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  • Val-d’Oise : 830.000 euros en liquide saisis dans un garage clandestin où travaillaient des migrants en situation irrégulière

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

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    Val-d’Oise : 830.000 euros en liquide saisis dans un garage clandestin

     

    […]

     

    …ils se sont rendus dans un atelier clandestin de réparation d’automobiles et ont constaté sur place que le garage employait trois personnes en situation irrégulière. Selon nos informations, ils ont également mis la main sur près de 830.000 euros en liquide et 35 automobiles d’occasion destinées à la revente

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur RTL

  • “Brûle l’usine à fachos” sur la cathédrale de Poitiers

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

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    Plusieurs affiches ont été collées dans le centre-ville de Poitiers visant explicitement l’école catholique de l’Union Chrétienne, établissement scolaire qui accueille 700 élèves de maternelle, primaire, collège et lycée. Certaines affiches se trouvaient sur les portes du collège, d’autres près de la cathédrale ou sur une chapelle. L’établissement a déposé plainte.

     

    Source : lesalonbeige

  • Prix de l’énergie : ce que l’on ne vous dit pas !

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

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    de Philippe Joutier :

    « On nous l’affirme : l’augmentation du coût de l’énergie, c’est la faute des Chinois (qui nous ont déjà refilé le Covid-19), des Russes (évidemment !), des Américains… bref, des autres.

    Creusons un peu.

    Le dispositif des certificats d’économie d’énergie (CEE) date de 2005. Les fournisseurs et distributeurs, appelés « obligés », doivent permettre aux consommateurs de réaliser des économies d’énergie. Ces économies sont quantifiées en certificats d’économie d’énergie délivrés par l’État. Pour répondre à cette obligation, les fournisseurs ont trois solutions : payer une surtaxe à l’État, réaliser eux-mêmes des économies d’énergie ou s’acquitter en achetant des certificats d’économie d’énergie sur un marché, la bourse Emmy, où les consommateurs d’énergie les vendent. Marché fort lucratif.

    Mais d’où, finalement, sort l’argent ? Devinez !
    Les producteurs gagnent à vendre moins et plus cher pour continuer d’acheter leurs certificats sur le marché, en continuelle augmentation. Ils répercutent cette flambée sur leurs prix, donc sur les consommateurs et, corrélativement, diminuent leur production. Plusieurs associations ont alerté le gouvernement de cette hausse du prix des CEE. L’État reste silencieux. Sans doute pour la même raison qui, profitant de leur naïveté, laisse croire aux écologistes que le salut est dans les énergies renouvelables. Or, qu’en est-il ?

    La superficie de la France est de 63 millions d’hectares. Complètement recouverte de panneaux, dont le meilleur rendement est de l’ordre de 20 %, l’énergie totale produite serait de l’ordre de 32 térawatts. Or, le total de la production d’énergie nucléaire est de l’ordre de 360 térawatts.

    En Allemagne, au début des années 2000, la transition énergétique était censée apporter aux régions de l’ex-RDA la prospérité économique. Selon la Confédération des syndicats allemands (DGB), en une seule année, 30.000 emplois ont disparu, avec 30 milliards d’euros de faillites. L’Allemagne a dépensé 24,3 milliards d’euros au-dessus des prix du marché en tarif de rachat d’énergie renouvelable, en 2017. Lorsque le temps est couvert, c’est la Pologne, avec ses centrales au charbon, et la France, avec ses centrales nucléaires, qui alimentent l’Allemagne.

    En France, selon l’enquête réalisée par Michel Gay, auteur du livre Vive le nucléaire heureux !, la « route solaire » inaugurée par l’ineffable Ségolène Royal, en 2016, n’atteignit jamais que la moitié des 767 kWh journaliers prévus initialement. Amérique, Allemagne, Espagne, Danemark, Australie : partout, dans le monde, les énergies renouvelables constituent un gouffre financier.

    La cause en est leur régime variable, nécessitant des renforcements de secours sous la forme de centrales au gaz, de barrages hydroélectriques, de batteries au lithium… On peut changer les lois humaines, pas celles de la thermodynamique.

    S’y ajoute, chez nous, la fameuse taxe appelée « contribution au service public de l’électricité ».

    En France, à l’horizon 2022, elle dépassera 10 milliards d’euros, directement prélevés sur les factures. Mise en place, début 2000, pour soutenir et développer les énergies renouvelables, la CSPE a augmenté de… 650 % ! Vous avez bien lu. Soit environ 16 % de la facture moyenne d’électricité, d’après la Commission de régulation de l’énergie. CSPE encore insuffisante pour le développement des énergies renouvelables, au coût entre deux et dix fois plus élevé que celui du nucléaire installé.

    D’après Michel Gay, l’électricité nucléaire coûte environ 4 centimes par kWh (avec le démantèlement et la gestion des déchets), l’électricité d’origine solaire entre 80 et 100 centimes d’euros par kWh, soit 20 fois plus.

    Mais la prospective verte serait incomplète sans la voiture, naturellement électrique ! Lorsque les véhicules thermiques ne seront plus commercialisés, avec un parc estimé à 15 millions de véhicules, le besoin sera de 34 térawatts, soit la consommation annuelle de l’Irlande ou du Danemark.

    « Sauvons la planète ! » « L’Énergie est notre avenir », etc. Le véritable objectif ne serait-il pas de faire semblant d’agir en magnifiant le renouvelable tout en laissant prospérer les augmentations jusqu’au seuil de l’insupportable ? Alors le gouvernement rejouerait le développement du nucléaire, à l’instar des nations du monde entier. Au nom de l’opportune lutte contre le CO2, supposé coupable du réchauffement (gaz non toxique, pourtant 150 fois plus élevé au crétacé et dont les plantes se nourrissent), la marche forcée vers le tout électrique, c’est bien la marche forcée vers le nucléaire. »

    Source : BVoltaire

  • C’était un 21 octobre… 1954 : la République abandonne l’Inde française

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

     

    Ce 21 octobre, en Inde, le gouvernement français abandonne ses comptoirs, réunis sous le noms d’Établissements français : Pondichéry, Yanaon, Karikal, Mahé et Chandernagor étaient devenus français en 1763, lors de la signature du traité de Paris.

    Au vu de la toute petite taille des territoires français comparée à l’Inde qui avait acquis son indépendance en 1947, de la pression et des menaces du gouvernement indien, de la trahison de certains Français – souvent communistes ou socialistes -, et en dépit de la vision pro-française de certains territoires, le gouvernement français (le même qui avait lâché l’Indochine aux communistes), abandonnera les comptoirs indiens sans même demander de compensation.

    L’Inde française 1741-1754 :

  • Paris : la députée LREM Coralie Dubost violemment agressée dans les beaux quartiers, elle se fait voler son sac et 2000€ en espèces. Son compagnon sa rolex à 12 000€

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2021

    […]

    Vers 00h20, la députée de la troisième circonscription de l’Hérault et son ami, sortent du « Café de l’Alma ». Ils sont entourés par un groupe de quatre malfaiteurs. Les voleurs portent des coups à Stanislas avant d’étrangler le couple. Ils s’emparent du téléphone de ce financier et de sa montre de marque Rolex d’une valeur de 12 000 euros. Ils mettent aussi la main sur le sac de la députée. Il contenait des clefs et un badge de l’Assemblée Nationale ainsi que 2000 euros en numéraire.

    […]

    Exclusivité d’Actu17