, quand même, pour ne pas faire  aux enfants. À ce propos, on ne sait pas s’il y a des « livres humains » interdits aux enfants, ni même des alertes : la victime de tournante interdite aux moins de 13 ans, par exemple, ou le proxo repenti interdit aux moins de 18.

    Pour un esprit curieux, cela pose des tas de questions. Celles-ci, notamment. Au bout de combien de temps sort-on des rayonnages, ou bien fait-on comme les livres qui demeurent sur l’étagère : une vie entière à raconter la même histoire ? Est-on payé pour raconter sa vie ? Y a-t-il quelqu’un qui vérifie l’authenticité du récit ? Et si l’on emprunte un SDF, passe-t-il à la douche avant l’entretien ou doit-il demeurer tel qu’en lui-même, couvert de crasse et de vermine, pour ajouter du piment à son récit de vie ? Et le plus important : quand devient-on « autre chose » que son passé ?

    Le statut de victime est aujourd’hui le plus envié dans notre société. Chacun s’y vautre pour mieux se dédouaner de toute responsabilité quant à son avenir. La culture  en est l’apothéose et la Bibliothèque humaine son instrument, rendant chacun prisonnier à jamais de son histoire toujours réinventée. C’est-à-dire tout sauf un être libre.

    Summum de la pensée Bisounours, la Bibliothèque humaine permet, en effet, de s’offrir une belle âme en trente minutes. L’idée est à décliner, les espaces ne manquent pas et, sur le principe des bars à chats, on pourrait imaginer emprunter un enfant ou un parent, histoire, là encore, « de cultiver moins d’appréhension vis-à-vis de l’autre ».

     

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

     

     

  • Halloween à toutes les sauces, même pour récolter votre sang sans pass sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021

    Auteur : 

    Le message ci-dessus est envoyé par mail à quantité de Français par l’EFS (Etablissement Français du Sang). Le lecteur appréciera le mauvais goût de cet organisme gouvernemental qui succombe au culte de l’horreur à l’occasion d’Halloween.

    On notera aussi une fois de plus l’insistance de cet organisme gouvernemental à préciser qu’il n’est pas besoin de pass sanitaire pour donner votre sang. Selon que c’est pour remplir une pochette de sang bien rouge ou pour boire un petit verre de rouge, le pass sanitaire n’aurait pas le même sens ? Ce Covid semble très sélectif…

     

    Source : medias-presse.info

  • Grand remous en Italie : Pour l’Institut Supérieur de la Santé italien, le covid a tué moins que la grippe

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2021

    Les médias sont gênés, les politiciens ennuyés, l’info quasi occultée mais pas tout-à-fait :

    « selon le nouveau rapport (qui n’avait pas été mis à jour depuis juillet) de l’Institut supérieur de santé sur la mortalité du Covid, révèle le quotidien Il Tempo, le virus qui a mis le monde à genoux aurait tué bien moins qu’une simple grippe. »

    Ce ne sont pas les données publiées par un blog complotiste, mais les statistiques officielles publiées par l’Institut supérieur de Santé italien (ISS) concernant la mortalité du Covid. Un résultat qui fait réfléchir et qui souligne la différence entre « mort du Covid » et « mort avec le Covid ». Selon les données officielles publiées par l’ISS, il semblerait donc que la plupart des décès survenus au cours des deux dernières années de restrictions et de privations soient principalement dus à l’état antérieur des patients. Covid ou pas Covid.

    « Cela semble une déclaration bizarre et des no-vax, continue le journal, mais selon l’échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l’institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi sur les 130 468 décès enregistrés par statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 seraient dus à la puissance du virus lui-même » soit 2,9%.

    Tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l’ISS, leur laissaient donc déjà peu d’espoir. Même 67,7% auraient eu plus de trois maladies contemporaines ensemble, et 18% au moins deux ensemble.

    Selon l’ISS, 65,8% des Italiens qui ne sont plus là après avoir été infectés par le Covid étaient atteints d’hypertension artérielle, c’est-à-dire qu’ils avaient une pression artérielle élevée. 23,5 % souffraient également de démence, 29,3 % ajoutaient du diabète à leurs maux, 24,8 % étaient également atteints de fibrillation auriculaire. Et cela ne suffit pas : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des 5 dernières années ; 15,7% souffraient d’insuffisance cardiaque, plus d’un sur dix était également obèse, plus d’un sur dix avait subi un accident vasculaire cérébral, et d’autres encore, bien que dans des proportions moindres, souffraient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes. 

    Puisqu’il est clair, d’après les données du rapport de l’Institut supérieur de la santé, que l’incidence de Covid sur le total des décès est inférieur à 3%, « dès lors, l’alarmisme qui a conduit une certaine ligne politique à pousser avec tant d’insistance sur le vaccin et sur les restrictions considérées comme l’apanage de s’affranchir de l’urgence sanitaire ne s’explique pas, commente un autre quotidien, Il Giornale d’Italia. Données en main, la poussée anxieuse des institutions vers l’obligation vaccinale de facto et l’obligation du laissez-passer vert, ne semblent pas se refléter dans les chiffres. »

    « Le nouveau rapport de l’ISS a été long à venir, souligne Il Giornale. L’institut n’avait pas publié de mises à jour depuis juillet et les développements récents suggèrent pourquoi. Justifier près de 24 mois de restrictions et une poussée draconienne vers l’exigence de vaccin de facto à la lumière d’une statistique infinitésimale de 2,9% est au moins embarrassant pour les autorités. »

    En effet, rappelle le quotidien italien, « c’est précisément sur l’alarmisme concernant les décès, et pas seulement des contagions, que les autorités ont fondé leurs décisions qui ont parfois conduit à la privation de liberté individuelle. Beaucoup d’entre elles sont encore en vigueur aujourd’hui. (…) En fait, il semble qu’aux étages supérieurs les chiffres présentent moins d’intérêt que les décisions péremptoires concernant l’imposition du passeport vert. »

    « Si donc la situation semble ainsi moins alarmante que ce qui est parfois décrit, comment justifier les restrictions encore en vigueur ? » s’interroge le journaliste qui conclut :

    « Pour le dire comme Shakespeare, dans de nombreux cas, au détriment de la liberté de beaucoup, et s’appuyant sur le sort (quoique tragique) de quelques-uns, on a fait ‘’beaucoup de bruit pour rien’’. »

    On peut supposer qu’en France, la situation concernant la mortalité du covid ou avec le covid est sensiblement la même en pourcentage. « Beaucoup de bruit pour rien » donc. Plus vraisemblablement, comme en Italie, beaucoup de bruit pour rien selon une lecture sanitaire, à l’inverse, politiquement parlant beaucoup de bruit avantageux pour imposer un contrôle à la chinoise de la population, une gouvernance mondiale, et faire avancer l’agenda de Davos.

    Que le passe sanitaire n’ait rien de sanitaire mais tout du politique, et de la politique dictée par les cercles mondialistes, nous le savions, le rapport de l’ISS italien ne fait qu’en apporter une preuve supplémentaire.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info