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  • « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » : slogan éculé et mensonger

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

    « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » : slogan éculé et mensonger
     

    Par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia ♦ « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire. » Tel est le pont aux ânes des immigrationnistes. Une affirmation constamment répétée depuis un demi-siècle (!) qui mérite un sérieux décryptage. Réfutation en 7 points.

    Un mensonge total

    1– Remarquons d’abord que cet argument s’inscrit dans une stricte logique économique. À supposer qu’il soit vrai (nous démontrerons que ce n’est pas le cas), il devrait être mis en balance avec d’autres facteurs et d’abord avec les conséquences nuisibles de l’immigration en termes d’identité, d’éducation, de sécurité ou encore de budget.

    2– Observons ensuite que les étrangers déjà présents en France ont un taux de chômage plus élevé que la moyenne nationale (18 % pour les étrangers venus d’Afrique contre 7 % pour les Français).

    Il en va de même pour les descendants d’immigrés non européens dont le taux de chômage cinq ans après l’entrée dans la vie active est deux fois plus élevé que celui d’un Français de souche (voir Immigration la catastrophe, que faire, page 46).
    Quitte à garder le slogan « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire », il serait donc plus juste de l’adapter et d’affirmer « les nouveaux immigrés font le travail que les Français et surtout les immigrés plus anciens et les descendants d’immigrés ne veulent pas faire. »

    3– En fait, la réalité est la suivante : l’entrée de nouveaux immigrés, même réguliers et surtout clandestins, fausse le marché du travail.
    L’arrivée d’une main d’œuvre précaire, au départ peu exigeante et souvent clandestine, biaise la concurrence et tire les salaires à la baisse. Ce qui décourage les anciens résidents en France de prendre ces emplois.
    Ceci vaut notamment dans les secteurs de l’hôtellerie/restauration, du bâtiment et des travaux publics, du contrôle et de la sécurité ainsi que des services à la personne.

    4– Nuançons toutefois ce propos. Cette fuite des Français de certains métiers concerne bien davantage les grandes villes que la France périphérique. Cela s’explique par les surcoûts immobiliers dans les grandes métropoles et le fait que les classes populaires de souche ont été refoulées très loin des centres villes. Ainsi le profil du personnel hospitalier et des soignants en EHPAD n’est pas le même en province et dans les grandes métropoles. Et ce alors même que dans les grands ensembles à forte population immigrée l’aide sociale et les trafics assurent souvent des revenus substantiels.

    5– Ceci étant, le recours à une main d’œuvre étrangère – clandestine ou non – n’est pas une fatalité. Bien au contraire il apparaît que les employeurs n’ont pas toujours le libre choix de l’embauche. SOS Racisme a réalisé un test sur les recherches en personnels des entreprises de bâtiment et des travaux publics et déplore que 45 % d’entre elles (45 %, ce n’est pas rien !) auraient aimé pouvoir discriminer à l’embauche selon l’origine en excluant les candidats de type non européen. Preuve s’il en est que l’africanisation de ces métiers n’est pas inéluctable.

    Les particuliers cherchant des aides ménagères ou à domicile se heurtent à la même difficulté d’orientation de leur recrutement. Une difficulté contournée par le personnel offrant ses services et précisant parfois « Français » ou « Dame portugaise ».

    6– L’argument selon lequel « les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » est encore plus faux pour les métiers du contrôle et de la sécurité. Il y a encore 20 à 30 ans, beaucoup de jeunes Français de souche ayant poursuivi des études modestes trouvaient des débouchés comme agents de sécurité. L’idéologie « anti raciste » les a progressivement exclus de ces métiers. Pour une raison simple: en cas de conflit entre un agent de sécurité et une personne contrôlée et refoulée c’est la règle du « deux poids, deux mesures » qui s’applique :

    • l’agent de sécurité européen en conflit avec un Africain ou un Maghrébin sera souvent présumé « raciste » par les médias et les juges.
    • a contrario, c’est le quidam européen en contentieux avec un agent de sécurité africain ou maghrébin qui risquera d’être présumé « raciste ».

    Pour les employeurs, le choix est donc vite fait ! Sans parler du fait que recruter les membres d’une bande de racaille peut servir de police d’assurance…

    Dans ce secteur, il est particulièrement faux de dire qu’on ne trouve pas de Français de souche pour travailler puisqu’ils sont exclus de fait de l’accès à l’emploi !

    7– Ajoutons que les politiques publiques ont pu créer des pénuries artificielles de main d’œuvre : on pense en particulier à la médecine et à la chirurgie dentaire.
    Difficile d’affirmer que personne ne veut être médecin hospitalier ou dentiste, mais le numerus clausus organisé par les gouvernements successifs a créé des pénuries artificielles.

    Recréer une dynamique du travail français

    Voilà qui permet d’affirmer que recréer une dynamique du travail français est possible par un ensemble de mesures :

    • une dissuasion réelle du travail clandestin par un strict contrôle aux frontières et la fermeture administrative des entreprises employant des clandestins ;
    • l’abrogation de la loi Pleven pour rendre aux employeurs le libre choix de leur personnel et recréer un marché d’emploi pour les autochtones ;
    • et ce dans le cadre de la préférence nationale rétablie dans la Constitution ;
    • la révision du code des marchés publics pour y imposer la préférence nationale à l’emploi et la traque des sous-traitants indélicats.

    Cet ensemble des mesures produira mécaniquement une réévaluation de ces métiers (hôtellerie, restauration, sécurité, aides ménagères, aides à la personne, bâtiments/travaux publics) par l’amélioration des conditions et des relations de travail comme par la hausse mécanique des salaires par le jeu de l’offre et de la demande. D’autant que la diminution des coûts sociaux et médicaux du fardeau de l’immigration devrait permettre une baisse des charges sociales.

    Enfin les parcours scolaires devraient accompagner ce mouvement en revalorisant les métiers manuels et de force. Par une réhabilitation de l’apprentissage, de l’enseignement professionnel et de l’exercice physique.

    Jean-Yves Le Gallou
    20/10/2021

     

    Source : polemia

  • 70% des morts du covid en septembre étaient « entièrement vaccinés »

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

    70% des morts du covid en septembre étaient « entièrement vaccinés »

    En Grande-Bretagne et en Suède, selon les chiffres officiels fournis par les gouvernements britannique et suédois.

    En France, c’est secret.

    Ayons une petite pensée au passage pour Colin Powell (l’homme des preuves des armes de destruction massive en Irak), décédé récemment du Covid, alors qu’il était tout à fait vacciné.

     

    Source : lesalonbeige

  • Signe de l’appauvrissement vécu par une partie de la population, seuls 39% Français s’estiment en capacité d’épargner à la fin du mois

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

    D’après une enquête Ifop du JDD  sur leur capacité à épargner, seuls 39% des Français s’affirment en capacité de mettre de l’argent de côté après avoir payé toutes leurs dépenses contraintes (logement, alimentation, etc.). C’est 5 points de moins qu’en 2014 (44% à l’époque), et surtout 15 points de moins qu’en 2010 (54%).  Cet effondrement de la capacité d’épargner, s’il peut en partie s’expliquer par le basculement d’une grande partie de nos modes de consommation vers le régime de l’abonnement, témoigne surtout de l’appauvrissement vécu par une partie de la population.

    Logiquement, la capacité des Français à épargner varie principalement selon leur niveau de vie : 71% des catégories aisées s’affirment en mesure de mettre de l’argent de côté en fin de mois, ce taux s’effondrant à mesure qu’on progresse vers les plus démunis, pour atteindre seulement 21% chez les catégories pauvres, gagnant moins de 900 euros mensuels par personne au foyer.

    On observe cependant la fragilité d’autres publics, plus marqués encore par la dégradation de la capacité d’épargne à l’œuvre chez l’ensemble des Français. Ainsi, seulement 31% des femmes se disent en mesure de mettre de l’argent de côté (contre 47% des hommes) : elles étaient 40% en 2014. Mal lotis, employés (33%, -10 points) et ouvriers (23%, -15 points) figurent aussi parmi ceux qui ont le plus perdu de capacité d’épargne.

    Le JDD via fdesouche

  • Condamné pour terrorisme, il refuse les tests PCR, préalable nécessaire à son expulsion vers le Maroc

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

    Tribunal de Lille: l’étrange course contre la montre entre le condamné pour terrorisme et la justice

    Un géant au crâne rasé et au phrasé impeccable. Dans une vie idéale, Mohamed Achir, 30 ans, aurait dû être éducateur. Il est d’ores et déjà titulaire d’un DEUG de sociologie. Aux magistrats, cet homme ayant accompli, ces cinq dernières années, un immense tour de France des prisons françaises, décrit son parcours d’un ton posé. Achir personnifie une certaine forme de gâchis. Du parcours éclairé d étudiant au sentier escarpé de l’action clandestine. Condamné pour terrorisme en 2019, Achir, arrivé du Maroc à l’âge de cinq mois, a été frappé d’un arrêté ministériel de reconduite à la frontière à la veille de sa libération, en mai dernier. Depuis, il se bat comme un acharné pour éviter d’embarquer dans un avion pour le Maghreb. (…)

    Crise du Covid oblige, un test PCR négatif est obligatoire avant tout embarquement sur un vol. Entre juin et septembre, le jeune Marocain, placé au CRA de Lesquin, en a déjà refusé quatre. Couvé par Olivier Cardon, son avocat, le contrevenant annonce sa stratégie. Avec son défenseur, il a contesté son expulsion devant le tribunal administratif de Paris. Celui-ci ne s’est pas encore prononcé. Loin de là. « Si je suis reconduit à la frontière et que la justice me donne ensuite raison, la France ne m’accordera pas de visa de retour », anticipe Achir, lucide. D’où cette obstruction délibérée afin d’être préservé d’une éventuelle victoire à la Pyrrhus.

    www.lavoixdunord.fr via fdesouche

  • Au Pays basque, malgré l’intensification des contrôles, les migrants continuent de franchir la frontière franco-espagnole, plus de 16.500 entrées irrégulières en 2021 (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

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    21/10/2021

    REPORTAGE – Après la mort de trois migrants sur les voies ferrées près de Saint-Jean-de-Luz la semaine dernière, Samy, Anas, Mohammed et Ali, originaires du Maghreb, tentent de traverser coûte que coûte la frontière franco-espagnole en empruntant les voies ferrées, entre Irun et Bayonne.

    Malgré une chaleur approchant les 30 degrés ce dimanche 17 octobre, quatre hommes, au bout d’un quai, se tiennent recroquevillés, capuches enfoncées sur la tête, sans échanger une parole. Leur regard est tourné vers l’autre côté du rivage de la Bidassoa, le fleuve séparant Irun, en Espagne, et Hendaye, dans les Pyrénées-Atlantiques. Machinalement, les quatre hommes s’échangent une bouteille d’eau et se débarbouillent le visage. Samy, originaire d’Algérie, et Ali, originaire du Maroc, tentent de regagner la France, d’où ils ont été expulsés quelques mois plus tôt. Tandis qu’Anas et Mohammed, arrivant ensemble de Casablanca après cinq mois de marche, souhaitent continuer leur périple jusqu’au Canada. Mais aujourd’hui, un but les réunit : celui de passer la frontière pour entrer sur le territoire français.

    (…) Le Figaro 

     

    17/10/2021

    Plus de 16 500 entrées irrégulières se sont faites par l’Espagne depuis janvier 2021. Le Pays basque est devenu un important point de passage. Deux migrants sont morts noyés dans le fleuve séparant les deux pays. Le nombre de clandestins algériens est en forte augmentation.

    Plusieurs migrants veulent tenter coûte que coûte de passer de l’autre côté de la frontière franco-espagnole à Irun. “On reste là, on observe, et s’il y a une occasion, on tente de traverser“, témoigne un migrant d’origine ivoirienne. Bus, train, bateau, il envisage toutes les options pour rejoindre la France puis l’Angleterre. Ils sont de plus en plus nombreux à tenter leur chance. Dans la Bidassoa, le fleuve séparant l’Espagne et la France, deux personnes se sont noyées ces derniers mois.

    Depuis trois ans et le renforcement des contrôles en Italie, une partie du flux migratoire s’est reportée vers les Pyrénées-Atlantiques. Le ministère de l’Intérieur recense 1 249 mesures de refoulement prises en août dernier, soit 23% de plus qu’en juillet, dont 352 concernaient des Algériens (+38%). Si la présence policière a quasiment doublé depuis l’automne 2020, plusieurs syndicats de policiers trouvent le nombre de patrouilles insuffisant, surtout la nuit, et demandent plus de moyens.

    francetv.info